vendredi 31 juillet 2009

Les clés du pouvoir...

... sont dans la boîte à gants, selon le titre d'un film. Je préfèrerais qu'elles soient derrière la porte verte, si vous voyez ce que je veux dire.

Je vais être absent quelque temps a compter de ce soir tard. Je pars dans un paradis, un désert numérique et démographique dans lequel je n'aurai pas de connexion au Grand Réseau, ni aucune possibilité de faire des rencontres pouvant déboucher sur quoi que ce soit de sexuel. Quelque part entre l'Aubrac et le Larzac, là où personne ne viendra me trouver et où je pourrai sortir nu de ma cabane au lever du soleil, boire l'eau de ma source et faire l'amour avec Eloîse sur les pierres chaudes du tertre.

Le blog ne restera cependant pas à l'abandon. J'en ai confié les clés à ma très grande amie Cohendy, celle dont les écrits me font toujours l'effet d'un uppercut sous la mâchoire. Merci à elle d'avoir accepté. C'est vraiment quelqu'un que j'aime, et vous verrez que vous l'aimerez aussi.

A bientôt.

mercredi 29 juillet 2009

Un peu d'exhibition ne nuit pas

L'autre jour, je bossais chez moi. Je m'étais levé tôt, et après un petit déjeuner copieux je m'étais enfermé dans le bureau pour travailler. Eloïse dormait encore. Vers dix heures, je sors me faire un petit café. Elle était sur la terrasse de la cuisine en train de prendre son thé, en petite culotte avec son T-shirt de la nuit. Eloïse dort dans un vieux T-shirt à moi, deux fois trop grand pour elle.
J'ai fait un café, suis sorti et l'ai posé sur la table dehors, et je me suis collé contre le dos d'Eloïse. Elle était encore toute chaude de la nuit, avec l'odeur du sommeil dans le cou. Le genre de truc qui me rend tout de suite naughty and horny... J'ai passé mes mains sous son T-shirt et les ai remonté le long de son ventre pour lui prendre les seins. Ils étaient doux et tièdes, soyeux et souples sous les doigts. Je sentais ma bite commencer à manifester des envies de se gonfler. Merde, j'étais censé bosser ce jour-là...
Je lui embrassai la nuque en lui pelotant ses petits seins, quand je repérais qu'une toiture surplombant notre terrasse, chez des voisins, était en cours de réfection. Les ouvriers avaient déjà enlevé une partie des tuiles. Ils étaient deux sur ce versant du toit, et l'un d'eux nous avait vu. Je l'entendis dire quelque chose à l'autre dans une langue que je ne compris pas, probablement en rapport avec nous car l'autre se retourna. Je dis à Eloïse :
"Tu as vu, il y a des mateurs sur le toit à côté."
"Mmm... Tu veux qu'ils voient mes seins ?"
"Héhé, pourquoi pas ?"

Elle se tourna vers les deux gars et avec des gestes lents et calculés de stripteaseuse, elle enleva son T-shirt qu'elle me jeta à la figure. Les mains sur les hanches, les seins dressés, elle paradait sur la terrasse en roulant du cul. Quand elle fut à ma portée, je l'attrapais et, tout en me tenant derrière elle, je lui pelotais à nouveau la poitrine. Les deux gars sur leur toit était bidonnés par ce spectacle, finalement assez cocasse. Ils arrêtèrent de rire quand ma main descendit de la poitrine vers la culotte d'Eloïse. Je passais mes doigts sous l'élastique, à la recherche de sa chatte. Elle était déjà légèrement mouillée, sa petite exhib' l'avait un peu excitée.
"Mmm tu me rend toute chaude, là. On leur fait le grand show ?"
"Tu veux qu'on baise devant eux ?"
"Attends, je vais commencer par te sucer, les voyeurs aiment ça."
"Tu en sais des choses..."
Et elle s'agenouille devant moi, sors mon sexe de mon pantalon et se met à me sucer goulûment, comme dans les films. Comme on ne fait jamais en vrai, car en général elle embrasse d'abord ma queue un peu partout, ensuite elle la lèche, la met dans sa bouche, la ressort, la caresse. Là non. De l'efficace, du sexe bien dur et bien sucé. Elle prend bien soin de se tourner correctement pour que les deux guignols sur le toit la voient bien faire. Ils poussent des cris d'encouragement, en tout cas le ton y est.
Je me lasse vite de cette pipe au rabais, aussi dis-je à Eloïse "Assied-toi sur la table, je vais te lécher."
Elle se redresse, enlève sa culotte en cambrant son joli cul en direction des deux ouvriers, qui ne ratent rien du spectacle. Je dois dire qu'elle a vraiment un cul exceptionnel, même après tant d'années de vie commune j'en suis encore ébahi. Et quand elle se penche en avant, ses fesses s'écartent légèrement et on voit son petit trou et sa chatte bien brune.
Elle s'asseoit sur le bord de la table, les cuisses bien écartées en direction des couvreurs, et se caresse un peu pendant que je m'installe entre ses genoux. Je la lèche comme elle m'a sucé, avec des mouvements trop larges, des coups de langue trop évidents là où d'habitude je ne ferais que l'effleurer. Les deux polonais (où bien seraient-ce des Russes ? Ou des Portugais ?De là où je me trouvais, je ne pouvais distinguer dans quelle langue ils parlaient) seraient bien venus me prêter main forte. Enfin, quand je dis main, je me comprends.
Quant à moi, je maintenais mon érection en me branlant tranquillement. Eloïse mouillait bien, et j'ai toujours trouvé sa cyprine aphrodisiaque.

"Attends, redresse-toi, et mets-la moi. Ils ont l'air d'apprécier, on va leur en donner. Si ça se trouve, ils crèchent dans un foyer Sonacotra ignoble et n'ont que des vieux pornos à mater."



Eloïse descend de la table, se tourne et se penche en avant en s'appuyant sur ses avant-bras. Je la prend par derrière. J'entre ma bite doucement dans sa chatte. Elle se cambre au maximum, je l'attrape par les fesses et je la fourre à grands coups, toujours comme dans les films. Au bout de quelques minutes, elle se retourne et je la reprends, en tenant ses jambes bien écartées pendant que je la baise. Ce qui est amusant, c'est que ce qui a commencé comme un jeu finit par nous prendre, on se laisse aller à la baise pornographique. Pour un peu, elle dirait "Oh ouuuui, je suis ta chienne, baise-moi bien profond avec ta grosse bite !" et je lui répondrais "Tu la sens bien, hein, salope, dis, tu la sens bien profond ?" Le genre de truc naze que les dialoguistes placent dans les films de boules. En tout cas, les deux ouvriers sur le toit nous sont sortis de la tête, et si au début on baisait pour leur donner le spectacle, maintenant on baise pour nous.
Je vois son plaisir venir, j'écarte encore un peu plus ses cuisses pour la pénétrer encore plus profondément et elle jouit. La tête en arrière, elle crie, elle geint. On entend des bruits, ce sont les deux couvreurs qui hurlent en faisant de grands signes, que nous prenons pour des encouragements. Nous nous rappelons alors qu'ils sont là...
Eloïse se redresse :
"Viens dans mon cul maintenant et lâche-toi".

Elle redescend de la table et reprend sa position penchée en avant. De deux doigts mouillés de sa salive, elle se mouille son petit trou du cul. Ma queue est déjà bien lubrifiée de l'avoir baisée et je rentre le gland assez facilement. Le reste vient après. A chaque fois, je repense à ce que j'ai lu un jour : "Dans la sodomie, il faut passer la porte d'entrée qui est étroite. Mais après, on est dans un loft de 600m2 de plain-pied." Il ne me faut pas longtemps pour que la jouissance arrive. Eloïse me dit juste à temps "Feuille, on fait un film porno, là. N'oublie pas de me gicler sur le cul, pas dedans..."
Je me retire juste à temps pour me branler quelques instants, et mon sperme vient d'écraser sur les fesses et le dos de ma femme. A ce moment-là, de grands cris nous font lever la tête, un type en jeans a rejoint les ouvriers et leur manifeste vertement qu'ils ont autre chose à foutre que de mater les voisins en train de se faire leur cinéma (porno). Les deux couvreurs se remettent au boulot, l'un d'eux nous adresse un petit signe de la main que nous lui rendons.

Sous la douche tous les deux, ensuite, nous nous sommes donnés la tendresse qui manquait à tout ça. On en avait besoin.

lundi 27 juillet 2009

Le matin avant de partir, j'avais dit à Eloïse "Aujourd'hui, je bosse avec deux gars sympas, de chez XXX sur notre réponse à l'appel d'offre. Ca va être une grosse journée, je leur aurais bien proposé de venir prendre un verre à la maison ou manger petit quelque chose quand on aura fini, qu'en penses-tu ?"
"Ils sont comment ? Sympas ?"
"Ecoute, oui, je trouve. J'aime bien bosser avec eux, on avance bien mais c'est toujours relax. Je pense qu'ils te plairont. Simon est un peu plus âgé que nous, Joshua est de notre âge. Ils sont tous les deux mariés et ont des enfants".
"OK, ramène-les, je préparerais un petit quelque chose si j'ai le temps, sinon ce sera pasta - chianti."
Ce qui veut dire qu'on improvisera bien quelque chose avec ce qu'il y a dans les placards.

On a bien bossé ce jour-là avec Simon et Jos. Ce dossier d'appel d'offre nous a donné du fil à retordre, surtout le CCTP (cahier des clauses techniques et particulières, béotien !) qui était un peu... tordu, justement ! Simon et Jos ne faisaient pas partie de l'Agence, mais d'une autre boîte avec qui on bosse de temps à autres. Ils étaient en déplacement et créchaient à l'hôtel. Quand vint le soir, on était heureux d'avoir bouclé notre dossier. Simon a proposé qu'on se fasse un resto pour fêter ça et pour lâcher la pression, mais j'ai répondu :
"Si ça vous va, je vous invite à la maison. J'en ai un peu marre des restos, ce sera plus convivial".
"Et ta femme va être d'accord pour qu'on débarque comme ça ?"
"Je l'ai prévenue ce matin avant de partir."
"Petit cachottier..."

Eloïse avait bien fait les choses. Elle avait préparé plein de petites choses à manger pour un apéro-dîner décontracté. Quand nous sommes arrivés, elle venait de finir. Elle nous a ouvert la porte et j'ai entendu mes deux amis arrêter de respirer pendant un instant. Elle portait un de ces T-shirts à encolure très large qui descend facilement sur l'épaule, rouge vif, et un grand paréo noué autour de la taille, jaune et orange. Ses cheveux étaient soigneusement remontés en chignon strict, tenu par une grande épingle. J'ai tout de suite vu qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, comme cela lui arrive souvent.

On entre, on s'installe, Eloïse amène les premiers plats d'amuse-gueules. On trinque à notre dossier bouclé, mais tout ça reste un peu figé. C'est la douce Eloïse qui va réussir à dérider l'atmosphère en mettant un disque de salsa et en disant à nos deux invités :
"Dites, si vous tombiez la cravate ? Si vous tombez la cravate, je tombe aussi quelque chose..." avec un regard malicieux. Je me demandais ce qu'elle pourrait bien enlever, vu qu'elle ne portait pas grand-chose, et je ne la voyais pas montrer ses seins. Enfin pas tout de suite.
Nos deux larrons se sont regardés, puis Simon a commencé à dénouer sa cravate, sitôt imité par Joshua. Quand ça a été fait, Eloïse d'un geste élégant a dénoué son paréo et l'a posé sur une chaise. Elle portait en dessous un mini-short taillé dans un jeans coupé, à ras du cul. Il était tellement court qu'on lui voyait le bas des fesses. Evidemment, elle ne pouvait pas porter de culotte en dessous, je le savais. Je me suis bien amusé à observer les mines de mes deux gaillards, ils ne savaient pas trop s'ils pouvaient mater ou pas, c'était amusant. Pour en rajouter un peu, j'ai dit
"Eh bien dis donc, il est court ton short...", ce à quoi Eloïse a répondu du tac au tac :
"C'est parce qu'il y a deux invités. S'il n'y en a qu'un, je mets une jupe longue. S'ils sont deux, le mini-short. S'il y en a trois, je ne mets rien du tout". Et elle est partie à la cuisine en éclatant d'un rire enfantin. J'ai versé le champagne dans les flûtes pendant que Simon et Jos se remettaient de leurs émotions. Eloïse est revenue au moment où Jos me disait "Elle a l'air cool, ta femme... La mienne n'est pas si spontanée."
Eloïse se tenait à côté de moi. J'ai répondu à Jos :
"Eloïse est extraordinaire. Elle est belle, intelligente, elle fait bien la cuisine, et pour plein d'autres raisons je l'aime." Et ce faisant, je remontai ma main le long de la jambe d'Eloïse, passant entre ses cuisses jusque juste sous son short et j'entrais deux doigts dans son short, le long de sa cuisse. Ils n'ont pas pu ne pas voir que lui caressais la chatte, ouvertement, sans vergogne. Si la position avait été à peine plus favorable, je les lui aurait entré dedans (Le conseil hygiène de Feuille : toujours se laver les mains quand on rentre !).
Eloïse se mit à rire et nous dit :
"Allez, buvons, le champ' va chauffer". Nous avons trinqué.
La discussion qui a suivi a porté un peu sur le boulot, mais nous avons décidé très vite que nous avions assez bossé et le sujet a dévié vers des sujets plus personnels, Jos semblait nous envier de former un si joli couple (j'avais entendu dire par Simon qu'il n'était pas heureux dans son couple, probablement marié trop jeune). Je remarquais que dès qu'Eloïse se penchait pour attraper son verre ou un amuse-gueule, ou pour faire passer un plat, un bref silence s'installait. Je compris vite que son décolleté s'ouvrait en grand et que les deux gars, qui étaient en face d'elle avaient alors la vue dégagée sur ses seins. Elle ne cherchait pas à les cacher, comme le font la plupart des femmes qui se tiennent le col du plat de la main quand elles se penchent. Eloïse a de jolis seins et le sait, elle dit souvent qu'elle n'a pas à en avoir honte, que celui qui est gêné n'a qu'à pas regarder. Et moi, je suis fier quand des hommes trouvent les seins ou le cul de ma femme beaux à regarder.

A un moment, je me suis retrouvé à la cuisine avec Eloïse. Je lui demandais :
"Alors ?"
"Pas mal, surtout Simon. Mais Joshua n'est pas vilain, un peu coincé peut être. On va le secouer un peu, ce jeune homme."
"A ta guise, ils sont à ta disposition."

Le disque de salsa qu'Eloïse avait mis toucha à sa fin. Elle se leva alors et déclara "Bon, maintenant, je veux quelque chose qui bouge !" Et elle lança une série de vieux tubes disco, Diana Ross, Chic, Thelma Houston, ce genre de choses. Elle se mit à danser, et il faut avoir vu Eloïse danser le disco pour savoir ce que l'expression "se bouger le cul" veut dire. Elle a un déhanché incroyable, elle est capable de mouvements du bassin extrêmement suggestifs (on dirait qu'elle baise) qui mettent les hommes présents sur le dancefloor en feu.
"Allez, venez vous dérouiller un peu !"
L'invitation était tentante, j'ai réussi à embarquer Jos tandis que Simon restait dans le canapé à nous regarder en souriant. Le décolleté d'Eloïse glissait souvent, à force de se trémousser. Elle le remontait à chaque fois, mais une fois elle a un peu tardé (exprès ?) et son sein gauche est apparu. Elle ne s'en est pas soucié et les deux gars ont tout vu avant qu'elle ne se décide à remonter le tissus. Elle aguichait ouvertement Jos, en faisant des mouvements d'épaules devant lui de façon à faire voleter son T-shirt, elle roulait du cul devant Simon qui, s'il avait osé, lui aurait bien attrapé les fesses de ses deux mains. Il commençait à faire chaud dans la pièce, les chemises s'ouvraient d'un bouton. A un moment, je me suis collé derrière elle, ma queue contre son cul, j'ai passé mes mains sur son ventre sous son T-shirt, je les ai remontées et j'ai attrapé ses seins. En lui mordillant l'oreille, je lui ai soufflé :
"Là tu les as bien chauffé, tous les deux, tu devrais les leur montrer."
"J'y pensais..."

Elle s'est un peu écartée de nous, et tout en dansant elle s'est penchée en avant, quasiment jusqu'à ce que ses doigts puissent toucher ses pieds. Son T-shirt a glissé et, quand elle s'est relevée, elle était les seins à l'air. Sans s'arrêter de danser, elle est venue se coller à Jos. Le pauvre, il ne savait pas quoi faire de ses mains. Il aurait bien aimé toucher, mais il n'osait pas. Simon entretemps s'était levé et était venu danser aussi, je me suis rassis et je les ai regardé. Simon a été le premier à la prendre par la taille, pour danser avec elle. Je buvais mon champagne en les regardant faire. Eloïse a lâché Simon pour venir se coller devant Jos, elle bougeait le cul en rythme en se collant à lui. Il a fini par la prendre par les hanches pour danser avec elle, mais comme elle se baissait sans prévenir, il a eu plusieurs fois les mains sur ses seins. L'ambiance était torride.



Un peu plus tard, Eloïse était assise au milieu du canapé, Simon d'un côté et Jos de l'autre, chacun lui embrassant le bout d'un sein. Elle leur tenait la tête contre elle, ils la tétaient, l'embrassaient. Elle, la tête en arrière, me regardait en souriant. Elle soupirait, je voyais son plaisir monter. Je sais qu'Eloïse adore qu'on lui embrasse ou qu'on lui mordille les seins. Elle lâcha la tête de Simon et sa main descendit le long de son ventre, vers son short. Elle fit sauter deux boutons et glissa sa main vers sa chatte, qu'elle commença à masturber pendant que les deux continuaient à la téter. Je vis son plaisir monter. Juste avant de jouir, elle les repoussa, enleva son short (elle ne portait effectivement pas de culottes), se réinstalla dans le canapé et leur dit :
"J'ai envie que vous veniez me lécher. "



Ils m'ont regardé l'air inquiet, allais-je laisser ma femme se faire bouffer la chatte par deux mecs, et dans mon salon encore ? Je leur ai dit "Allez-y, puisqu'elle vous le demande ! Je vous regarde."
Alors à tour de rôle, ils se sont relayés entre ses cuisses, y allant de la langue. Quand Jos à voulu y mettre les doigts, elle a dit "Non, juste lécher. Fais-moi jouir..." Elle avait les yeux fermés, les entrouvrait parfois. Elle a joui très fort alors que Simon était en train d'officier. J'ai resservi du champagne à tout le monde. Jos ne pouvait rien dire d'autre que "Eh ben ça... Eh ben ça...". Il devait penser que ce ne serait jamais possible avec sa rombière. Simon rigolait, je savais qu'il était un bon vivant et qu'il ne boudait jamais son plaisir, surtout avec une femme aussi jolie que la mienne. Quand nous avons eu trinqué à nouveau, "Au plaisir, au sexe et à la vie", Eloïse s'est à nouveau installée entre mes deux collègues et a dit :
"Je voudrais vous remercier de ce plaisir que vous m'avez donné", en posant ses mains sur leurs braguettes. Elle eut tôt fait de sortir les deux bites, et de se mettre au pied du canapé pour les sucer l'un et l'autre. Elle n'a eu aucun mal à les faire jouir, ils avaient été chauffés à mort. Quand chacun s'est essuyé, la queue pour les gars, les seins pour Eloïse, mes deux invités ne savaient plus quelle contenance adopter. Pour faire cesser leur gêne, j'ai lancé :
"Eh bien comme ça, au moins, on est bien détendus de notre journée de travail, non ?"
On a ri, et j'ai ouvert une nouvelle bouteille de champagne.

Cette nuit-là, Eloïse et moi avons baisé comme des bêtes, plusieurs fois de suite. J'ai su quelques temps plus tard, par Simon, que Joshua était allé encore voir une pute avant de rentrer à leur hôtel, il devait avoir envie de plus que d'une pipe. J'ignore cependant s'il a réussi à obtenir de sa femme qu'elle danse le disco en montrant ses seins.

vendredi 24 juillet 2009

Quand Eloïse reçoit ses amies...

L'autre jour, un samedi ou un dimanche, je ne sais plus. Enfin, un week-end. Eloïse recevait trois amies autour d'une tasse de thé. Il y avait là June, dont j'ai déjà dit qu'Eloïse et elle s'aimaient bien, et aussi deux autres amies qui ne connaissaient pas June, appelons-les Vic et Joy. Mais le nom, vous, lecteur, vous vous en foutez. Vous voulez savoir ce qui s'est passé, si je les ai baisées toutes les quatre ou si elles se sont gougnottées entre elle. Vous manquez d'imagination, c'est beaucoup plus subtil, beaucoup plus pervers que ça. Je me demande d'ailleurs si un jour j'atteindrai le point de non-retour dans la perversion, mais c'est une autre histoire.

Ces dames arrivent donc, les unes après les autres, s'installent dans les canapés moelleux du salon, autour de la table basse. Vic portait un joli tailleurs parme, Joy était plus classiquement en jeans avec un chemisier vert amande. June, comme à son habitude, portait un empilement de vêtements dépareillés avec lesquels elle arrivait toujours à créer un ensemble cohérent.

Comme c'était le week-end, et qu'Eloïse, malgré l'invitation lancée de longue date, avait quelques menus travaux à finir (de la compta), j'avais préparé le goûter des amies de ma femme : un gâteau à l'orange, des coupes de fruit, des biscuits secs et des coupelles de miel pour les tremper, car ce sont des biscuits à manger trempés dans du miel. Un jour, vous aurez la recette, c'est très aphrodisiaque. Pour le thé, un darjeeling était ce qui convenait le mieux. Quand j'ai apporté les plateaux et la théière, Eloïse a précisé que c'était moi qui avait préparé tout ça.
Joy a répondu : Tu en as de la chance, d'avoir un mec qui te prépare de bonnes choses comme ça. Le mien ne sait pas faire cuire des pâtes.
Eloïse : Oh, mais Feuille a pleins de talents, en plus de bien cuisiner. Mais je ne vais pas tout vous raconter...
Vic : Oh si, oh si ! (avec un air coquin, l'air de dire "Allez, vas-y, dis-nous s'il te baise bien.")
June ne disait rien, elle riait doucement car elle sait un certain nombre de choses. Et nous avions déjà fait l'amour ensemble.
Eloïse ne se dégonfla pas, et dit : Qu'est-ce qu'il y a, les filles, vous voulez savoir si Feuille est bien monté ? Mmm, la réponse est oui. Et s'il baise bien ? La réponse est plutôt oui, même s'il faudrait qu'il se repose un peu ces derniers temps, je le sens un peu surmené...
Vic : Oui, on dit toutes ça quand on parle de nos mecs.
Eloïse : Tu ne me crois pas ? Feuille, viens-voir, s'il te plaît.

Et elle m'attrape par les fesses, me ramène près de son fauteuil et entreprend de m'ouvrir la braguette. Je lui dit : Tu ne vas quand même pas me sortir la bite devant Vic et Joy ? C'est la première fois que je les vois...
Eloïse : Parce que maintenant, ça te gêne de sortir ta bite devant des filles que tu vois pour la première fois ?
Vaincu par tant de logique féminine, je capitulais. Elle sortit mon sexe, et je vis Joy et Vic faire des mines presques déçues, elles devaient s'attendre à plus gros.
Eloïse leur expliqua qu'au repos, j'avais un petite bite, et elle commença à me chatouiller doucement juste sous le gland, à l'endroit où tout fille normalement informée devrait savoir que se situe un point qui fait bien bander les hommes quand on les y chatouille. La manoeuvre et la douceur des mains d'Eloïse (et le regard de June posé sur mon sexe) firent que rapidement, celui-ci commença à se dresser.
Les deux invitées faisaient des Mmmh et des Ahaah et des Hihihi pendant que ma femme me branlait doucement. Puis, Eloïse dit : Je vais vous montrer un truc qu'il adore.
Et elle attrapa une coupelle de miel, trempa le bout de ma queue dedans et le prit dans sa bouche, le lécha pour nettoyer tout le miel. L'érection était complète, bien franche. Ma bite sortait de mon jeans et se tenait bien dressée, au milieu de quatre filles assises dans mon salon. C'est le moment que June choisit pour se manifester :
- Je peux avoir du miel aussi ?

Elle était assise à côté de moi, à l'opposé d'Eloïse. Je me tournais vers elle, elle approcha la coupelle de miel de ma bite, l'inclina pour faire couler un peu de miel sur le gland et me prit dans sa bouche. Elle me suça un bon moment, sans y mettre les mains.



Vic et Joy étaient visiblement surprises, mais assez excitées par ce qu'elles voyaient. Je voyais Vic rajuster la jupe de son tailleurs, et en profiter pour se passer discrètement la main sur la chatte. Joy était penchée en avant, les coudes sur les genoux, le menton dans les mains :
- Dis, June, tu nous en laisse un peu, du miel ? (June avait rechargé ma bite, qui était déjà bien nettoyée).
Eloïse : Tu en veux aussi ?
Joy : Ben il n'y a pas de raison, si on peut goûter à la bite de ton mec, on ne va pas se priver, hein ?
Vic : Hihihi...

Je me tournais vers Joy, elle attrapa la coupe de miel d'une main, ma queue de l'autre, la trempa et entreprit de me sucer énergiquement en faisant aller et venir sa main le long de mon membre. Bon sang, elle allait me faire éjaculer, si elle continuait à me branler comme ça. Heureusement, ça ne dura pas très longtemps, et elle tendit ma bite vers Vic, en lui demandant si elle voulait du miel, elle aussi.

Vic : Ben... Eeuh...

June, Eloïse et Joy ensemble : Allez, vas-y, c'est rigolo, tu ne feras pas ça tous les jours.
Vic se laissa convaincre, attrapa mon sexe du bout des doigts, le trempa dans la coupelle de miel et le porta à sa bouche. Comme je sentais qu'elle hésitait un peu, et que j'avais envie d'elle, qu'elle me suce dans son tailleurs strict, avec ses lunettes d'institutrice, je poussais un peu des hanches quand elle ouvrit les lèvres et ma bite se retrouva dans sa bouche. Je lui aurais bien volontiers tenu la tête pour qu'elle me suce à fond, que je lâche mon foutre dans sa bouche et qu'il lui coule sur le menton. Elle avait des lèvres très douce, mais je suçait pas très bien, je sentais ses dents de temps à autres.

Eloïse reprit le contrôle de la situation en me demandant :
- Bon, Feuille, tu nous fait ton thé "recette spéciale" ?
- Si tu veux, ma douce. Mais c'est toi qui prépare.
- OK, viens ici.

Je me rapprochais d'Eloïse, elle attrapa ma queue, me suça un peu, me branla un peu. Et quand elle sut que j'allais jouir, elle souleva le couvercle de la théière et me fit éjaculer dans le thé. Têtes des autres filles...
Elle me lâcha, prit une cuiller et mélangea, puis sortit le filtre de la théière tout en disant :
- Vous n'avez jamais goûté la cuisine au sperme ? C'est pourtant très tendance, et celui de Feuille relève bien les goûts.
Et pour montrer qu'elle ne rigolait pas, elle se servit une tasse et y trempa ses lèvres en disant :
- Et comme ça, on en aura toutes un peu...

jeudi 23 juillet 2009

Tara on the sofa

L'autre jour, pendant la pause de midi, je me suis retrouvé avec Tara, chez elle. Nous n'étions venus que pour prendre un café, sortir de l'ambiance de travail de l'Agence. Nous étions sagement assis sur le canapé, nos cafés sur la table basse. Mais les choses sont ce qu'elles sont, avec Tara c'est dur de rester sage très longtemps. On finit toujours par s'asseoir un peu plus près l'un de l'autre, à se faire une petite caresse furtive, et ça se termine toujours en partie de baise sauvage, qui ravage le décor, fait voler les draps et casse la vaisselle.
Là, ça n'a pas raté. Elle m'a fait un baiser dans la nuque, je lui ai embrassé la joue, elle m'a caressé la main, j'ai passé mes doigts sur sa cuisse, elle s'est retournée et m'a pris la bouche de ses lèvres. Je l'ai prise dans mes bras, lui ai rendu son baiser. Mes mains se sont rapidement retrouvées sous son chemisier, à lui caresser le ventre. J'adore son ventre, doux et soyeux, un peu rond sans être gros, un vrai bonheur d'y poser sa tête pendant que je lui caresse la chatte. J'ai cherché ses petits seins, les ai caressés à travers son soutien-gorge. Elle avait aussi ses mains sous ma chemise, mais elle les a vite sorties pour ouvrir les boutons et me l'enlever. J'ai fait subir le même sort à son chemisier et à son soutif, nos vêtements s'entassaient lamentablement au bas du canapé. Quand nous avons été torses nus, je l'ai serrée contre moi. Le contact de sa peau, la douceur de ses seins contre moi a quelque chose d'aphrodisiaque et de terriblement excitant, à chaque fois je dois prendre une grande goulée d'air frais tant l'émotion est forte.
On était là, à moitié à poil, à se lécher le museau quand elle a ouvert mon pantalon et sorti ma queue, déjà bien raide. Je ne sais toujours pas comment elle fait, mais Tara est une des seules femmes que je connaisse à savoir faire vraiment bander un mec, je veux dire à savoir faire les caresses qu'il faut où il faut pour que l'érection soit bien dure et bien raide. Et le tout sans y mettre la bouche, rien qu'avec les doigts...
Je suis descendu du canapé, me suis mis à genou devant elle, j'ai relevé sa jupe longue et ample, baissé sa culotte que je lui ai retiré, j'ai écarté ses cuisses et je l'ai léchée un peu, histoire de bien rentrer dans sa chatte. Quand elle a été bien mouillée - je n'ai pas du en rajouter beaucoup - je l'ai pénétrée d'un coup et on a baisé comme des bêtes, elle sur le canapé, le cul à moitié en dehors, moi à genou devant elle, mes mains sous ses fesses. Quand on baise, selon la position elle me regarde par en dessous, la bouche entr'ouverte, ça me rend dingue. Rien que d'y penser en écrivant ceci, je sens ma queue qui se réveille.



On devait en avoir très envie tous les deux, on a joui assez vite et presque en même temps, moi d'abord et elle juste ensuite. Quand je me suis retiré, mon sperme coulait de sa chatte et risquait de tacher son beau canapé alors je me suis baissé et je l'ai léchée, pour la nettoyer. Mon sperme mélangé à sa mouille avait un goût que je ne lui connaissait pas.

Ca n'a pas raté, dans nos ébats on a cassé une tasse.

J'adore cette fille.

PS : un petit jeune qui débute. J'aime bien son premier récit. Il me rappelle des choses douces et chaudes.


vendredi 17 juillet 2009

Fuck me, for God's sake.

For some reason I can't explain, I know Saint Peter won't call my name.

Il aurait en effet du mal à m'appeler, le grand serrurier barbu qui garde la porte dorée. Adultère, sodomie, auto-érotisme et onanisme en tous genres, une vie de luxure, de péché de chair et de baise, de baise et de baise. Mon compte est bon. Et rarement dans la position du missionnaire, bien sagement en rentrant de la messe.

Une fois, je me suis fait prendre le cul dans une église alors que je passais des vacances en Espagne avec un ami. Lui était franchement homo, moi euh bon bref. De toute façon, être bisexuel est le meilleur moyen de ne pas dormir tout seul dans sa tente. Quand on est entrés dans l'église, il n'y avait personne malgré que ça se soit passé dans une grande ville (Burgos). On a fait un petit tour, pris quelques photos, admiré le penchant sado-maso des cathos (franchement, entre la flagellation, la crucifixion, le coup de lance dans le côté, les différents martyrs et j'en passe pour ne rien dire sur Blandine et son taureau en rut). Puis mon ami m'a attrapé par la taille alors que nous nous trouvions dans une zone d'ombre d'une travée, et m'a léché l'oreille - ce qui me rend tout de suite very very horny - et il m'a dit "Sors-la, je te suce". J'ai ouvert mon pantalon et j'ai sorti ma bite, elle se dressa bien vite sous ses doigts. Il s'est agenouillé devant moi et m'a pris dans sa bouche. Il m'a sucé un moment, puis m'a léché la queue depuis les couilles jusqu'au bout du gland, faisant tourner sa langue tout autour du gland. Moi, pendant ce temps, je lui grattais les cheveux (je sais qu'il aime) et je lui caressais la nuque tout en regardant le Christ en croix au-dessus de l'autel. J'ai eu de très nombreuses vilaines pensées, une grande partie de mon pornorama personnel a défilé devant mes yeux pendant que je regardai le sang s'échapper des plaies de Notre Seigneur mort sur la croix pour la rémission de mes péchés, j'imaginai Marie-Madeleine en corset de cuir venant faire une dernière pipe au supplicié et j'ai joui dans la bouche de mon ami, à très long traits tant il avait su me tirer la moindre goutte de sperme. Je crois que j'ai déjà dit quelque part sur ce blog qu'il n'y a qu'un mec pour sucer correctement un autre mec. Et puis entre copains, il n'y a pas de mal, n'est-ce pas ?
Je l'ai embrassé sur la bouche, il avait encore le goût de mon sperme. J'adore. Puis je lui ai demandé s'il avait envie de baiser, ce qui était une question purement rhétorique vu les circonstances. Alors je me suis retourné, j'ai fini de baisser mon futal et je me suis appuyé sur le dossier d'un prie-dieu. Il s'est baissé derrière moi, m'a écarté les fesses et m'a bien léché le trou du cul (toujours penser à se laver avant de sortir, on ne sait jamais) avant de se redresser et de m'introduire son sexe. Heureusement, il a la bite pas trop grosse, car la lubrification à la salive ne vaut pas un bon gel anal. Il lui a fallu forcer un peu l'entrée, mais il a réussi à passer le gland et s'est mis à me limer le cul. Je continuais à regarder les images pieuses qui nous entouraient et à rêver sur les histoires de cul des personnages sacrés qui étaient représentés. Mon ami prenait son temps, il n'avait pas envie de jouir trop vite, il devait être dans son propre délire sur le lieu et les symboles. Enfin, propre, c'est au sens personnel mais vous aviez compris.



Un grincement de porte nous a surpris et nous a fait nous immobiliser. Une femme est entrée dans l'église. Comme nous étions dans la pénombre, elle ne pouvait pas nous voir, mais nous si. C'était une petite vieille tout en noir, avec la voilette et la canne. Elle a fait sa génuflexion, s'est assise à un des premiers rangs et a semblé se plonger dans sa prière. Nous avons repris notre enculade, ça commençait à bien me chauffer au cul et j'espérais qu'il jouirait assez vite. J'ai du faire une prière au bon saint, car j'ai été exaucé. Quand il a lâché son foutre dans mon cul, il a eu un gémissement de plaisir mais la vieja ne semble pas l'avoir entendu. Il m'a embrassé, nous nous sommes rhabillés et nous sommes sortis en courant pour aller nous offrir une glace chocolat-menthe à la terrasse d'un glacier.

Merci à Pierre et Gilles pour la photo que je leur emprunte ici. Je voudrais par ce biais rendre hommage à leur immense travail. J'adore ce que font ces deux gars-là.

vendredi 3 juillet 2009

Rape me !


- Rape me !
- ... ?
- Oh come on, rape me sucker!
- Right here ? On the garbage bin ?
- I want you, come on, fuck me. Put that big cock of yours into me.
- Hey, not here ! Fuck you, bitch !
- That's exactly what I want, asshole.
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