mardi 27 octobre 2009

French Kiss

Quelqu'un que j'aime bien m'a suggéré un billet sur le French Kiss.
Et ça m'a tout de suite fait penser à ma douce Tara. Au début, les baisers de Tara étaient plutôt discrets, réservés, comme si elle n'osait pas. Depuis, ils sont devenus fougueux et passionnés. Sa langue n'a pas son pareil pour chercher ma bouche, caresser l'intérieur de mes lèvres, tourner autour de ma propre langue, revenir sur mes lèvres et ensuite sortir de ma bouche pour faire le tour de mon visage. Quand Tara embrasse, elle lèche aussi. Elle me lèche la figure, le yeux, le cou, revient à ma bouche en me tenant la tête à deux mains. La bouche de Tara quand elle m'embrasse est le prolongement de mon propre corps, tant elle donne l'impression de vouloir tout de moi. Parfois j'ai presque peur qu'elle me morde.
J'ai aussi quand Tara me prend dans sa bouche et me suce, quand je jouis dans sa bouche et qu'immédiatement après je peux l'embrasser. Le goût de sa bouche, de sa salive mélangée à mon sperme est absolument délectable. Et dans ces moments-là aussi, elle embrasse à pleine bouche. Elle m'embrasse quand je viens de la lécher aussi, quand j'ai encore le goût de sa mouille sur les lèvres, elle vient me lécher le visage et me prend la bouche à pleines dents. J'adore cette fille.


La jolie photo est de Captatio. Alles-y si vous aimez les pratiques fétichistes, le bondage et un brin de domination.

mercredi 21 octobre 2009

Loubna, son cul et son foulard

Elle était sympa, Loubna. Au début, je ne la connaissais pas bien, on était à la fac ensemble mais on n'avait pas trop de contact en dehors des cours. Il faut dire qu'avec son foulard en permanence sur la tête, elle ne faisait pas partie de ces filles sur lesquelles on se retourne quand on les croise dans les couloirs. Pourtant, elle était très mignonne, avec ses très grands yeux et sa peau mate. Grande, et visiblement bien roulée. Elle portait un foulard, mais s'habillait presque à l'occidentale, portant de grandes tuniques sur des pantalons, ou des grandes jupes jusqu'aux chevilles qui ne laissaient pas deviner les formes qu'elles cachaient.

Et puis, sans trop savoir comment, on est devenus copains. En s'échangeant des cours au début, puis en prenant un café ou un thé à la cafétéria des étudiants. Elle me plaisait bien, Loubna, mais je savais que c'était peine perdue. On parlait de tout assez librement, de politique, de musique, de cinéma. Elle portait le foulard, mais c'était plus par tradition familiale que par pratique religieuse affirmée. Mais sans être réellement pratiquante, elle respectait la tradition selon laquelle elle devait arriver vierge à son mariage. Et évidemment, elle n'avait pas de petit copain attitré.

Un jour qu'on révisait nos cours ensemble, on est venus à parler de ces sujets là, et à ma grande surprise, elle me dit, en me regardant dans les yeux :

- Tu sais, c'est pas parce qu'on doit être vierge au mariage qu'on s'interdit tout pour autant, hein...

Je restais sans voix un instant, puis lui demandais ce qu'elle voulait dire par là.

- Ben sois pas bête, si je ne peux pas "le faire", il y a plein d'autres moyens de s'amuser.

Et je sentis son pied remonter le long de ma jambe, pendant qu'elle continuait à me fixer tout en sirotant son thé.


Nous nous sommes retrouvé dans mon studio. Avant même que j'ai le temps de réaliser ce qui se passait, sa bouche avait pris la mienne et ses mains étaient partout sur moi. Maladroitement, je cherchais où poser mes mains sur elle, elle les attrapa et les posa sur sa poitrine généreuse. Je défis rapidement les boutons de son chemisier et, passant mes mains dans son dos, je dégrafais son soutien-gorge. Elle se laissa faire lorsque ma bouche chercha ses seins. Ils étaient vraiment très gros, mais fermes, très bruns comme la peau de son ventre, avec un petit téton très foncé. Je les léchais avec désir, mordillant son petit bout et le caressant de la pointe de ma langue. Pendant ce temps, sa main cherchait à déboutonner mon jeans. Elle attrapa ma bite et la sortit. Je bandais ferme, elle se pencha, prit mon sexe dans sa bouche et se mit à me sucer en me branlant. Elle suçait divinement en tournant autour du gland avec la langue. Je passais ma main sous sa jupe et remontait le long de ses cuisses vers son sexe. Elle ne portait pas de culotte... Je caressais sa chatte pour ouvrir les lèvres, puis cherchai son clito que je me mis à masser, d'abord lentement puis plus rapidement. A un moment, elle lâcha ma queue et me prit la tête entre les mains, la faisant descendre vers son ventre. L'intention était claire, elle voulait que je la lèche. Sa chatte était très ouverte et très mouillée, le clito réagissait au moindre coup de langue, elle se cambra et poussa un cri losque son orgasme vint, puis de longs soupirs pendant que je la fouraillait de ma langue. De ma main droite restée libre, je me branlais frénétiquement. Puis nous nous redressâmes et firent tomber le reste de nos vêtements. Elle ne garda que son foulard sur les cheveux. Bon dieu qu'elle était belle, à poil, ses gros seins lourds, sa taille fine et ses hanches généreuses que je voyais enfin. Elle vint se coller contre moi, m'attrapa le sexe et tout en le branlant doucement me glissa à l'oreille :

- Tu sais, c'est pas parce que ma chatte est interdite que tu ne peux pas me la mettre ailleurs...

Et elle se retourna, se mit à genoux sur le lit et me tendit son cul rebondi. Je me penchais, et me mis à lui lécher le trou du cul en l'inondant de salive, histoire de faciliter la pénétration. Quand je la pénétrais, ma bite pénétra sans trop de difficulté une fois le gland passé, et je la baisais en entrant très profondément en elle. Elle était penchée en avant, la tête posée sur un coussin. Sa main était entre ses cuisses et elle se branlait pendant que je l'enculais. Ses gros seins ballottaient au rythme de mes coups de bite dans son cul, mes mains lui pelotaient les fesses, elle poussait de petits soupirs. Elle se fit jouir juste après que je décharge mon foutre dans son cul. Quand je sortis d'elle, elle prit un petit mouchoir qu'elle sortit de je ne sais où et essuya ma verge avant de déposer un gentil baiser sur le bout du gland.


On baisa encore souvent ensemble, mais jamais je ne pus pénétrer sa chatte. Elle me suçait, je la léchais et l'en, et ça suffisait à notre plaisir. Et toujours elle garda son foulard sur la tête, ce qui avait le don de m'exciter au plus haut point.

Je sais que depuis, elle a quitté la région, s'est marié avec un type qui la baise de temps en temps, toujours comme un manche et sans lui donner de plaisir. Alors elle s'offre des extras avec des amants de passage, leur demandant de la prendre par derrière. Mais toujours avec le foulard sur la tête.

[la photo est de Viktike. Merci à elle.]

lundi 5 octobre 2009

Dans sa bouche

Elle était assise sur mes genoux, sa robe relevée jusqu'à la taille et dégrafée dans le dos la laissait presque nue. Mon pantalon était déjà par terre, tirebouchonné à mes pieds. Mais on n'avait pas de capotes (à vocation ici purement contraceptive, on sait qu'on est négatifs à tout, tous les deux) et on ne pouvait pas prendre le risque. Elle a alors passé sa main entre ses jambes, a attrapé ma queue et l'a frottée contre son clitoris pendant que je lui embrassais lui caressais les seins. Très vite, ma main droite a laissé sa poitrine minuscule pour descendre le long de son dos et s'insinuer entre ses fesses et chercher son sexe. Quelques caresses, un doigt qui pénètre et bouge lentement. Puis elle se dégage, s'agenouille devant moi et me dit :

- Je ne sais pas si je peux continuer...
- ...
- J'en ai envie, et toi ?
- Continue, je t'en prie.

Elle m'embrasse la poitrine et le ventre, descend encore, tourne un peu autour en déposant des baisers et des coups de langue (dans l'aine, c'est irrésistible) et tout d'un coup, sans que je m'en aperçoive, mon sexe est dans sa bouche. Rarement on m'a pris comme ça.

Plus tard, elle me dira :
- J'ai adoré te sucer.
Et je lui répondrait :
- J'ai adoré ça aussi. Tu le refais quand ?


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