tag:blogger.com,1999:blog-87683829681098379572024-03-05T10:38:01.878+01:00Feuilles de roses et autres amusementsUnknownnoreply@blogger.comBlogger72125truetag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-43123819606747381712015-10-16T00:33:00.000+02:002015-10-16T00:34:30.040+02:00Cinq ans après (the Jack-is-back mix)A quelques jours près, il y a cinq ans que je n'ai rien publié ici.<br />
La vie est ainsi.<br />
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Le blog est resté en sommeil pendant tout ce temps. Quelque fois, de vieux lecteurs me demandaient si je reprendrais le récit des aventures et des bêtises de Feuille. Évasif, j'éludais.<br />
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Il s'est passé beaucoup de choses, bien évidemment. Beaucoup de bonnes choses, quelques unes un peu moins.<br />
Deux changements de job, je ne travaille plus à l'Agence (j'ai d'ailleurs constaté qu'il y a une boîte qui s'appelle réellement comme ça, une entreprise de communication, je crois. <i>Sorry guys, didn't know</i>). Il va falloir que je trouve un nouveau nom pour mon lieu de travail actuel...<br />
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Des personnages quittent le blog. Eloïse, notamment, mais elle continue sa vie ailleurs, sans moi. Lou, complètement perdue de vue. Je la sais mariée et mère, installée dans un grand pays européen avec sa famille. Des gens croisés, jamais revus. Sans doute devait-il en être ainsi.<br />
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Tara, ma fidèle amie et amante, est toujours là. On en reparlera sans aucun doute, tant ce blog n'existerait pas sans elle.<br />
<br />
Une autre femme est arrivée dans la vie de Feuille. J'avais pensé à plusieurs prénoms pour elle, mais tous étaient beaucoup trop transparents. Pour vous, elle sera Jill. Jill sera, je le pressent, un des personnages centraux des prochains écrits.<br />
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Et Feuille, me direz-vous ? Feuille n'a pas changé. Il a pris 5 ans, quelques rides qu'il ne cache pas. Ses cheveux sont un peu moins bruns, mais les dames trouvent que ça lui va bien. Sa santé lui a joué des tours, mais il est toujours debout (quand il n'est pas couché contre le corps d'une femme).<br />
Et sa bite va toujours bien, ce qui, pour ce qui nous intéresse ici, n'est pas sans quelque importance (même si, on est bien d'accord, il n'y a pas que la pénétration dans la vie).<br />
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J'ai envie d'écrire. Le dernier billet est daté du 3 novembre 2010. En ce 16 octobre 2015, presque trois ans après, je crois que c'est le bon moment de s'y remettre. On verra bien où, jusqu'où cela nous mènera.<br />
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<i>Caminante, no hay camino. Camino se hace al andar.</i>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-80650485289231027212010-11-03T23:01:00.000+01:002010-11-03T23:01:01.721+01:00C'est fini.Ça fait un moment que ça traîne. Je n'ai plus rien publié ici depuis le mois de juillet. Plus envie, c'est passé. Et puis ma vie change, et assez radicalement pour ce que j'entrevois. Le sexe continue, la vie continue, le blogage continue aussi, mais ailleurs, autrement. Je vous laisse le soin de me chercher dans le grand internet mondial.<br />
Le blog Feuille de Rose reste ouvert. Même quand je ne publie rien, vous êtes au moins une centaine à passer ici chaque jour. Merci à tous de votre fidélité, c'est très plaisant de savoir qu'on est lu. Même si a priori, on tient ce genre de blog plutôt pour soi.<br />
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Je vous embrasse<br />
FeuilleUnknownnoreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-28577172891116857642010-07-24T00:15:00.000+02:002010-07-24T00:15:22.698+02:00Gang-banging TaraCe soir, sous la douche, je pensais à Tara. Ma douce Tara, que je n'ai pas vue depuis longtemps, plusieurs semaines déjà. Et il va s'en écouler au moins autant avant la prochaine rencontre. Chaque fois que je suis sous la douche, j'y pense. Parfois, je me touche en pensant à elle, à la première fois qu'elle m'a fait jouir (c'était justement sous la douche) ou à notre dernière partie de sexe. On l'a déjà lu ici dans d'autres billets, j'aime la masturbation, que ce soit en solitaire, à deux ou à plusieurs. Et là, pendant que je me branlais, il m'est venu une pensée amusante, un nouveau fantasme.<br />
J'étais en train de lécher la chatte de Tara, ce qu'elle aime beaucoup et qui la fait jouir presque à chaque fois. Elle est allongée sur le lit, moi entre ses cuisses. Un autre mec arrive, nu, et lui présente sa bite, très raide et droite, qu'elle prend dans sa bouche pour la sucer. Tara suce divinement, et j'aimerais que tous les hommes aient la chance d'être sucés comme elle le fait. Là, elle s'applique, y met tout son coeur, j'ai m'impression qu'elle le suce comme si c'était lui, son amant attitré.<br />
Un bref flash-back me montre Tara, debout, en pantalon et en soutif. Des mains d'homme lui dégrafent son soutien-gorge et lui caressent les seins, pendant que d'autres mains encore ouvrent son pantalon et entrent dans sa culotte à la recherche de son sexe. Elle m'embrasse à pleine bouche pendant que ces mains étrangères la caressent. D'autres mains encore prennent possession de son cul, de ses fesses divines. Elle m'embrasse toujours pendant que de ses deux mains elle tient les sexe des hommes qui la touchent. Les types sont nus, elle les branle doucement pendant qu'ils la touchent partout, que des bouches lèchent ses seins, que des doigts prennent sa chatte, qu'une main passe entre ses fesses.<br />
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Retour à la situation précédente, elle est nue sur le lit, je la baise pendant qu'elle suce un autre mec. D'autres types se branlent à côté, lui touchent les seins, le ventre. Elle change et en prend un autre dans sa bouche, dans cette jolie bouche que j'aime tant embrasser. Un autre que moi la pénètre. Je regarde cette bite que je ne connais pas entrer dans sa chatte. Je lui prends la main, elle suce toutes les bites qui se présentent avec la même tendresse, avec la même attention. Parfois je me présente devant elle, et elle lâche la queue qu'elle a dans la bouche pour prendre la mienne, en me regardant par en-dessous, ce qui a le don de me rendre dingue. Il y a toujours des types en train de la baiser, de la toucher, de lui caresser le clitoris pendant qu'un sexe la fouaille. Les premiers commencent à jouir et l'éclaboussent de leur sperme. Elle en a sur le ventre, sur les cuisses, sur les seins, sur la bouche. Je regarde encore quand elle se retourne pour chevaucher la bite d'un type, tout en suçant un autre. Un troisième s'approche par derrière et lui enfonce sa queue dans le cul. Prise par trois types, elle me regarde et rit pendant que je finis de me branler, que je pousse le type qu'elle avait en bouche pour jouir entre ses lèvres. Aucune parole n'a été échangée pendant ce qu'il faut bien appeler un gang-bang, mais je vois dans son regard et son sourire qu'elle est heureuse, qu'elle a l'air d'avoir aimé être prise par tous ces types sous mes yeux.<br />
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Ce rêve m'a fait jouir à longs jets, et j'ai regardé mon sperme être aspiré par la bonde d'évacuation de la douche avant de me savonner vigoureusement pour revenir dans le monde réel. Tout ceci n'est évidemment qu'un fantasme, je ne suis pas certain d'avoir envie de partager les moments avec Tara avec qui que ce soit (quoi que, à la réflexion, si quelqu'un nous plaisait à tous les deux...), et je ne suis pas du tout certain que cela lui plairait, d'avoir un autre homme dans son lit en même temps que moi. Ou une femme, après tout pourquoi pas, au début j'étais persuadé qu'elle n'aimait que les filles.<br />
Ce n'est qu'un fantasme, mais il rend l'attente supportable.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-72871066202109138962010-07-15T01:08:00.000+02:002010-07-15T01:11:02.695+02:00Eloge de la masturbation #3Dans la voiture qui nous ramenait à l'Agence, Tara, qui était au volant, se mit à rire. Alors que je lui en demandais la raison, elle me montra l'intérieur de son poignet. Des traces claires, comme des petites plaques sèches, lui maculaient la peau. Toujours en riant, elle conclut qu'elle n'avait plus qu'à se laver les mains en arrivant au travail.<br />
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Moins d'une heure auparavant, nous étions dans sa chambre, dans son lit, nus l'un contre l'autre, mon ventre contre son dos dans la position de la cuiller. Ma main courrait le long de son côté, sur ses hanches, ses cuisses, remontait vers ses petits seins, ses épaules. Nous avions très envie de baiser, mais la prudence était de mise, le coup classique de la pilule oubliée qui réclame des précautions supplémentaires jusqu'au cycle suivant. Du sexe oui, mais sans pénétration. Cette règle du jeu étant fixée, tout le reste était possible.<br />
Elle se tourne à demi, sur le dos. Penché au dessus d'elle, je l'embrasse pendant que ma main descend vers son sexe. Elle écarte légèrement les cuisses. Je l'ai caressée, puis léchée, puis caressée à nouveau jusqu'à ce qu'elle me demande d'arrêter en écartant ma main de sa chatte une fois qu'elle avait eu sa dose de plaisir.<br />
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Alors je me suis redressé pour me rapprocher d'elle. J'étais à genoux sur le lit devant elle, ma queue dressée à portée de sa main. Elle s'est assise en tailleur devant moi, l'a attrapée et a commencé à jouer avec. Tara sait comment faire pour me faire bander très fort (mais alors, vraiment très très...). Rapidement, ses mouvements se sont fait plus précis. Sur le coup, j'aurais aimé qu'elle me prenne dans sa bouche et qu'elle me suce, mais je n'ai pas voulu interrompre ce moment de douceur.<br />
"Ne t'arrête pas, ne t'arrête pas..." et j'ai joui en l'embrassant, sans me préoccuper de l'endroit où ça tombait. Ma cuisse, son ventre, ses seins et sa main étaient maculés de mon sperme.<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKBIsXg8g4pxvVx5oCKrBhEx4V9Ne3_az6ls0hSofmIvdiT4HLyvSpVtoFmGQ54GtSWqp5IBSNAGydUvtO2A4455eXWu-ngAOUahcYESsPxQaALTSQ50lJ0zC_Fcm9lj-CzypDy4MRiNJN/s1600/masturbation_Oo_by_Photomaniac_ZI.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKBIsXg8g4pxvVx5oCKrBhEx4V9Ne3_az6ls0hSofmIvdiT4HLyvSpVtoFmGQ54GtSWqp5IBSNAGydUvtO2A4455eXWu-ngAOUahcYESsPxQaALTSQ50lJ0zC_Fcm9lj-CzypDy4MRiNJN/s320/masturbation_Oo_by_Photomaniac_ZI.jpg" /></a></div><br />
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Comme d'habitude après l'orgasme, on a ri. C'est pour ça que j'aime le sexe avec Tara : c'est jamais "prise de tête", on se fait du bien et on en est heureux. On ne peut pas baiser, c'est pas grave on va se toucher et se caresser. Et c'est bien aussi.<br />
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<span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">Merci pour l'image à </span><span class="Apple-style-span" style="color: #414d4c; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif; font-weight: bold; line-height: 17px;"><a class="u" href="http://photomaniac-zi.deviantart.com/" style="background-attachment: initial !important; background-clip: initial !important; background-color: transparent !important; background-image: initial !important; background-origin: initial !important; background-position: initial initial !important; background-repeat: initial initial !important; border-bottom-width: 0px !important; border-color: initial !important; border-left-width: 0px !important; border-right-width: 0px !important; border-style: initial !important; border-top-width: 0px !important; color: rgb(25, 107, 167) !important; text-decoration: none;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">Photomaniac-ZI</span></a></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-45940357754785080432010-07-10T21:24:00.000+02:002010-07-10T21:24:46.576+02:00Eloge de la masturbation #2Eloïse, au début, ne comprenait pas le plaisir qu'il peut y avoir à se caresser tout(e) seul(e), et elle trouvait qu'une éjaculation "dans le vide", c'était du gaspillage. <br />
<div>Mais non, voyons, quelle idée... J'adore me branler. Le matin, au réveil, sous la douche. Dans les transports en commun (toujours avoir un trou dans la poche de son jeans, et aller "commando", sans dessous), quand une beauté passe à portée de regard. Le soir, pour se détendre. Encore que là, l'idéal est quand même la pipe. Enfin si on me demande mon avis, bien sûr. Vous avez déjà entendu parler de la suçothérapie ? [<a href="http://www.arteradio.com/forum/posts/list/518.page">clic</a> et <a href="http://jecritiquetout.over-blog.com/article-18302927.html">clic</a>] Mais la fellation, ce sera un autre billet. </div><div><br />
</div><div>Se branler ? Se faire branler ? Vaste débat. Les deux sont bien, tout dépend du contexte. Se branler, c'est pas difficile. On l'a tous déjà fait un certain nombre de fois. Branler quelqu'un, ça, c'est autre chose. Faut savoir le faire. On en reparlera. </div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-75694894743826210322010-04-03T00:18:00.000+02:002010-04-03T00:18:41.373+02:00Pump me honeyIl fallait une douche très froide. Je sortais du sauna, en sueur. Les petits ruisseaux salés partaient de mon front et me dégoulinaient du menton.<br />
Je me précipitais sous la douche froide. Il y avait déjà un mec sous la douche d'en face, qui se savonnait les bras. Je me tournais face au mur et fermais les yeux pendant que l'eau me saisissait brutalement. J'avais l'impression de sentir tous les pores de ma peau se refermer l'un après l'autre après avoir tant sué. Quand, après quelques minutes, j'ai rouvert les yeux et je me suis retourné pour attraper mon gel douche, le mec en face bandait et se masturbait en me regardant. J'étais fasciné par sa bite, qui était assez grosse mais qui avait surtout un très gros gland. Sans trop savoir pourquoi, ce sexe m'attirait. Je n'ai d'ailleurs gardé aucun autre souvenir de ce type, je ne sais même pas de quelle couleur étaient ses yeux ou ses cheveux.<br />
J'ai descendu ma main vers ma queue et j'ai commencé à me caresser aussi, les yeux fixés sur ce sexe en face de moi. Mais je n'avais pas du rester assez longtemps sous l'eau froide, ou j'avais encore le corps trop chaud du sauna, toujours est-il que je ne bandais pas. Alors je me suis agenouillé devant lui, et je lui ai pris le sexe dans la main. Il s'est laissé faire quand j'ai joué un peu avec, le caressant de ma joue ou du bout de ma langue. Puis sans plus de chichis, je l'ai enfourné dans ma bouche. Dieu qu'il était gros, ce gland. Il m'a fallu ouvrir bien grand et respirer profondément par le nez (truc pour les fellations sur des sexes vraiment gros : bien respirer calmement par le nez).<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjf9PzYNGl6qGFhlo5-E8cGCGK-neSv06ps6YBK_q4okOU4FR9ugCHDr459GWLS1Gd-3ExywukEVMkde4sf7v22bRwj29yV-TOEJiOKH3GKBExVGvVgNM2vJUkfPnMn8XTxGNkaJCeWDCym/s1600/Fellatio_by_ahermin.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjf9PzYNGl6qGFhlo5-E8cGCGK-neSv06ps6YBK_q4okOU4FR9ugCHDr459GWLS1Gd-3ExywukEVMkde4sf7v22bRwj29yV-TOEJiOKH3GKBExVGvVgNM2vJUkfPnMn8XTxGNkaJCeWDCym/s320/Fellatio_by_ahermin.jpg" /></a></div><br />
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Je ne l'ai pas sucé bien longtemps. J'ai vite senti ses jambes ployer, j'entendais sa respiration s'accélérer et il a joui dans ma bouche. Il poussait des hanches à chaque giclée de sperme et son gland s'enfonçait un peu plus profondément vers ma gorge. J'ai cru que j'allais étouffer mais il s'est retiré assez rapidement pour que je reprenne mon souffle.<br />
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Je ne l'ai évidemment jamais revu.<br />
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<span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">L'image est de </span><span class="Apple-style-span" style="color: #414d4c; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif; font-weight: bold; line-height: 25px;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">*</span><a class="u" href="http://ahermin.deviantart.com/" style="color: #3b5a4a; text-decoration: none;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">ahermin</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">, </span><span class="Apple-style-span" style="color: black; font-family: Times; font-weight: normal; line-height: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">avec mes remerciements. </span></span></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-86217733643639498022010-03-17T22:13:00.000+01:002010-03-17T22:13:29.758+01:00Do yo wanna watch ?L'autre jour, on était en train de baiser, Tara et moi. Enfin, baiser... forniquer comme des bêtes serait plus exact. J'étais sur elle, elle avait relevé ses cuisses bien haut pour que je la pénètre bien à fond et elle me tenait les fesses, comme pour me faire venir encore plus profondément en elle. J'aime bien quand on baise face à face, car pendant qu'on fait la bête à deux dos, on peut se regarder dans les yeux (les yeux de Tara quand on baise... plaisir inégalé) ou s'embrasser ou se lécher le museau. Oui, c'est parfois assez animal entre nous.<br />
Cette fois-là, j'ai remarqué qu'elle a levé la tête plusieurs fois, comme pour regarder nos deux sexes l'un dans l'autre. A la troisième fois, je lui demande :<br />
"Tu veux voir mieux ? Tu veux nous voir baiser, me voir entrer dans toi ?"<br />
"Mmmoui, j'aimerais bien."<br />
"Attends, on va bouger un peu".<br />
Je suis sorti d'elle et me suis allongé sur le lit, les pieds au sol, face à son armoire. L'armoire de la chambre de Tara a deux grandes portes en miroir. Vue imprenable sur le lit.<br />
"Viens sur moi, viens."<br />
Elle m'a enfourché, s'est posée sur ses genoux. Elle a attrapé ma bite et se l'est enfoncée en regardant dans le miroir juste en face ce sexe qui la pénétrait. Puis elle s'est redressée pour que je sorte, et elle a recommencé. Au bout de quelques pénétrations comme ça, elle a commencé à bouger son bassin et ma queue entrait en elle plus profond à chaque fois. Je ne voyais que son cul devant moi, elle me tournait le dos. Je ne pouvais pas voir son visage, mais je l'imagine qui fixait le miroir, fascinée par ces images dont elle était l'actrice porno principale.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbG-8dfTV2YRLXwAgymPzPa-ioZ-DDsa3YyetZutXOT4xLxQW2tvtqT90YVuWfdadxElW2qAFKh1urlVnk-qxjbE164cmueICTF7zQ5uXw64r9t6hXivS-jo_PuNiJ_7tqT0ZfD-ziNqr8/s1600-h/Mirror_to_myself_by_UniqueNudes.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbG-8dfTV2YRLXwAgymPzPa-ioZ-DDsa3YyetZutXOT4xLxQW2tvtqT90YVuWfdadxElW2qAFKh1urlVnk-qxjbE164cmueICTF7zQ5uXw64r9t6hXivS-jo_PuNiJ_7tqT0ZfD-ziNqr8/s320/Mirror_to_myself_by_UniqueNudes.jpg" width="320" /></a></div><br />
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Pendant qu'elle me baisait, je caressais son joli cul, je m'amusait à passer un doigt entre ses fesses et à lui caresser son petit trou. Elle a joui très rapidement et très fort. En penchant un peu la tête, je pouvais la voir dans le miroir, les yeux fermés et la bouche entr'ouverte.<br />
Tara est toujours belle quand elle jouit.<br />
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<span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">La jolie photo est de </span><span class="Apple-style-span" style="color: #414d4c; font-family: 'Trebuchet MS', sans-serif; font-weight: bold; line-height: 25px;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">=</span><a class="u" href="http://uniquenudes.deviantart.com/" style="color: #3b5a4a; text-decoration: underline;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">UniqueNudes</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">, </span><span class="Apple-style-span" style="color: black; font-family: Times; font-weight: normal; line-height: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">avec mes remerciements. Pour une fois que quelqu'un nous fait des photos de nus avec une fille qui n'est pas filiforme, qui a des vrais seins pas refaits et qui a encore des poils pubiens, on ne va pas se priver. Ça nous change agréablement des blondes anorexiques à la chatte rasée, non ? J'aime... </span></span></span>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-31349837886281849842010-02-09T00:38:00.000+01:002010-02-09T01:01:32.670+01:00Envie d'une bouche<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Ce matin au moment du réveil, j'ai eu juste assez de conscience pour constater que j'avais une érection magistrale et qu'elle était probablement due à un rêve franchement érotique que je n'avais pas encore terminé. Une seule chose à faire, se rendormir et retrouver cette image obsédante.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">J'étais avec une amie, quelqu'un avec qui il ne s'est jamais rien passé (pour l'instant). Elle était seins nus, deux jolis seins ronds portés haut, elle tenait ma bite dans sa bouche, sa langue faisait des tours sur mon gland et de sa main elle me branlait doucement. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnmQvvWNV8oB9Ua6JBM7UlrrVV0x2ljeZOLwVRoEaZEHfSXcZBMY-yi6HFeuODjgXfp9_V10ZRZZ4vLPBPJXAxCjio-uMvP_kNfP8tFPv-4gk8SVrrnlBuN6PWfBg5pBIKt9eJpGZnszTn/s1600-h/Ashamous_by_aKachou.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnmQvvWNV8oB9Ua6JBM7UlrrVV0x2ljeZOLwVRoEaZEHfSXcZBMY-yi6HFeuODjgXfp9_V10ZRZZ4vLPBPJXAxCjio-uMvP_kNfP8tFPv-4gk8SVrrnlBuN6PWfBg5pBIKt9eJpGZnszTn/s400/Ashamous_by_aKachou.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5436026601691230514" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 267px; height: 400px; " /></a></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je crois que je vais la regarder autrement, maintenant. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">La jolie photo est de <a href="http://akachou.deviantart.com">aKachou</a>, avec gratitude. </span></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-26679158939710889852010-02-05T22:28:00.000+01:002010-02-05T22:38:07.924+01:00Les compagnes de voyage<p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Une fois de plus, je me trouve dans un train. Un TGV entre deux grandes villes européennes, à une heure de pointe. Autour de moi, plein de monde. Des gens pour la plupart habillés selon le dress-code "law manager dans une IT-company", la trentaine victorieuse et arrogante. Beaucoup d'hommes, mais aussi des femmes, tous assortis dans leurs tenues. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Encore une demi-heure à tuer. J'ai bien sûr un journal que je pourrais lire en prenant l'air absorbé comme ce quinqua deux rangées plus loin qui fait semblant de comprendre le pages saumon d'un grand quotidien. Ou prendre mon ordinateur et tenter de mettre à jour mon rapport d'avancement des projets dont je m'occupe, comme cette dame à lunettes qui semble tellement plongée dans son écran que je me demande si elle ne s'hypnotise pas pour finir sa nuit. Rien de tout cela, pour ma part. Je préfère regarder les gens. Une très grande blonde vient de passer le long du couloir central, au moins 1m80, cheveux longs montés en chignon, les jambes dans un pantalon en cuir assez moulant. Je me prends à l'imaginer nue dans des positions amusante, par exemple sur le dos, ses jambes enroulées autour de ma taille pendant que je la pénètre, les bras repliés sous la nuque pour soutenir la tête (ce qui fait gonfler ses seins). </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Ou bien cette petite dame d'une cinquantaine encore très attirante, en stricte jupe noire sous un petit pull à col en V. Porte-t-elle une culotte sous sa jupe ? Que se passerait-il si, au moment où elle s'arrête à côté de moi pour laisser passer un voyageur qui vient à contre-sens, je glissais ma main sous sa jupe pour vérifier ce qu'elle porte ? Si j'insinuais un doigt dans sons sexe alors qu'elle est debout à côté de moi ? </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Ou encore cette jeune femme, assise en biais en face de moi. Probablement jeune diplômée, elle se rend à son premier job ou part pour sa première mission de conseil. Elle semble dormir. Se réveillerait-elle si je passais ma main sur son chemisier pour caresser ses seins ? Que dirait-elle si mes doigts glissaient dans son décolleté, vers ses jolis petits mamelons bien ronds ? Peut-être me sourirait-elle en ouvrant les yeux et laisserait-elle glisser sa main le long de ma cuisse vers ma braguette, pour sortir mon sexe et le prendre dans sa bouche ? Non, elle n'a pas une jolie bouche. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Pas comme la demoiselle croisée ce matin dans le métro. La première chose que j'ai vue, c'était sa bouche. Rose, fine, parfaitement dessinée, les lèvres entr'ouvertes sur des dents très blanches et bien alignées. Ensuite j'ai vu ses cuisses et son cul moulés dans son jeans d'étudiante. J'étais assis, elle était debout de trois quart face à moi. Un cul rond, très rond, dodu et rebondi. Un cul qu'on aimerait prendre à pleine main, à plein bras pour y plonger le visage. Un cul à embrasser pendant qu'elle se cabrerait pour le mieux faire ressortir. Un cul dans lequel on aimerait introduire son sexe après l'avoir léché et lui avoir mis deux doigts, dans lequel on aimerait jouir, épuisé de l'avoir trop baisé.</span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Bah, tout cela restera du fantasme. Aujourd'hui j'ai un rendez-vous important, mon train va entrer en gare. Je vide mon esprit de toutes ces pensées vagabondes, en remerciant toutes ces jeunes femmes pour m'avoir fait passer un si bon voyage. En descendant, je ne peux m'empêcher de penser aux "Passantes", le poème d'Antoine Pol chanté par G. Brassens. Et ce sera mon illustration pour ce soir. </span></p><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /><br /></span><object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/l4Q7urIVYAE&hl=fr_FR&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/l4Q7urIVYAE&hl=fr_FR&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-74458861894757125342010-02-01T23:28:00.001+01:002010-02-02T00:02:31.242+01:00Try a little tenderness<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Après avoir mangé avec Tara et quelques collègues à la cantine de l'Agence, nous avons pris la voiture de Tara et sommes allés chez elle. D'un commun accord, nous avions décidé que nous ne ferions rien de spécial, juste prendre un café au calme, hors de l'ambiance du boulot, sans personne autour. Parfois, on va chez Tara pour baiser, et parfois non. Parfois c'est juste pour le plaisir d'être à deux, de s'asseoir dans son canapé (ce canapé dans lequel on a déjà baisé comme des bêtes, dans toutes les positions possibles, où je lui ai déjà mis des doigts partout où je pouvais en mettre...) avec un café et un petit gâteau, de se prendre dans les bras l'un de l'autre et de s'embrasser, en se regardant tendrement et en se disant que ça aussi, c'est bon. Juste pouvoir s'allonger dans les bras l'un de l'autre et fermer les yeux, en se disant qu'on est bien. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Et en effet, on est très bien. C'est aussi pour ça que j'aime Tara : la vie comme elle vient. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Ceci dit, je crois que la prochaine fois ce sera nettement plus sexe. J'ai envie d'elle. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyxjvacDPbQgIVKcTN_nLzYllIA4XlGTT-WX1S7KKPPGCpwCEgLHLgicwMhxMrs0wS-N_zPMlOOGtYTGI5Bcf8wFYfq5A8r8prfvNsWO93lntNq_XbHVm1MZ4Oq8PZ6-1RifJ_w4xteUQt/s1600-h/Grey_sweter_7_by_andresaba.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyxjvacDPbQgIVKcTN_nLzYllIA4XlGTT-WX1S7KKPPGCpwCEgLHLgicwMhxMrs0wS-N_zPMlOOGtYTGI5Bcf8wFYfq5A8r8prfvNsWO93lntNq_XbHVm1MZ4Oq8PZ6-1RifJ_w4xteUQt/s400/Grey_sweter_7_by_andresaba.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433410032912384162" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 278px; height: 400px; " /></a></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">La photo n'a aucun rapport avec ce qui précède. Je l'ai juste trouvée jolie et émouvante. Elle vient de chez </span><a href="http://andresaba.deviantart.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">André Saba</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">, avec gratitude. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">Quant au titre, j'espère que vous savez d'où il vient... </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;"><br /></span></div><br /><object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/KiDq4Q62tz4&hl=fr_FR&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/KiDq4Q62tz4&hl=fr_FR&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-33793075055224899782010-01-22T22:35:00.000+01:002010-01-22T22:46:18.402+01:00S'y préparer<p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Pour une fois, je fais un billet d'anticipation. En effet, d'habitude mes écrits sont plutôt là pour raconter ce qui s'est passé. Aujourd'hui, j'ai envie de penser à ce qui va arriver. Aujourd'hui, j'ai rendez-vous avec Tara. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Ça fait longtemps que nous n'avons pas eu un moment ensemble. J'entends un moment un peu plus long que juste le temps de s'envoyer en l'air puis de filer sous la douche avant de nous séparer à nouveau, ce qui nous laisse la paix au ventre mais la frustration dans l'âme. Je sais que cette fois-ci, nous aurons plus de temps. Nous nous sommes organisés pour ça, depuis plusieurs jours déjà. C'est une longue préparation, coordonner les agendas, caler ou décaler les rendez-vous, préparer les déplacements, pour que l'un ait du temps à consacrer à l'autre .</span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je ne sais pas encore ce que ça va donner, ni vraiment ce qu'on va faire. Du sexe, bien sûr. Mais pas seulement. De la tendresse, de gentils câlins, juste se prendre dans les bras, se toucher du bout des doigts en se regardant dans les yeux en silence, s'imprégner de l'odeur de l'autre. S'écarter, mettre un peu de distance entre nous, oh pas grand chose, à peine un mètre ou deux histoire de pouvoir se regarder nus, l'un l'autre. La faire se mettre à plat ventre sur le lit et lui caresser les épaules et le dos. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">J'ai aimé y penser ce matin, sous ma douche, au réveil. Alors que je me savonnais, ma main est spontanément descendue vers mon sexe qui s'est mit, très vite, à grossir et à durcir. Je me suis caressé, imaginant que c'était la main de Tara qui me branlait comme elle le fait parfois quand nous sommes sous la douche. Je pensais à tout ce que nous pourrions faire. Je voyais déjà sa bouche se refermer sur mon gland et me sucer doucement. Je crois avoir déjà écrit que Tara suce comme une reine. Je me voyais, la tête entre ses cuisses, en train de la lécher en lui écartant les lèvres de mes deux pouces pour mieux ouvrir son sexe à ma langue ; lui mettre un doigt, puis deux. La faire se tourner sur le côté pour avoir accès à son cul, ce cul divin, rond et ferme à la peau si douce dans lequel j'aime plonger ; lui écarter gentiment les fesses et passer ma langue dans sa raie, m'arrêter sur son petit trou et le lécher bien en rond avant d'y pousser un doigt pendant que de mon autre main je doigterai sa chatte. Elle me fera peut-être jouir dans sa bouche, un peu de mon sperme giclera sur elle et je l'embrasserai pour la nettoyer, je prendrais sa bouche qui aura encore mon goût et nous nous embrasserons furieusement pour finir cet orgasme tant attendu.</span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Puis, fatigués par ce déchaînement, nous nous endormirons l'un contre l'autre, dos à dos, fesses contre fesses. Nous sommeillerons ainsi pendant une petite heure, puis je me réveillerai et la regarderai dormir. J'aime la regarder dormir. Au bout de quelques instants, avertie par je ne sais quelle intuition, elle ouvrira les yeux, me sourira et viendra se blottir contre moi. Mes mains lui caresseront le dos, le ventre, les seins. Ô ses jolis petits seins... Elle sera plus directe et sa main descendra directement sur mon sexe, qu'elle sait chatouiller juste là où il faut pour me faire bander très vite et très dur. Je la pénètrerai et nous baiserons comme jamais, moi sur elle, elle sur moi, sur le côté (elle aime bien), en levrette (j'aime bien). </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Finalement, complètement épuisés, nous nous affalerons sur le lit en haletant, morts de fatigues mais heureux. S'ensuivra une douche où nous serons à nouveau collés l'un à l'autre sous les jets d'eau chaude. Puis nous prendrons un thé, en silence, sans échanger une parole mais en ayant l'un pour l'autre des regards sui diront le bonheur d'avoir passé un moment ensemble. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Ce sera bien... et même si ça ne se passe pas tout à fait comme ça, car le scénario n'est jamais écrit à l'avance, ce sera quelque chose dans ce genre-là et ce sera bien quand même. </span></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-48828059262908014082010-01-15T22:08:00.000+01:002010-01-15T23:06:18.911+01:00Une nuit, un train (fin)<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Ceci est la suite de </span><a href="http://feuillederose.blogspot.com/2009/11/une-nuit-un-train-2.html"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">la seconde partie</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Je suis donc resté. On a continué à faire semblant de tenir une conversation mondaine, mais c'était de pure forme. Ça n'a pas dure bien longtemps et un silence lourd de perspectives alléchantes s'est installé. C'est elle qui l'a brisé. Normal, elle était chez elle et j'étais l'invité. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">- Bon, on ne va pas rester comme ça, à se regarder comme deux ronds de flan ?</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">- Euh non, enfin si vous voulez, je... euh</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">- Si vous en avez autant envie que moi...</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">- Je crois, oui.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">- Vous croyez seulement ? Alors si vous n'êtes pas sûr, partez. Retournez à votre couchette. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">- Euh non, enfin si j'en ai envie. Je ne voulais juste pas vous... </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Elle s'est tournée vers moi et m'a embrassé. Sa main a tout de suite cherché à ouvrir mon pantalon. Elle a fait apparaître de je-ne-sais-où une poignée de capotes. J'imagine qu'elle en avait planqué quelques unes avant ma venue. Elle a posé un préservatif sur le bout de ma bite qu'elle tenait bien fermement, et avec la bouche l'a déroulé jusqu'en bas. J'adore. Ensuite elle m'a sucé ; elle ne suçait pas super bien, mais sa conviction et son enthousiasme l'emportaient. Je l'ai attirée vers moi et j'ai pu lui passer deux doigts sous la culotte pour lui caresser le clitoris. Elle était très mouillée, un peu comme Tara, qui coule tant et plus dès que je la caresse. Elle a joui une première fois. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">On s'est déshabillés, je me suis allongé sur son lit et elle m'a enfourché, se plantant ma queue au fond de son ventre. C'est elle qui guidait. Malgré que cette position soit en général plus favorable au plaisir féminin (pas pour rien que l'Eglise ne tolère que la position dite du missionnaire...), elle m'a fait jouir en elle. C'était irrésistible. On riait, on s'embrassait, on se touchait du bout des doigts ou à pleine main. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Nous avons bu un peu de champagne (mais d'où sortait-elle toutes ces bouteilles ?), nous nous sommes caressés longuement en silence, juste bercés par le ta-tac ta-tam des roues du train. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Plus tard dans la nuit, on avait trop bu mais je me souviens d'elle debout, appuyée à la barre en alu en travers de la vitre, et de moi en train de la prendre par derrière. Ma bite entrait et sortait de sa chatte en rythme avec le bruit du train pendant que dans le noir, les alignements de pins de la forêt landaise défilaient à toute vitesse.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><br /></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieFcLa2m-LbvPcQzlzy53rEZaisz49O5BkBXfqTFWWkJ8YW000N4MUlL1H7O8MTd6TZGdwzq_qc3YzfBSlE2U6szQHeXzqH3iMx_2b7nbkoZhziwhZE9YORyddN1bSg23J9RN_60vl4_A_/s1600-h/_The_Train_by_Adanedhel_Noir.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieFcLa2m-LbvPcQzlzy53rEZaisz49O5BkBXfqTFWWkJ8YW000N4MUlL1H7O8MTd6TZGdwzq_qc3YzfBSlE2U6szQHeXzqH3iMx_2b7nbkoZhziwhZE9YORyddN1bSg23J9RN_60vl4_A_/s400/_The_Train_by_Adanedhel_Noir.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5427091002622005826" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 400px; height: 329px; " /></a></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Au bout de la nuit, je me suis rhabillé en catastrophe quand la voix du contrôleur a annoncé "Mesdames et messieurs, dans quelques minutes notre train entrera en gare de Biarritz. Biarritz, deux minutes d'arrêt." Il a fallu foncer vers mon compartiment, récupérer mes quelques affaires même pas déballées, rire sous cape de la gueule des autres passages, ahuris de me voir revenir et se demandant sûrement où j'avais bien pu passer la nuit, et descendre sur le quai au moment où les portes allaient se refermer. J'ai regardé le train s'éloigner en me traitant de con fini : je n'avais même pas eu le temps de lui demander son adresse ou son numéro de téléphone. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">La photo est de </span><a href="http://adanedhel-noir.deviantart.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">=Adanedhel-Noir</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">, merci et salutation.</span></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-39733703468851357842009-12-02T23:05:00.000+01:002009-12-02T23:37:56.496+01:00Une petite pause...<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Chers lecteurs,</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Oui, je mets au pluriel car vous êtes de plus en plus nombreux. Ce blog a récemment passé, et pour la première fois, la barre des 200 pages vues en une journée. Merci de vos visites, merci de votre fidélité à ceux qui reviennent, énormes merci à ceux qui laissent un petit mot signé en commentaire. Si ces derniers sont cependant peu nombreux, il ne m'en sont que plus chers. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNr3lNw5AUnCF03ZWyoY9FDuS6oDDnId_XucSyYChcdKKUlA3h0nF7hrLMiX3R75fO3bUT4INmWg1lUtq5-mCnR8ltOAD_3Su40lCfP_XLyMhobW0hvNvVLN8N8IdjPS_GyBfTYRK2o1E-/s1600-h/Forme_et_espace_by_pictet.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNr3lNw5AUnCF03ZWyoY9FDuS6oDDnId_XucSyYChcdKKUlA3h0nF7hrLMiX3R75fO3bUT4INmWg1lUtq5-mCnR8ltOAD_3Su40lCfP_XLyMhobW0hvNvVLN8N8IdjPS_GyBfTYRK2o1E-/s400/Forme_et_espace_by_pictet.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5410770423826848722" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 400px; height: 267px; " /></a></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Une petite pause avant le 3e épisode de mon </span><a href="http://feuillederose.blogspot.com/2009/11/une-nuit-un-train.html"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">voyage en train</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"> de nuit. Je vous sais impatients de savoir ce qui va se passer avec la belle Lucie (mais va-t-il se passer "quelque chose" ?). La suite va venir, soyez juste patients. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Je vous embrasse (où vous voulez). </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Feuille</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">La photo vient de chez </span><a href="http://pictet.deviantart.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">Pictet</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size:small;">, photographe de talent, en hommage. Merci à lui. La photo n'a rien à voir avec le billet, mais elle évoque le souvenir ému d'un moment avec douce, ma tendre <a href="http://feuillederose.blogspot.com/search/label/Tara">Tara</a>. </span></div>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-4885300995840139792009-11-25T23:31:00.000+01:002009-11-25T23:45:30.289+01:00Une nuit, un train (2)<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Suite de la </span><a href="http://feuillederose.blogspot.com/2009/11/une-nuit-un-train.html"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">première partie</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">A l'heure dite, je frappe, elle m'ouvre.<br />- Entrez, je vous en prie.<br />J'aime le formalisme désuet de ses manières. Elle a fait tomber sa veste. C'est bien de la soie qu'elle porte en dessous, mais tellement fine qu'elle ne cache rien ou pas grand-chose de son soutien gorge qui maintient de seins généreux.<br />- Au fait. Je m'appelle Lucie.<br />- Feuille.<br />- C'est un drôle de nom.<br />- Il me correspond bien, quand on me connaît.<br />- Eh bien Feuille, je vous laisse ouvrir la bouteille ?<br />- C'est parti. Vous avez les flûtes ?<br />Je débouche, je verse.<br />- On trinque à quoi ?<br />- Aux rencontres de voyages et à Georges Nagelmakers.<br />- Qui est-ce ?<br />- L'inventeur des wagons-lits.<br />- Ah. Mais je vous en prie, asseyez-vous. Il n'y a pas beaucoup de place, tenez, prenez ce bout de banquette.<br />- Merci, mais et vous-mêmes ?<br />- Eh bien je m' assiérai sur le lit.<br />- A votre aise. Vous prenez souvent ce train ? Je ne vous ai jamais vue.<br />- Tous les six mois, je vais faire une thalasso. Ça me sort de Paris, de mon mari et de mon quotidien de petite fille riche.<br />- C'est vous qui êtes riche, ou votre mari ?<br />- Mes parents. Et lui l'est devenu par notre mariage et par son travail.<br />- Et que fait-il, si ce n'est pas trop indiscret ?<br />- Ça l'est. Disons qu'il est dans les affaires, et que ça lui laisse assez peu de temps pour s'occuper de moi ou penser à me faire des enfants.<br />- Mmm. La pauvre petite fille riche négligée par un mari absent.<br />- Ne riez pas, c'est pas drôle. Et c'est pas gentil. (moue boudeuse)<br />- Excusez-moi.<br />- Non, ce n'est pas grave. On reprend un verre ? Quand c'est éventé ce n'est plus bon.<br /><br /></span><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcchd-AUUecoGXODmlUT8W-VdLhmlFnlWCqRaev3RHyeApfRI8q25QoibcwYhVf3gdBM2pQdbyS8j-x8jXBafcCoFHSXL8DKvCtR2kfvikP3UUYZeH685Zf5AegZ2Fyx9ysOV7XxxbeWyb/s1600/Socrealism_by_dieVerlorene.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcchd-AUUecoGXODmlUT8W-VdLhmlFnlWCqRaev3RHyeApfRI8q25QoibcwYhVf3gdBM2pQdbyS8j-x8jXBafcCoFHSXL8DKvCtR2kfvikP3UUYZeH685Zf5AegZ2Fyx9ysOV7XxxbeWyb/s400/Socrealism_by_dieVerlorene.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5408175404451231954" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 300px; height: 400px; " /></a></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br />On a bu, on a parlé. Au fur et à mesure, je la voyais qui se décoinçait, qui perdait de sa rigueur de jeune femme bien élevée. Il faisait assez chaud dans la cabine. A un moment, elle s'étira. Je me levais, presque à regret, anticipant sur les différentes possibilités qui allaient se présenter : partir tout de suite, rester encore quelques instants à boire et à tenir des conversations semi-mondaines, ou se retrouver dans un plan sexe inattendu.<br />- Vous avez l'air fatiguée, je vais vous laisser vous reposer. Merci pour le champa...<br />- Mmmm vous n'allez pas partir maintenant ? On commence tout juste à faire connaissance... </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div>(à suivre)</div><div>La photo est de <a href="http://dieverlorene.deviantart.com/">dieVerlorene</a>, avec remerciements. </div>Unknownnoreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-34466425326573264402009-11-20T23:30:00.000+01:002009-11-20T23:44:23.281+01:00Une nuit, un train<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">C'était un soir, tard, gare d'Austerlitz. Je venais de débarquer de ma province pour prendre un train de nuit qui devait m'emmener jusqu'à Biarritz pour l'une ou l'autre affaire professionnelle. Le train partait vers 20h, j'avais un peu d'avance. Ma petite valise était déjà déposée dans le compartiment couchette. Je voyageais léger, c'était juste un aller-et-retour sur 36h, retour le lendemain soir. En train aussi. J'aime le train de nuit. Beaucoup plus que l'avion. Quand la destination le permet, évidemment. On part la veille, on dort (pas toujours parfaitement, mais j'ai la faculté de pouvoir dormir presque partout) et on arrive au matin, tranquillement, ayant encore le temps de se prendre un petit déjeuner en ville avant de se rendre à sa réunion. Faites la même chose en avion, et vous devrez vous lever aux aurores, prendre une navette, passer des formalités d'enregistrement rébarbatives, voyager avec les genoux sous le menton si votre employeur est assez pingre pour ne pas vous offrir la business class (ce qui est généralement le cas), et au final vous n'arrivez pas plus détendu dans un aéroport dans lequel vous devez encore vous livrer à la chasse au taxi (quand on ne vous impose pas la navette). Pour finir, à cause des embouteillages matinaux, vous arrivez juste à temps à votre réunion sans même avoir eu le temps de déjeuner correctement.</span></div> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Mon compartiment était dans le dernier wagon de seconde (un ami pointilleux me dirait que pour des voyageurs, on en dit pas </span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">un wagon</span></i><span style="font-style: normal"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> mais </span></span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">une voiture</span></i><span style="font-style: normal"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">, ce à quoi je lui répond que je les appellerai </span></span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">voiture</span></i><span style="font-style: normal"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> quand ils seront vraiment dignes de ce nom, et que de toute façon la chanson commence pas "Dans un wagon d'premièeeere..."), denier wagon de seconde, donc, avant les premières classes. Quand on a goûté au confort du train de nuit en première, on regrette la pingrerie de l'employeur évoquée plus haut, qui vous condamne à la seconde.</span></span></p> <p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">J'étais là, sur le quai à fumer tranquillement la dernière clope de la journée en attendant le départ, quand je la vis. Une apparition venue d'un passé pas si lointain, mais que je croyais révolu à jamais, ce temps où l'on prenait le train pour partir en voyage, où l'on avait le temps de voyager, et où voyage n'était pas synonyme d'entassement dans un charter. Elle était grande et brune, les cheveux longs relevés en chignon, une jupe d'un grand couturier (Dior ? Givenchy ?) comme je les aime, droite, légèrement cintrée, mi-longue jusque sous le genou, d'une couleur discrète qui mettait la ligne en valeur. La veste était, elle aussi, d'une grande signature si j'en jugeais par la finesse de la coupe et la qualité de l'étoffe. On devine un chemisier en soie sauvage ou quelque chose d'approchant. Comble de l'élégance, elle portait des bas à couture d'un charme résolument rétro et un large chapeau, probablement d'une grande maison lui aussi. L'ensemble avait une classe, un style qui évoquait les gravures de modes représentant La Parisienne, symbole absolu du chic de par le monde.</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal"><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0KSefYTJLEPg9roreDGFJsyTWFsWWqK87WXd3knFnAmbmhUJsBSXaLuH7jBUvK0_O_crXm1bnQZF8S5AK6xhfchh6-YBZZQGzwHQ7rjgLJLWX2m_dhmQy79FEdaJuUiV-wB2ALD9_97AX/s1600/Put_me_on_a_train_by_Ilojleen.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0KSefYTJLEPg9roreDGFJsyTWFsWWqK87WXd3knFnAmbmhUJsBSXaLuH7jBUvK0_O_crXm1bnQZF8S5AK6xhfchh6-YBZZQGzwHQ7rjgLJLWX2m_dhmQy79FEdaJuUiV-wB2ALD9_97AX/s400/Put_me_on_a_train_by_Ilojleen.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5406319784505820754" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 268px; height: 400px; " /></a></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Elle s'avança vers moi pour me demander du feu, le truc classique pour lier conversation. "Vous allez loin ?"</span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Biarritz, et vous ? </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Saint Jean de Luz. Pour affaires ? </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Oui, et vous ? </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Thalasso. Je pourrais prendre l'avion, mais j'adore les trains de nuit. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Pareil. Surtout depuis qu'ils ont refait les couchettes. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Vous ne voyagez pas en wagon-lit ? </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Non, mon employeur est assez regardant sur les notes de frais. Mais j'ai déjà pris les wagons-lits pour partir en vacances. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Je vous invite à boire une flûte dans ma cabine après le départ ? </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Je ne sais pas si c'est bien raisonnable, mais... avec plaisir. </span></p> <p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Elle me donne son numéro de cabine, c'est dans le premier wagon-lit et je n'aurais pas à traverser la moitié de la rame sous l'oeil soupçonneux des couchettistes. </span></p><p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">(à suivre)</span></p><p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></p><p style="margin-bottom: 0cm"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">[La photo est de </span><a href="http://ilojleen.deviantart.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Ilojleen</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">, avec gratitude]</span></p>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-20467243765805338542009-10-27T01:24:00.000+01:002009-10-27T02:08:32.052+01:00French Kiss<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Quelqu'un que j'aime bien m'a suggéré un billet sur le French Kiss. </span></div><div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et ça m'a tout de suite fait penser à ma douce Tara. Au début, les baisers de Tara étaient plutôt discrets, réservés, comme si elle n'osait pas. Depuis, ils sont devenus fougueux et passionnés. Sa langue n'a pas son pareil pour chercher ma bouche, caresser l'intérieur de mes lèvres, tourner autour de ma propre langue, revenir sur mes lèvres et ensuite sortir de ma bouche pour faire le tour de mon visage. Quand Tara embrasse, elle lèche aussi. Elle me lèche la figure, le yeux, le cou, revient à ma bouche en me tenant la tête à deux mains. La bouche de Tara quand elle m'embrasse est le prolongement de mon propre corps, tant elle donne l'impression de vouloir tout de moi. Parfois j'ai presque peur qu'elle me morde. </span></div><div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">J'ai aussi quand Tara me prend dans sa bouche et me suce, quand je jouis dans sa bouche et qu'immédiatement après je peux l'embrasser. Le goût de sa bouche, de sa salive mélangée à mon sperme est absolument délectable. Et dans ces moments-là aussi, elle embrasse à pleine bouche. Elle m'embrasse quand je viens de la lécher aussi, quand j'ai encore le goût de sa mouille sur les lèvres, elle vient me lécher le visage et me prend la bouche à pleines dents. J'adore cette fille. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjztx1U7ONTuzPy1fE5_TpsnxoHdNU4l164Mk764abn4a9o9VgTQ372TMEJ5aYkMj0eWWuyDADBN2RZV3E498xq1d1ZQ-oLm98Gm3mthZZZ5uvh_N3wUDYNv7dZWjm0ErmRgRsKWLK0udmX/s1600-h/The_First_Kiss_by_captatio.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjztx1U7ONTuzPy1fE5_TpsnxoHdNU4l164Mk764abn4a9o9VgTQ372TMEJ5aYkMj0eWWuyDADBN2RZV3E498xq1d1ZQ-oLm98Gm3mthZZZ5uvh_N3wUDYNv7dZWjm0ErmRgRsKWLK0udmX/s400/The_First_Kiss_by_captatio.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5397070532913784194" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 266px; height: 400px; " /></a></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">La jolie photo est de </span><a href="http://captatio.deviantart.com"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">Captatio</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">. Alles-y si vous aimez les pratiques fétichistes, le bondage et un brin de domination. </span></div>Unknownnoreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-62984924015135621992009-10-21T22:23:00.000+02:002009-10-21T22:48:20.729+02:00Loubna, son cul et son foulard<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Elle était sympa, Loubna. Au début, je ne la connaissais pas bien, on était à la fac ensemble mais on n'avait pas trop de contact en dehors des cours. Il faut dire qu'avec son foulard en permanence sur la tête, elle ne faisait pas partie de ces filles sur lesquelles on se retourne quand on les croise dans les couloirs. Pourtant, elle était très mignonne, avec ses très grands yeux et sa peau mate. Grande, et visiblement bien roulée. Elle portait un foulard, mais s'habillait presque à l'occidentale, portant de grandes tuniques sur des pantalons, ou des grandes jupes jusqu'aux chevilles qui ne laissaient pas deviner les formes qu'elles cachaient.</span></div> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et puis, sans trop savoir comment, on est devenus copains. En s'échangeant des cours au début, puis en prenant un café ou un thé à la cafétéria des étudiants. Elle me plaisait bien, Loubna, mais je savais que c'était peine perdue. On parlait de tout assez librement, de politique, de musique, de cinéma. Elle portait le foulard, mais c'était plus par tradition familiale que par pratique religieuse affirmée. Mais sans être réellement pratiquante, elle respectait la tradition selon laquelle elle devait arriver vierge à son mariage. Et évidemment, elle n'avait pas de petit copain attitré. </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Un jour qu'on révisait nos cours ensemble, on est venus à parler de ces sujets là, et à ma grande surprise, elle me dit, en me regardant dans les yeux : </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Tu sais, c'est pas parce qu'on doit être vierge au mariage qu'on s'interdit tout pour autant, hein... </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je restais sans voix un instant, puis lui demandais ce qu'elle voulait dire par là. </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Ben sois pas bête, si je ne peux pas "le faire", il y a plein d'autres moyens de s'amuser. </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et je sentis son pied remonter le long de ma jambe, pendant qu'elle continuait à me fixer tout en sirotant son thé. </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Nous nous sommes retrouvé dans mon studio. Avant même que j'ai le temps de réaliser ce qui se passait, sa bouche avait pris la mienne et ses mains étaient partout sur moi. Maladroitement, je cherchais où poser mes mains sur elle, elle les attrapa et les posa sur sa poitrine généreuse. Je défis rapidement les boutons de son chemisier et, passant mes mains dans son dos, je dégrafais son soutien-gorge. Elle se laissa faire lorsque ma bouche chercha ses seins. Ils étaient vraiment très gros, mais fermes, très bruns comme la peau de son ventre, avec un petit téton très foncé. Je les léchais avec désir, mordillant son petit bout et le caressant de la pointe de ma langue. Pendant ce temps, sa main cherchait à déboutonner mon jeans. Elle attrapa ma bite et la sortit. Je bandais ferme, elle se pencha, prit mon sexe dans sa bouche et se mit à me sucer en me branlant. Elle suçait divinement en tournant autour du gland avec la langue. Je passais ma main sous sa jupe et remontait le long de ses cuisses vers son sexe. Elle ne portait pas de culotte... Je caressais sa chatte pour ouvrir les lèvres, puis cherchai son clito que je me mis à masser, d'abord lentement puis plus rapidement. A un moment, elle lâcha ma queue et me prit la tête entre les mains, la faisant descendre vers son ventre. L'intention était claire, elle voulait que je la lèche. Sa chatte était très ouverte et très mouillée, le clito réagissait au moindre coup de langue, elle se cambra et poussa un cri losque son orgasme vint, puis de longs soupirs pendant que je la fouraillait de ma langue. De ma main droite restée libre, je me branlais frénétiquement. Puis nous nous redressâmes et firent tomber le reste de nos vêtements. Elle ne garda que son foulard sur les cheveux. Bon dieu qu'elle était belle, à poil, ses gros seins lourds, sa taille fine et ses hanches généreuses que je voyais enfin. Elle vint se coller contre moi, m'attrapa le sexe et tout en le branlant doucement me glissa à l'oreille : </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Tu sais, c'est pas parce que ma chatte est interdite que tu ne peux pas me la mettre ailleurs... </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et elle se retourna, se mit à genoux sur le lit et me tendit son cul rebondi. Je me penchais, et me mis à lui lécher le trou du cul en l'inondant de salive, histoire de faciliter la pénétration. Quand je la pénétrais, ma bite pénétra sans trop de difficulté une fois le gland passé, et je la baisais en entrant très profondément en elle. Elle était penchée en avant, la tête posée sur un coussin. Sa main était entre ses cuisses et elle se branlait pendant que je l'enculais. Ses gros seins ballottaient au rythme de mes coups de bite dans son cul, mes mains lui pelotaient les fesses, elle poussait de petits soupirs. Elle se fit jouir juste après que je décharge mon foutre dans son cul. Quand je sortis d'elle, elle prit un petit mouchoir qu'elle sortit de je ne sais où et essuya ma verge avant de déposer un gentil baiser sur le bout du gland. </span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></p><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidhCnevq4DJ0nR5H-dun9T8afpOHwNoVRdARsfeW-LlexbvguFk0eFPe0qX7z4xer9cHEiwZj-AuYjm2Z9qevAl-PqidJD5sQZ9BX495XK1X6BbFYRjNuksI8QVYtzuRh39DtV2TagRZWa/s1600-h/arabian_girl_eat_lollipop_by_viktike.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidhCnevq4DJ0nR5H-dun9T8afpOHwNoVRdARsfeW-LlexbvguFk0eFPe0qX7z4xer9cHEiwZj-AuYjm2Z9qevAl-PqidJD5sQZ9BX495XK1X6BbFYRjNuksI8QVYtzuRh39DtV2TagRZWa/s400/arabian_girl_eat_lollipop_by_viktike.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5395156485400924354" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 300px; height: 400px; " /></a><p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">On baisa encore souvent ensemble, mais jamais je ne pus pénétrer sa chatte. Elle me suçait, je la léchais et l'en, et ça suffisait à notre plaisir. Et toujours elle garda son foulard sur la tête, ce qui avait le don de m'exciter au plus haut point.</span></p> <p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je sais que depuis, elle a quitté la région, s'est marié avec un type qui la baise de temps en temps, toujours comme un manche et sans lui donner de plaisir. Alors elle s'offre des extras avec des amants de passage, leur demandant de la prendre par derrière. Mais toujours avec le foulard sur la tête. </span></p><p style="text-align: left;margin-bottom: 0cm; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">[la photo est de </span><a href="http://viktike.deviantart.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">Viktike</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">. Merci à elle.]</span></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-51566530773880504722009-10-05T23:26:00.000+02:002009-10-06T00:02:26.582+02:00Dans sa bouche<span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Elle était assise sur mes genoux, sa robe relevée jusqu'à la taille et dégrafée dans le dos la laissait presque nue. Mon pantalon était déjà par terre, tirebouchonné à mes pieds. Mais on n'avait pas de capotes (à vocation ici purement contraceptive, on sait qu'on est négatifs à tout, tous les deux) et on ne pouvait pas prendre le risque. Elle a alors passé sa main entre ses jambes, a attrapé ma queue et l'a frottée contre son clitoris pendant que je lui embrassais lui caressais les seins. Très vite, ma main droite a laissé sa poitrine minuscule pour descendre le long de son dos et s'insinuer entre ses fesses et chercher son sexe. Quelques caresses, un doigt qui pénètre et bouge lentement. Puis elle se dégage, s'agenouille devant moi et me dit : </span><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Je ne sais pas si je peux continuer...</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- ... </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- J'en ai envie, et toi ? </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- Continue, je t'en prie.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Elle m'embrasse la poitrine et le ventre, descend encore, tourne un peu autour en déposant des baisers et des coups de langue (dans l'aine, c'est irrésistible) et tout d'un coup, sans que je m'en aperçoive, mon sexe est dans sa bouche. Rarement on m'a pris comme ça. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Plus tard, elle me dira :</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- J'ai adoré te sucer. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et je lui répondrait : </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">- J'ai adoré ça aussi. Tu le refais quand ? </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><br /></div></div>Unknownnoreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-16546653041625128772009-09-10T00:15:00.000+02:002009-09-10T00:32:56.529+02:00Eloge de la masturbation #1<span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je viens de lire la série "Colocataires" chez </span><a href="http://dunefesseelautre.blogspot.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">D'une fessée à l'autre</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">, que je vous recommande chaudement. Le narrateur se masturbe devant sa jolie colocataire, qui passe son temps nue dans la grande maison. </span><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Douce sensation, tendres souvenirs. C'est si agréable de se branler devant quelqu'un. Quelqu'un en chair et en os, je veux dire, pas devant une photo ou un film. J'ai quelques souvenirs émus de séances de branlette intensives quand, alors que j'étais ado, notre voisine se bronzait les seins dans son jardin et que j'avais une vue dégagée depuis la fenêtre de ma chambre. Elle avait l'âge de mes parents, mais une paire de seins fabuleux. Je me branlais plusieurs fois dans l'après-midi, deux fois pendant qu'elle bronzait et encore par la suite. Parfois, ses filles faisaient de même et c'était encore mieux. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">J'ai eu d'autres occasions de le faire par la suite en matant des gens, je ne vais pas tout raconter ici et en garder pour d'autres billets. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Mais l'idéal, c'est quand même quand on est deux à le faire. Par exemple avec une jolie fille. Ou un joli garçon si on est une fille. Plutôt que de se pénétrer (ce qui reste sommes toutes d'un classique parfois affligeant), s'asseoir confortablement chacun d'un côté d'un grand lit, parce que c'est confortable, en se faisant face, et se masturber en regardant l'autre le faire. C'est encore meilleur que de se masturber l'un l'autre. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Vous ne l'avez jamais fait ? Essayez, c'est un plaisir grandiose. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je sens que la prochaine fois, avec Tara... </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je vous raconterai. </span></div>Unknownnoreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-49683002921343912842009-09-07T22:59:00.000+02:002009-09-08T00:21:02.262+02:00Je suis une pute.<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Oui, je suis une pute. Ça s'est un peu calmé ces derniers temps, depuis qu'Eloïse est entrée dans ma vie. Encore que certains soirs, elle aime me vendre au plus offrant. Mais ceci est une autre histoire.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Avant Eloïse, j'étais une pute. J'avais un train de vie qui n'était pas en adéquation avec mes maigres moyens d'étudiant désoeuvré, j'ai toujours aimé le champagne, les belles fringues et les soirées amusantes dans les </span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">places to be</span></i><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">, toutes choses fort onéreuses s'il en est. Alors je me vendais. Je sortais dans certains bars où je savais que des gens venaient rencontrer d'autres gens, je m'installais au bar et commandait un verre. En général, commencer par quelque chose de peu alcoolisé, ça permet de garder le contrôle sur soi et sur la situation. Je repérais une proie, lui signalais ma présence par un geste un peu large, un regard appuyé. Ça marchait ou ça ne marchait pas. En cas d'échec, je recommençais ailleurs. Je n'étais pas trop difficile sur le sexe, hommes ou femmes m'ont ouvert leur lit et leur portefeuille (jamais de chèque). C'était parfois des relations d'une nuit, parfois plus durables comme ce monsieur, notable nanti qui devait s'ennuyer auprès de sa bourgeoise et qui n'aimait rien tant que de sucer ma queue et que je lui éjacule sur le visage. Il n'était pas beau, mais était gentil et généreux, il me donnait cent euros pour une soirée. Il a disparu un jour, n'a plus donné signe de vie. Ce n'était jamais moi qui appelait, question de principe. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Ou cette femme, la quarantaine dynamique, un poste de cadre haut perché dans la hiérarchie de sa société de conseil mais qui n'avait pas eu le temps de se bâtir une relations stable et qui me payait pour la baiser et la baiser encore. Ces soirs-là, dont je connaissais la date à l'avance, il me fallait prendre un petit ecsta avant d'aller la rejoindre. On n'avait l'impression qu'elle n'en avait jamais assez. Elle était pleine de thune et me filait 150 ou 200 euros, selon l'heure à laquelle on se retrouvait. En échange, il fallait la baiser jusqu'à six fois dans la nuit, et parfois même l'enculer si l'envie l'en prenait. Dommage qu'elle ne suçait pas bien, elle avait une bouche à damner un saint.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Ou encore celui dont je n'ai jamais su la profession, la cinquantaine réjouie vaguement bedonnante, qui voulait me mater pendant que je me branlais en regardant des pornos. Une fois que j'avais joui, il me traitait de petit salaud qui méritait une bonne correction et il me fessait du plat de la main, pendant de longues minutes. Ensuite et pour s'excuser, il m'embrassait le cul et me léchait le trou en me demandant pardon. Parfois il m'enculait aussi, mais il bandait généralement assez mou et, malgré les poppers, sa bite ne rentrait pas. Lui, je lui ai pris un max de pognon, parce que je n'aime pas qu'on me tape (sauf si je suis amoureux).</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">J'en ai refusé quelques uns aussi, et là il fallait souvent se faire discret et courir vite. Comme avec cet espère ce nazi qui voulait me prendre en photo en train de sucer la pine de son berger allemand. Ou le mec un peu louche qui voulait m'emmener dans un endroit incertain, la fois où j'ai du sauter en marche de sa voiture dans un virage avant de risquer de me retrouver loin de tout, enterré au fond d'un bois. 15 bornes sous la pluie avec des chaussures fines, l'horreur. C'est pour éviter ce genre de situation qu'il vaut mieux ne pas boire trop fort en début de soirée. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTyxSA-2s7cN3EPM9Yp_NeHd7vaYhXHoz1JIM8K9EedubvUSh-UnnstpUq2r_BsosR1PRPaAMD9y0A89_jtRoJfuabt1BF3L_QWT1r63zz-bgDovhJgvKYgSOwMlb9PiqB_3xrUhda0vK5/s1600-h/The_Whore_by_Sorenquist.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTyxSA-2s7cN3EPM9Yp_NeHd7vaYhXHoz1JIM8K9EedubvUSh-UnnstpUq2r_BsosR1PRPaAMD9y0A89_jtRoJfuabt1BF3L_QWT1r63zz-bgDovhJgvKYgSOwMlb9PiqB_3xrUhda0vK5/s400/The_Whore_by_Sorenquist.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5378851334561366626" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 290px; height: 400px; " /></a></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">L'idéal était bien sûr d'avoir des clients réguliers. Au moins on sait qu'ils sont propres, même si ce qu'ils demandent ne l'est pas toujours (je ne vous raconte pas les trips uro de certains ? Se faire pisser dans la bouche est une expérience étrange). Mais parfois les besoins en fric étaient tels (j'entretenais aussi quelques relations pour le pur plaisir, et elles me coûtaient les yeux de la tête en champagne, petits cadeaux et autres menus plaisirs) qu'il fallait aller racoler, aller vendre son cul ou louer sa bite pour quelques instants ou une nuit en échange de quelques billets.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Et oserais-je l'avouer ? Parfois, ça me manque. Quand je vous dis que je suis une pute...</span></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">La photo est de </span><a href="http://sorenquist.deviantart.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">Sorenquist</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">. Merci. Merci aussi à </span><a href="http://www.loveboudoir.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">Love Boudoir</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;"> qui me référence et m'envoie plein de visiteurs. Et je ris à l'idée de savoir que </span><a href="http://feuillederose.blogspot.com/2009/08/love-song-desperate-version.html"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">Cohendy</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;"> est revenue.</span></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-37534874897464108862009-08-31T22:43:00.000+02:002009-09-01T00:02:50.568+02:00Love song (desperate version)<span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Eh bien c'est fini. Aujourd'hui, Feuille est un peu triste, un peu mélancolique. Cohendy a tiré sa révérence. Elle a fermé son blog, son twitter et tout le reste. Elle m'a expliqué ses raisons, qui sont tout à fait recevables et je respecte sa décision. Elle ne reviendra pas. </span><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et moi je me sens tout triste. Je ne l'ai jamais vraiment rencontrée, Cohendy. On se connaissait par Twitter, par quelques commentaires sur nos blogs respectifs, par quelques mails. J'ai tout de suite adoré ce qu'elle écrivait. Ses histoires me prenaient à la gorge, peut-être parce qu'elle écrivait l'autre versant, le côté obscur et dur de la vie, alors que Feuille se cantonne dans le frivole et le léger sans s'embarrasser des contingences. J'ai eu plaisir à lui laisser les clés de la maison pendant mon escapade sur le Causse, elle est allée bien au-delà de ce que j'avais espéré. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Mais là, c'est fini et je suis triste. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je ne l'ai jamais rencontrée, je ne sais pas vraiment à quoi elle ressemble. Pas d'attirance particulière, n'ayant aucune image et n'ayant construit aucun fantasme sur ses textes (il aurait fallu être sérieusement plus atteint que moi pour y arriver). Mais je l'aimais, Cohendy. Pour sa sensibilité dure, pour ses formules au burin voire à la barre à mine, pour les coups de poing qu'elle me balançait sans le savoir à chaque nouveau billet, je l'aimais vraiment.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Voila, c'est dit. Cohendy, je t'aimais. Et tu fais chier d'être partie. Mais c'est la vie, et je t'aime toujours. Tu reviens quand tu veux, la porte d'ici t'est toujours ouverte. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">(interlude musical)</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style=" white-space: pre; font-family:Arial, sans-serif;"><object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/lQ1aSVPuAug&hl=fr&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/lQ1aSVPuAug&hl=fr&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">(fin de l'interlude musical)</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Passé cet monologue qui n'intéresse que moi et mon deuil, que faire - que dire ? </span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">The show must go on</span></i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">, paraît-il. J'étais parti pour faire une éloge de la branlette, mais ce soir je n'ai pas trop envie de ça. Je vais bientôt à l'Agence, je vais y retrouver Tara. Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vus, et on a très envie d'un câlin ensemble. Ce ne sera rien de très original, vu le peu de temps dont nous disposerons. Nous nous retrouverons chez elle, dans sa chambre ou dans son salon, celui avec le grand canapé noir qui a déjà accueilli tant de nos parties de baises furieuses. On se mettra nus, avec Tara c'est sans chichi. On prend le temps de se déshabiller l'un l'autre quand on a plus d'une demi-heure à passer ensemble. Là, on ira à l'essentiel. On s'allongera l'un à côté de l'autre, dans les bras l'un de l'autre et on s'embrassera à pleine bouche, les mains courant partout sur le corps de l'autre. On les arrêtera sur nos sexes, je serai déjà bien dur et elle sera déjà bien humide, on se branlera, elle dégoulinera et je serai très raide. Ensuite, il est possible qu'on se lèche, qu'on se fasse un soixante-neuf ma bite dans sa bouche et ma langue sur son clito. Quand c'est comme ça, j'aime lui mettre un ou deux doigts dans la chatte pour la branler pendant que je la lèche, elle ne résiste pas longtemps. Ou alors je lui mets un doigt dans la chatte et un dans le cul. Elle adore qu'on lui fasse des choses avec les doigts ou la langue dans le cul. Elle tiendra ma bite bien solidement d'une main et l'embrassera, la léchera avant de se l'introduire dans la bouche. Ensuite, elle me sucera en frottant mon gland contre l'intérieur de sa joue. C'est irrésistible. Si je jouis dans sa bouche, je l'embrasserai ensuite immédiatement pour avoir le goût de mon sperme mélangé à sa salive. Elle le sait. Ou alors toutes ces histoires de léchouilles ne sont qu'une partie des réjouissances et je la pénétrerai. Elle sur moi, moi sur elle, moi devant elle lui tenant les jambes bien ouvertes ou au contraires relevées à la verticale, ou bien encore elle couchée sur le côté et moi qui la baise par derrière, tout dépendra de l'enchaînement des caresses. Ce qui est certain, c'est que je regarderai ma bite entrer et sortir de sa chatte. Je me demande si elle y mettra autant de cyprine que la dernière fois. Elle était tellement mouillée que les draps ont reçus leurs premières taches avant même que je n'éjacule. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et ce qui est tout aussi sûr, c'est que je ne raterai pour rien au monde son regard quand on baise, quand elle me fixe par en dessous, la tête légèrement penchée vers l'avant et les yeux levés. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Quand on aura bien baisé, on ira prendre une petite douche rapide, histoire d'évacuer les odeurs trop prégnantes avant de retourner à l'Agence. Mais tout l'après-midi, je sentirais encore</span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> the great smell of fuck</span></i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> autour de moi et j'aurai le goût de sa chatte dans la bouche. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">J'adore Tara. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Edit en forme de Post-scriptum : Cohendy, ne m'en veux pas de parler de toi ici, tu fais partie des gens à propos desquels je préfère généralement me taire, égoïstement . Mais il fallait que ça sorte. Je t'embrasse.</span></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-36335109981903815982009-08-24T22:24:00.000+02:002009-08-24T23:56:04.682+02:00Opening minds (Causse, dernière)<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Après </span><a href="http://feuillederose.blogspot.com/2009/08/causse-toujours.html"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">un si bon début</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">, il fallait que ça arrive.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Jennifer s'est décoincée, et elle s'est mise à poil comme tout le monde. C'est Eloïse qui a ouvert les hostilités, enfin si on peut appeler ça comme ça. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">"Tu as des seins magnifiques, j'aurais rêvé en avoir des gros comme les tiens." (Le lecteur assidu et attentif se rappellera qu'Eloïse a de jolis petits seins). </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">La jeune fille lui répond en rougissant, quelque chose comme "Merci, les tiens aussi ils sont jolis."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">"Tu permets que je les touche un peu, pour voir comment ça fait ?" et tout en disant ça, sans attendre que Jennifer ne dise quoi que ce soit pour s'y opposer, Eloïse est à côté d'elle et a posé la main sur le sein de la fille. "Oh la la, qu'est-ce que c'est doux..." Je rigole intérieurement, on dirait qu'Eloïse n'a jamais mis la main sur le sein d'une autre. Jennifer ne dit rien, mais lance de petits regards affolés vers Javier : va-t-il permettre que quelqu'un d'autre que lui pelote les seins de sa nana ? Il ne dit rien, souris et regarde. A la façon dont il les mate, je vois que ça l'excite. Dans quelques instants, il ne va pas pouvoir s'empêcher de bander et, comme il est à poil, il ne pourra pas le cacher. Eloïse se redresse et se place face à Jennifer : </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">"Ne sois pas si tendue pas comme ça. Je vais te dire un secret de femme : il n'y a qu'une femme pour savoir caresser les seins d'une femme. Je vais te montrer, ne t'occupe pas d'eux." Et sans lui laisser le temps de respirer, elle se met à lui faire des choses très douces avec les mains, les doigts et la bouche. Et pour être sûre de bien la tenir, elle l'embrasse à pleine bouche. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Javier, pendant ce temps, n'en rate pas une. Je vois sa bite se gonfler, et je me demande ce que je vais en faire. Je me doute qu'Eloïse aimerait me voir le prendre, lui mettre ma queue dans son petit cul musclé. Mais serait-il d'accord ? Je ne vais pas le violer tout de même. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">"Elles sont belles. Ca te plaît de les voir ensemble ?"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">"Oui oui, c'est très excitant... "</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">"Alors fais comme moi, profite !" et je m'installe confortablement sur le bord du bassin et je commence à me branler. Javier a l'air surpris, mais se sentant autorisé il s'y met aussi. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Après, je ne sais plus trop bien ce qui s'est passé, ou plutôt dans quel ordre ça s'est passé. Je me souviens d'Eloïse ayant la main puis la bouche sur le sexe de Jennifer, de mon propre sexe prenant Eloïse en levrette, de la bouche d'Eloïse sur la bite de Javier pendant que je léchais Jennifer, de mes doigts et de ma bite dans la chatte de Jennifer. On a du s'interrompre à un moment pour manger un morceau de pain avec quelques fruits et un peu de jambon sec, qu'on a mâché à toute vitesse et sans rien dire, les yeux fiévreux d'envie ; on a arrosé tout ça d'un verre de vin rouge et on est repartis dans plusieurs combinaisons. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Nos deux visiteurs sont restés deux jours de plus chez nous, à passer les journées à poil au soleil. Javier, que j'imaginais assez </span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">straight</span></i><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">, s'est révélé plus ouvert que je ne le pensais au départ. Peut-être était-ce le fait d'être nu toute la journée qui éveillait ses sens, ou le fait que les filles se passaient très bien de nous quand elles le décidaient ? A un moment où elles étaient parties à deux faire un petit tour (et probablement se faire des tas de choses très cochonnes), je l'ai sucé. Il a eu l'air surpris au début, mais il s'est laissé faire. Quand il a eu joui, il avait l'air d'avoir découvert quelque chose. Plus tard, il a voulu essayer à son tour. Il a fallu que je le guide un peu (on sentait ses dents, j'aime pas ça), mais il s'en est bien sorti. Finalement, je ne l'ai pas enculé, mais ça a sensiblement augmenté les possibilités de baise à quatre. La dernière journée n'a été occupée que par du sexe, des petites siestes pour récupérer, quelques casse-croûtes pour se refaire, et encore du sexe. Les filles adoraient nous voir nous sucer entre hommes, mais nous avons aussi beaucoup baisé. Les gros seins blancs de Jennifer étaient vraiment très doux et elle s'en servait pour faire des <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Mazophallation">branlettes espagnoles</a> fabuleuses. En plus, c'est le cas de le dire...</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;"><br /></span></div><div><br /></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoqtNNBuyAz2ynuReJLFwnMPPQ5p3UcDH5HfC2TV6KY5Ox2FtFx8-8Ts07wF2FMnvW95XZrrttZP7-wLqD4fFM3HU09kPt5InKHzZIY5IAGRR_Nwlr2LJlIUnPIIbdUgQKl9HVGHbvwzK0/s1600-h/the_stars_in_the_water__by_m0thyyku.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoqtNNBuyAz2ynuReJLFwnMPPQ5p3UcDH5HfC2TV6KY5Ox2FtFx8-8Ts07wF2FMnvW95XZrrttZP7-wLqD4fFM3HU09kPt5InKHzZIY5IAGRR_Nwlr2LJlIUnPIIbdUgQKl9HVGHbvwzK0/s400/the_stars_in_the_water__by_m0thyyku.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5373648312867945602" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 400px; height: 301px; " /></a></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Le troisième jour, il a fallu qu'ils repartent. Ils avaient un but à atteindre avant la fin de leurs congés, et ils ne voulaient pas en dévier. En partant, Jennifer a pris la tête d'Eloïse entre ses mains, l'a embrassée à pleine bouche, et lui dit "Yé n'oublierai yamais. Yamais..." </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Quand ils ont été partis et que j'ai demandé à Eloïse ce à quoi elle avait fait allusion, elle a souri et n'a pas voulu me dire. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">J'adore ma femme. </span></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-28433323476221151312009-08-19T22:40:00.000+02:002009-08-20T00:10:29.559+02:00Causse toujours<span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je reprends le fil </span><a href="http://feuillederose.blogspot.com/2009/08/back-from-outer-world.html"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">laissé en plan lundi soir</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">. </span><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Nous étions donc dans notre petit paradis, Eloïse et moi, à nous reposer de notre vie trop active. Un jour de forte chaleur, on était dans notre bassin, à poil comme d'habitude. Je lisais, assis dans l'eau peu profonde. Eloïse prenait le soleil et de sa main droite me branlottait gentiment, plus pour jouer que réellement pour me faire prendre du plaisir. Le soleil tapait fort, nous faisions concurrence aux lézards lorsqu'un bruit inhabituel nous tira de notre torpeur. Un bruit différent des bruissements du vent dans les quelques arbres, différent du clapotis de l'eau dans la fontaine et le bassin, un bruit comme un bruit de voix rythmé par des petits claquements secs. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Nous en étions encore à nous demande ce que ça pouvait être quand deux têtes sont apparues derrière le muret de pierre sèches qui borde la parcelle. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Bonyour"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Bonjour"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Esscousez-moi, vous savez si le schemin pour X passe ici ? Nous sommes oune peu perdous."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Espagnol, accent catalan, me dis-je. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Notre cabane longe une ancienne variante du </span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">camino françès</span></i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">, ce chemin de Saint-Jacques qu'empruntaient autrefois ceux qui se rendaient à Compostelle en pélerinage. Plus personne ne passe ici maintenant, le chemin n'existe plus ou presque tant il a été mangé par les ronces et les chardons. Et pourtant, aujourd'hui il y a deux personnes sur le chemin ou ce qu'il en reste. Mais ils n'ont pas l'air de pélerins, ils ne portent pas le symbole de la coquille, pourtant caractéristique. Des randonneurs, à coup sûr. Le chemin de Saint-Jacques est à la mode. Un gars, une fille. Dans les vingt, vingt-deux ans. Du genre à partir en randonnée avec une carte mais sans boussole. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Oui, il passait par ici, mais il y a longtemps qu'il n'existe plus."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Ah, nous sommes vraiment perdous alors."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Je crois, oui. Il y a longtemps que vous marchez ?"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Dépouis six hores cé matin."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Eh bien posez-vous un peu, vous avez l'air cuits."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Regards de l'un vers l'autre. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"On né voudrais pas vous déranzer..."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Eloïse : "Je vous en prie, vous ne dérangez pas, ça fait une semaine qu'on n'a vu personne. Venez vous baigner, elle est bonne."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Nouvel échange de coups d'oeil. De là où ils sont, ils voient nos têtes et nos épaules mais ne peuvent pas voir qu'on est à poil. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Oui, mais c'est à dire que... nous n'avons pas les maillots dé bain."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Eloïse se lève : "Ben c'est pas grave, nous non plus !" Tête de nos deux promeneurs devant cette jolie fille nue qui sort de l'eau et marche dans leur direction ! Eloïse arrive au muret, ruisselante, et leur indique le passage pour entrer sur la parcelle. Ils ont du avoir vraiment chaud, ils la suivent gentiment, docilement. Une fois les gros sacs à dos posés dans la cabane (comment peut-on emmener tant de bazar avec soi quand on marche ?), Eloïse les amène tous les deux au bord du bassin, dont je ne suis pas sorti. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Vous voyez, comme on est toujours tout seuls, on se baigne tout nus. D'ailleurs, on est preques toujours tout nus ici, il n'y a personne pour nous déranger. Mettez-vous à votre aise et venez vous raffraîchir, vous en avez besoin. Vous repartirez demain, de toute façon le soir approche." Le garçon (nous apprendrons qu'il s'appelle Javier, la fille c'est Jennifer, ce qui ne fait pas typiquement espagnol, j'en conviens, mais la mode est ce qu'elle est), le garçon, donc, se déshabille assez rapidement, enlève son T-shirt, son pantacourt, ses grosses godasses et ses grosses chaussettes, a un dernier moment d'hésitation avant de faire tomber son slip, et entre tout nu dans l'eau tiède en faisant des petits Oh et Aaah. Il n'est pas très grand, mais plutôt bien gaulé, de jolis muscles assez long sur les membres et des pectoraux à peine développés. blond, les cheveux bouclés. Jennifer semble moins décidée, plus timide, mais nous l'encourageons tous les trois. Elle dit alors "Bon, je viens, mais pas toute nue."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Elle entre dans l'eau en culotte et soutien-gorge, la trouve à son goût et s'y allonge. Personne ne lui dit que si c'est pour porter une culotte et un soutien-gorge blancs mouillés, autant être nue. Mais je sais qu'Eloïse n'en pense pas moins. Jennifer fait à peu près la même taille que Javier, mais elle est brune, un peu boulotte, des fesses rondes, des hanches rondes, des gros seins ronds et lourds. J'ai vu le regard d'Eloïse les détailler, je sais qu'elle trouve Javier à son gôut mais Jennifer un peu moins. Elles les préfère comme elle-même, élancées et fines. Pour ma part, je lui ferais bien pousser des cris au clair de lune, à la petite espagnole. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">On discute un peu, de leur lieu de départ (Barcelone, en effet), de leur périple (Le Puy en Velay jusqu'à Roncevaux, par cet itinéraire abandonné - ce qu'ils ignoraient), de tout et de rien. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Eloïse se propose d'aller chercher à boire, une bonne citronnade fraîche, je lui dis que je l'accompagne pour l'aider à presser les citrons. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Et surtout pour lui toucher deux mots : </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Comment tu les trouves ?"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Sympas, pas mal. Surtout lui, il me plaît bien. Elle un peu moins, mais pourquoi pas ? Je me doute qu'elle t'excite un peu, non ?"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Tu en connais beaucoup qui ne m'excitent pas ?"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Obsédé !"</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"C'est pour ça que tu m'aimes..."</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Oui" et elle m'embrasse. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Il nous a bien fallu dix minutes pour préparer le jus de citron. Quand nous revenons, les deux visiteurs impromptus sont en train de s'embrasser dans l'eau du bassin. Javier a une main dans le soutif de Jennifer et lui pelote un sein. Je devrais dire "lui pétrit" un sein, tant on dirait une miche de pain blanc pas encore cuit. Elle a sa main entre les jambes de son copain et lui caresse la bite. Quand ils nous entendent arriver, il s'écartent vite l'un de l'autre, comme deux ados surpris en train de jouer à touche-pipi par leur parents. C'est amusant, nous ne sommes pourtant pas beaucoup plus âgés qu'eux, mais dix ans à cet âge-là, ça compte encore. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">"Ne vous gênez pas pour nous." leurs dis-je en riant et en entrant dans l'eau, et j'attire Eloïse contre moi pour l'embrasser. Elle est couchée sur moi, je lui tiens une fesse dans chaque main. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Nous rions, même la demoiselle. La glace commence à fondre. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">(</span><i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">A suivre</span></i><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">)</span></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-58793225446957154292009-08-17T21:44:00.000+02:002009-08-17T23:22:20.710+02:00Back from outer world<div style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Cohendy, douce amie, vous fûtes merveilleuse.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je n'avais pas imaginé, en vous laissant les clés du blog, que vous nous tourneriez des écrits de cette qualité. Mais vous connaissant un peu, je n'en suis qu'à peine surpris a posteriori. Puis-je me permettre un instant de franchise ? J'ai trouvé votre idée de changer de sexe tout à fait dans le ton de votre - disons - personnage. Long hair, no sex... Vous avez habité le rôle à merveille. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Aussi voudrais-je vous proposer, très très chère amie, de garder un double des clés. J'ai mon trousseau, mais vous gardez votre accès. Si un jour l'envie ou l'urgence vous reprenait de vouloir repartir sur les voies du blog sexuelo-pornographico-érotico-cochon-fun, vous serez toujours la bienvenue. Et soyez assurée de toute mon affection et de ma tendresse. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Bon. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Il est de bon ton, quand on revient de vacances, d'en raconter un peu : où on est allé, ce qu'on a fait, ce genre de choses. Comme </span><a href="http://feuillederose.blogspot.com/2009/07/les-cles-du-pouvoir.html"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">je vous l'avais dit</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">, j'ai trouvé refuge quelque part sur le Causse, entre Aubrac et Larzac. L'endroit est isolé, très loin de tout. Une petite parcelle de rocher et de lande, du caillou (beaucoup), des herbes folles (un peu). Une cabane en pierre sèches, comprenant une seule pièce équipée d'une table, de trois chaises, d'un matelas sur un bas-flanc en pierre et d'une cheminée. Devant la cabane, un petit tertre de pierre, un grand rocher plat qui fait office de terrasse et de lieu de vie, tant la cabane ne sert que de refuge pour les jours de grande pluie. Creusé dans ce grand rocher plat, une espèce de bassin qui a du servir à faire boire les brebis à l'époque où la lande était encore habitée par les troupeaux et leurs bergers. Assez grand, pas loin de trois mètres de diamètre. Correctement nettoyé, il nous fournit un bassin - on n'ose dire une piscine - nous permettant de nous baigner. Il est alimenté par une petite fontaine installée sur une source captée, qui nous fournit l'eau. Pas d'électricité, pas de téléphone, pas de gaz de ville. Rien. Le peu de cuisine se fait sur un petit trépied en fer posé sur un feu de bois devant la cabane ou dans la cheminée. La toilette à la fontaine. Les nuits se passent dehors, sur le grand rocher plat chauffé par le soleil ou dans la cabane si le temps n'est pas assez clément. Nous y vivons nus en permanence, tant l'endroit est retiré et personne ne risque de s'offusquer. On ne s'habille qu'une fois par semaine pour descendre au bourg faire le marché. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEil4MdWUKxszknPmFZqDSLalMdoCLlu6_pL7bZaIuemZdrZ8ElWG9kZELSc8F1ddnl4AHWEjPnlMwRGA1xtVQSiNgbAOri0yAQ-xEzbv8-leDedAweyLvytKWaoXYjEcw_s70aoMz6u5k-v/s1600-h/cazelle_by_1crackers.jpg"><img src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEil4MdWUKxszknPmFZqDSLalMdoCLlu6_pL7bZaIuemZdrZ8ElWG9kZELSc8F1ddnl4AHWEjPnlMwRGA1xtVQSiNgbAOri0yAQ-xEzbv8-leDedAweyLvytKWaoXYjEcw_s70aoMz6u5k-v/s400/cazelle_by_1crackers.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5371043836277467218" style="display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; text-align: center; cursor: pointer; width: 400px; height: 247px; " /></a></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Le séjour commence toujours par deux jours de sevrage, à base de thé vert et de yaourt nature. Histoire de se vider, au propre comme au figuré (ce blog connaît un bref passage scato, mais ça ne va pas durer). </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Le reste du temps, on lit les bouquins qu'on a apportés pour ce séjour, on dort beaucoup et on baise encore plus. Dans la cabane, sur le tertre, dans le bassin, partout sur notre bout de paradis. Il ne doit pas y avoir beaucoup d'endroit où nous n'avons pas pris notre pied. Pas de visites de musées ou de chapelles romanes, le paysage et le corps nu d'Eloïse suffisent à satisfaire mon besoin de beauté. Juste elle et moi. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Jusqu'à un jour où... </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Je vous raconterai la prochaine fois. Laissez-moi le temps d'atterrir. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">L'image vient de chez </span><a href="http://1crackers.deviantart.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">1crackers</span></a><span class="Apple-style-span" style="font-size: small;">. Merci.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><br /></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8768382968109837957.post-23874088474505045412009-08-15T19:24:00.000+02:002009-08-15T19:24:05.634+02:00.This Is The End.J'embrasse une dernière fois sur la glace mon reflet mâle qui s'estompe et je rends les clés.<br />
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdSmjOZ9TwEB4j6qtgVmaCgL7isCCq5m7Jk_ppdeED6_oiqhoN1iPlxWaD5eSy5LY4yWwgg6bMAdfX6lH2xQQbRWtLR380KGp8O41OrKeLo49iRI9tbW6bJ2aEai1VHmu-wDv4Vvc9hn8k/s1600-h/SF_EXTRA_08.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdSmjOZ9TwEB4j6qtgVmaCgL7isCCq5m7Jk_ppdeED6_oiqhoN1iPlxWaD5eSy5LY4yWwgg6bMAdfX6lH2xQQbRWtLR380KGp8O41OrKeLo49iRI9tbW6bJ2aEai1VHmu-wDv4Vvc9hn8k/s320/SF_EXTRA_08.jpg" /></a>Feuille est revenu, ma féminité aussi. (il m'a appelé "ma poule", ce goujat, ça m'a tout de suite remis les pieds sur terre)<br />
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Écrire ici, pour moi, qui suis quand même bien coincée des fesses quand je m'y mets, a été une expérience... Mmmh, les mots me manquent. Instructive. Disons.<br />
Et à plusieurs niveaux.<br />
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L'écriture est comme tout, il faut pratiquer pour s'améliorer. Décrire des scènes de sexe, réelles ou fantasmées, ça n'a jamais été mon fort. L'exercice imposé de ces deux dernières semaines m'a agréablement déniaisé la plume. <br />
<br />
Et puis j'adore, positivement, me glisser dans la peau d'un homme. Pouvoir le faire ici, une fois de plus, m'a énormément amusé. <br />
<br />
Je présente mes excuses à ma voisine, qui en vrai n'est certainement pas une Marie-couche-toi-là. Elle ne lit pas Feuille, mais on ne sait jamais.<br />
<br />
Je prie également Elohim de me pardonner. (Mais que celui qui n'a jamais pris ses amis/ex/amants/colocataires/connaissances pour les faire figurer dans des textes érotiques me jette la première pierre.)<br />
<br />
Voilà, c'est à peu près tout.<br />
J'espère vous avoir permis de ne pas trop vous morfondre pendant l'absence de Feuille.<br />
Il reprend dès lundi les rênes de ce blog. Et je m'en retourne gentiment bavasser sur le mien. <br />
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Je vous laisse avec un lien, et ce qui reste pour moi, grande hermétique à la pornographie, la meilleure façon de se faire plaisir avec les yeux. <a href="http://starfightercomic.com/warning.html">Du yaoi. </a><span style="font-size: x-small;"> </span><br />
<br />
<span style="font-size: x-small;">(L'illustration </span><span style="font-size: x-small;">de ce billet </span><span style="font-size: x-small;">(que Feuille appréciera) vient également de là)</span><br />
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<div style="text-align: right;">Mes respecteux hommages,</div><div style="text-align: right;"></div><div style="text-align: right;">Cohendy</div>Unknownnoreply@blogger.com2