samedi 24 juillet 2010

Gang-banging Tara

Ce soir, sous la douche, je pensais à Tara. Ma douce Tara, que je n'ai pas vue depuis longtemps, plusieurs semaines déjà. Et il va s'en écouler au moins autant avant la prochaine rencontre. Chaque fois que je suis sous la douche, j'y pense. Parfois, je me touche en pensant à elle, à la première fois qu'elle m'a fait jouir (c'était justement sous la douche) ou à notre dernière partie de sexe. On l'a déjà lu ici dans d'autres billets, j'aime la masturbation, que ce soit en solitaire, à deux ou à plusieurs. Et là, pendant que je me branlais, il m'est venu une pensée amusante, un nouveau fantasme.
J'étais en train de lécher la chatte de Tara, ce qu'elle aime beaucoup et qui la fait jouir presque à chaque fois. Elle est allongée sur le lit, moi entre ses cuisses. Un autre mec arrive, nu, et lui présente sa bite, très raide et droite, qu'elle prend dans sa bouche pour la sucer. Tara suce divinement, et j'aimerais que tous les hommes aient la chance d'être sucés comme elle le fait. Là, elle s'applique, y met tout son coeur, j'ai m'impression qu'elle le suce comme si c'était lui, son amant attitré.
Un bref flash-back me montre Tara, debout, en pantalon et en soutif. Des mains d'homme lui dégrafent son soutien-gorge et lui caressent les seins, pendant que d'autres mains encore ouvrent son pantalon et entrent dans sa culotte à la recherche de son sexe. Elle m'embrasse à pleine bouche pendant que ces mains étrangères la caressent. D'autres mains encore prennent possession de son cul, de ses fesses divines. Elle m'embrasse toujours pendant que de ses deux mains elle tient les sexe des hommes qui la touchent. Les types sont nus, elle les branle doucement pendant qu'ils la touchent partout, que des bouches lèchent ses seins, que des doigts prennent sa chatte, qu'une main passe entre ses fesses.

Retour à la situation précédente, elle est nue sur le lit, je la baise pendant qu'elle suce un autre mec. D'autres types se branlent à côté, lui touchent les seins, le ventre. Elle change et en prend un autre dans sa bouche, dans cette jolie bouche que j'aime tant embrasser. Un autre que moi la pénètre. Je regarde cette bite que je ne connais pas entrer dans sa chatte. Je lui prends la main, elle suce toutes les bites qui se présentent avec la même tendresse, avec la même attention. Parfois je me présente devant elle, et elle lâche la queue qu'elle a dans la bouche pour prendre la mienne, en me regardant par en-dessous, ce qui a le don de me rendre dingue. Il y a toujours des types en train de la baiser, de la toucher, de lui caresser le clitoris pendant qu'un sexe la fouaille. Les premiers commencent à jouir et l'éclaboussent de leur sperme. Elle en a sur le ventre, sur les cuisses, sur les seins, sur la bouche. Je regarde encore quand elle se retourne pour chevaucher la bite d'un type, tout en suçant un autre. Un troisième s'approche par derrière et lui enfonce sa queue dans le cul. Prise par trois types, elle me regarde et rit pendant que je finis de me branler, que je pousse le type qu'elle avait en bouche pour jouir entre ses lèvres. Aucune parole n'a été échangée pendant ce qu'il faut bien appeler un gang-bang, mais je vois dans son regard et son sourire qu'elle est heureuse, qu'elle a l'air d'avoir aimé être prise par tous ces types sous mes yeux.

Ce rêve m'a fait jouir à longs jets, et j'ai regardé mon sperme être aspiré par la bonde d'évacuation de la douche avant de me savonner vigoureusement pour revenir dans le monde réel. Tout ceci n'est évidemment qu'un fantasme, je ne suis pas certain d'avoir envie de partager les moments avec Tara avec qui que ce soit (quoi que, à la réflexion, si quelqu'un nous plaisait à tous les deux...), et je ne suis pas du tout certain que cela lui plairait, d'avoir un autre homme dans son lit en même temps que moi. Ou une femme, après tout pourquoi pas, au début j'étais persuadé qu'elle n'aimait que les filles.
Ce n'est qu'un fantasme, mais il rend l'attente supportable.

jeudi 15 juillet 2010

Eloge de la masturbation #3

Dans la voiture qui nous ramenait à l'Agence, Tara, qui était au volant, se mit à rire. Alors que je lui en demandais la raison, elle me montra l'intérieur de son poignet. Des traces claires, comme des petites plaques sèches, lui maculaient la peau. Toujours en riant, elle conclut qu'elle n'avait plus qu'à se laver les mains en arrivant au travail.

Moins d'une heure auparavant, nous étions dans sa chambre, dans son lit, nus l'un contre l'autre, mon ventre contre son dos dans la position de la cuiller. Ma main courrait le long de son côté, sur ses hanches, ses cuisses, remontait vers ses petits seins, ses épaules. Nous avions très envie de baiser, mais la prudence était de mise, le coup classique de la pilule oubliée qui réclame des précautions supplémentaires jusqu'au cycle suivant. Du sexe oui, mais sans pénétration. Cette règle du jeu étant fixée, tout le reste était possible.
Elle se tourne à demi, sur le dos. Penché au dessus d'elle, je l'embrasse pendant que ma main descend vers son sexe. Elle écarte légèrement les cuisses. Je l'ai caressée, puis léchée, puis caressée à nouveau jusqu'à ce qu'elle me demande d'arrêter en écartant ma main de sa chatte une fois qu'elle avait eu sa dose de plaisir.

Alors je me suis redressé pour me rapprocher d'elle. J'étais à genoux sur le lit devant elle, ma queue dressée à portée de sa main. Elle s'est assise en tailleur devant moi, l'a attrapée et a commencé à jouer avec.  Tara sait comment faire pour me faire bander très fort (mais alors, vraiment très très...). Rapidement, ses mouvements se sont fait plus précis. Sur le coup, j'aurais aimé qu'elle me prenne dans sa bouche et qu'elle me suce, mais je n'ai pas voulu interrompre ce moment de douceur.
"Ne t'arrête pas, ne t'arrête pas..." et j'ai joui en l'embrassant, sans me préoccuper de l'endroit où ça tombait. Ma cuisse, son ventre, ses seins et sa main étaient maculés de mon sperme.



Comme d'habitude après l'orgasme, on a ri. C'est pour ça que j'aime le sexe avec Tara : c'est jamais "prise de tête", on se fait du bien et on en est heureux. On ne peut pas baiser, c'est pas grave on va se toucher et se caresser. Et c'est bien aussi.

Merci pour l'image à Photomaniac-ZI

samedi 10 juillet 2010

Eloge de la masturbation #2

Eloïse, au début, ne comprenait pas le plaisir qu'il peut y avoir à se caresser tout(e) seul(e), et elle trouvait qu'une éjaculation "dans le vide", c'était du gaspillage.
Mais non, voyons, quelle idée... J'adore me branler. Le matin, au réveil, sous la douche. Dans les transports en commun (toujours avoir un trou dans la poche de son jeans, et aller "commando", sans dessous), quand une beauté passe à portée de regard. Le soir, pour se détendre. Encore que là, l'idéal est quand même la pipe. Enfin si on me demande mon avis, bien sûr. Vous avez déjà entendu parler de la suçothérapie ? [clic et clic] Mais la fellation, ce sera un autre billet.

Se branler ? Se faire branler ? Vaste débat. Les deux sont bien, tout dépend du contexte. Se branler, c'est pas difficile. On l'a tous déjà fait un certain nombre de fois. Branler quelqu'un, ça, c'est autre chose. Faut savoir le faire. On en reparlera. 
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