mercredi 29 avril 2009

Feuille de rose #1

Elle a joui très fort quand mes doigts se sont presques touchés à l'intérieur d'elle. 

On avait commencé par quelque chose de classique, elle me suçait et je lui léchais la chatte. J'étais allongé sur le dos, elle au-dessus de moi et, comme elle est un petit peu plus petite que moi, je n'avais aucune difficulté )à promener ma langue sur toute la surface de son sexe, de la jonction des lèvres jusqu'au début de la raie des fesses en passant par tout ce qu'il y a entre les deux. Son clitoris était très excité. Je passais ma langue à l'intérieur de sa chatte, elle mouillait abondamment. Comme toujours, chez elle. De temps en temps, je passais un doigt, histoire de la stimuler encore un peu plus, ma main gauche étant occupée à lui peloter les fesses. 
Son cul est généreux, certains le diraient gros, mais ferme et souple. Pas de ces petits culs mou qui vous remplissent la main, mais pas plus. Un vrai cul, rond, charnu, blanc. Un cul que j'aime. Je vénère le cul de Tara. 
Sentant que je n'allais pas venir tout de suite, je me suis dégagé de sa bouche. Je me suis glissé entre ses cuisses et suis passé derrière elle. Elle était toujours à genoux, en levrette, sa chatte et son cul offerts à mon regard, à mes doigts, à ma bouche. Je me suis agenouillé derrière elle et j'ai recommencé à la lécher. Ma nouvelle position me donnait toute latitude pour me ballader entre ses cuisses, entre ses fesses. J'ai léché sa chatte, longuement. Puis j'ai remonté ma langue entre ses fesses, passant sur son trou du cul sans m'y arrêter, de base en haut et de haut en bas, pour revenir sur sa chatte. Elle ne savait pas trop ce qui l'attendait, je la sentais tendue, presque crispée. Mais elle m'a laissé faire. Elle sait que je ne la brusquerai jamais. Je suis revenu sur sa chatte un moment, la léchant et y mettant un doigt puis deux. Elle a joui une première fois, la tête reposant sur le côté sur l'oreiller, les yeux fermés, les poings serrés sur la toile pourpre du drap. Elle découvrait le plaisir d'être ainsi offerte, sans voir ce qui se passe, toute à la sensation du toucher, de sentir ma langue et mes doigts sur elle. 
La sentant prête, je suis remonté entre ses fesses, léchant à nouveau d'un bout à l'autre de la raie tout en gardant mes doigts dans sa chatte. Cette fois, je me suis attardé un peu plus sur son petit trou, passant ma langue dessus, tournant autour, insistant dessus pour mieux repartir vers son sexe et revenir ensuite. Elle avait l'air de trouver ça bon, elle gémissait, bougeait mais ne me chassais pas de ses fesses divines. 



Alors j'ai mis l'index de ma main gauche dans ma bouche, je l'ai bien mouillé et je l'ai introduit dans son trou. Là aussi, j'ai senti la surprise chez elle. Elle n'avait pas du penser que ça lui arriverait un jour, elle n'avait probablement même pas imaginé qu'on pouvait sentir des choses par l'anus. Mon doigt entrait doucement, elle ondulait des hanches comme pour mieux le guider. Je poursuivais mon doigtage dans sa chatte, en maintenant deux doigts dedans et le pouce sur le clito. Mon index gauche allait et venait dans son cul, entrant un peu plus profond à chaque fois. Quand il a été vraiment impossible d'aller plus loin, j'ai bougé les mains et mes doigts se sont rapprochés à l'intérieur d'elle. Elle a joui très fort à ce moment-là. Je la voyais enfouir son visage dans l'oreiller, elle haletait, cherchait l'air et me disait des choses que je ne comprenais pas. C'est elle qui m'a dit après quelle découverte ça avait été pour elle. 
Ensuite nous nous sommes embrassés et nous avons dormi l'un contre l'autre, ses fesses contre mon ventre. Depuis, je la fait régulièrement jouir ainsi en la léchant et en lui mettant mes doigts dans le sexe et dans le cul. Et elle me lèche aussi, mais c'est une autre histoire. 

lundi 27 avril 2009

Promenons-nous dans les bois...

Un midi, l'été dernier. Nous avions pris un peu de temps avec Tara pour quitter les locaux de l'agence et aller faire un tour du quartier, à pied, histoire de sortir un peu des bureaux, de se dégourdir un peu les jambes et d'être ensemble juste elle et moi, sans tous les gentils collègues bienveillants mais médisants autours. 
Pas loin, un parc un peu sauvage, espace naturel presque préservé, nous fournissait une destination et un lieu de promenade. Nous avons fait un premier petit tour, en bavardant gentiment. Rien de compromettant, on croise régulièrement des promeneurs, des pépés à toutous ou des herboristes en herbe (haha !) qui viennent regarder les petites fleurs. Mais... Rien à faire, quand on est ensemble, on aime se prendre dans les bras l'un de l'autre, se mettre des mains et des doigts partout, se lécher le museau et le reste et se donner du plaisir. 
Au second tour de parc, nous avons quitté le chemin pour nous engager dans un fourré très dense dans lequel un passage avait été tracé par des animaux, juste une petite sente presqu'invisible à travers le taillis. Au bout, une minuscule clairière de quelques mètres carrés. 
Ca a commencé par des patins fougueux, sa langue qui cherche la mienne. Rapidement j'avais déboutonné son chemisier et dégrafé son soutif. Elle était absolument superbe de beauté franche et naturelle, les seins nus au dessus de sa longue jupe rouge. Elle m'avait enlevé ma chemise, et nous étions là, torse contre poitrine, à nous lécher et à nous embrasser. Ma main descendait le long de son dos, passais sur ses fesses, remontait sur ses seins. 
Je lui ai soulevé la jupe et passé un doigt dans sa culotte. Elle était très mouillée. Tara mouille toujours beaucoup, c'est un vrai plaisir de la caresser. Après quelques chatouilles, j'ai remonté sa jupe sur ses hanches et enlevé sa culotte. Je me suis agenouillé devant elle et j'ai commencé à la lécher. Elle a rapidement joui, debout, les genoux pliants sous l'effet de l'orgasme. Elle s'est alors agenouillée devant moi et a déboutonné mon pantalon pour sortir mon sexe. Tara ne me suçait pas encore à cette époque. Elle s'est allongée sur nos vêtements et je l'ai pénétrée. 
Malheureusement, la position n'était pas confortable et nous n'avons pas pu la garder très longtemps. En plus, il y avait plein de petites bestioles et Tara a la peau sensible à tout ce qui pique. Nous nous sommes alors relevés et elle m'a pris la bite en main, tendrement mais fermement et elle m'a branlé tout doucement, gentiment, tout en frottant ses seins contre ma poitrine, en m'embrassant la figure, en me disant des choses très tendres à l'oreille. Le genre de truc auquel je ne peux pas résister. Je ne sais pas comment elle fait, mais je n'ai que rarement vu des filles savoir si bien branler un mec... Généralement, c'est plutôt les mecs entre eux qui savent se donner mutuellement du plaisir de cette façon. C'est comme pour la fellation, rares sont les filles qui savent vraiment ce qui nous fait jouir. Alors qu'un mec... Ceci dit, je ne me fais aucune illusion, nos amies auront certainement plein de commentaires à faire sur la façon dont nous les caressons ou les léchons. Mais je ne suis pas une fille, je ne peux pas savoir. 

Bref... Tara sait si bien y faire qu'elle sait retarder le moment de la jouissance, juste ce qu'il faut pour qu'on en profite un maximum. Quand ça n'a plus été tenable, j'ai joui dans sa main, j'ai éjaculé sur l'herbe et les fleurs, je ne sentais plus mes jambes. 
On s'est regardés et on a ri. Avec Tara, ça se finit toujours en rire, quelque soit la façon dont on s'envoie en l'air, quelque soit l'endroit. Faire l'amour nous a toujours fait rire, sans qu'on sache vraiment pourquoi. 
Ni l'un ni l'autre n'avait de mouchoirs en papier, nous avons du essuyer les quelques débordements avec des feuilles et de l'herbe. Au bureau, j'ai eu tout l'après-midi l'impression que tout le monde sentait cette bonne odeur de sexe dont j'étais imprégné. Sentiment jouissif à lui tout seul. 

samedi 25 avril 2009

Envies


Pour une fois, je vais faire un billet moins porno que d'habitude. Même si je ne pense qu'à "ça", il y a des gradations dans le "ça". Et ne cherchez pas ici d'interprétation freudienne, je me les sers tout seul comme un grand. 

J'aime marcher derrière une fille quand elle a une jolie démarche. Finalement, la question de la forme du cul importe peu. Du moment qu'elle reste dans des proportions acceptables, je ne suis pas attiré par l'obésité. Certaines ont de jolis petits culs fin moulés dans un jeans, d'autres ont des culs plus larges, certaines sont cambrées, d'autres plus droites. Peu m'importe du moment que le mouvement est joli. Un joli déhanché, c'est un rêve de grâce. Et ce n'est pas si rare que ça. 



J'aime les seins des femmes. Des femmes-femmes et des femmes-à-bite. Parfois, je voudrais en avoir pour les caresser, toujours les avoir sous la main, les montrer. Ils n'ont pas besoin d'être gros, des petits seins c'est magnifique. Tara a de tous petits seins. Eloïse aussi. Mary en avait de très gros, lourds et pesants. Lou, de petits ronds. Ines n'en avait pour ainsi dire pas. 
C'est probablement leurs seins qui rendent les travelos si intrigants, voire attirants. L'idée d'avoir à la fois une bite et des seins dans son lit sans forcément en passer par le trio est intéressante. 


Je n'aime pas éteindre la lumière. J'ai horreur de ça. Se regarder dans les yeux en faisant l'amour est d'une grande douceur. Tara a une façon de me regarder par en dessous lorsque je suis en elle qui me rend dingue.
Un auteur dont je tairais le nom pour préserver le mien, mais que j'aime beaucoup lire, écrivait qu' "une femme qui éteint la lumière mérite d'être trahie". 


J'aime passer près de quelqu'un que je trouve beau, homme ou femme, si près que je peux sentir son odeur. En revanche, je déteste la proximité imposée. Le métro n'est intéressant qu'aux heures creuses, quand on peut y mater tranquillement. 




vendredi 24 avril 2009

Lou again

Un moment de chat merveilleux avec Lou ce soir via MSN. Même à distance, même loin, même des mois après, elle continue de m'émouvoir. 
Je l'adore... 

mardi 21 avril 2009

Quand Apollinaire écrivait à Lou

Mon très cher petit Lou je t'aime



Mon très cher petit Lou je t’aime
Ma chère petite étoile palpitante je t’aime
Corps délicieusement élastique je t’aime
Vulve qui serre comme un casse-noisette je t’aime
Sein gauche si rose et si insolent je t’aime
Sein droit si tendrement rosé je t’aime
Mamelon droit couleur de champagne non champagnisé je t’aime
Mamelon gauche semblable à une bosse du front d’un petit veau qui vient de naître je t’aime
Nymphes hypertrophiées par tes attouchements fréquents je vous aime
Fesses exquisément agiles qui se rejettent bien en arrière je vous aime
Nombril semblable à une lune creuse et sombre je t’aime
Toison claire comme une forêt en hiver je t’aime
Aisselles duvetées comme un cygne naissant je vous aime
Chute des épaules adorablement pure je t’aime
Cuisse au galbe aussi esthétique qu’une colonne de temple antique je t’aime
Oreilles ourlées comme de petits bijoux mexicains je vous aime
Chevelure trempée dans le sang des amours je t’aime
Pieds savants pieds qui se raidissent je vous aime
Reins chevaucheurs reins puissants je vous aime
Taille qui n’a jamais connu le corset taille souple je t’aime
Dos merveilleusement fait et qui s’est courbé pour moi je t’aime
Bouche Ô mes délices ô mon nectar je t’aime
Regard unique regard-étoile je t’aime
Mains dont j’adore les mouvements je vous aime
Nez singulièrement aristocratique je t’aime
Démarche onduleuse et dansante je t’aime
Ô petit Lou je t’aime je t’aime je t’aime.
Guillaume Apollinaire

lundi 20 avril 2009

Des photos chez Lou

Je travaillais avec Lou à une époque. Nous formions un bon duo au boulot, c'était efficace, rapide, rythmé, toujours avec l'humour nécessaire à faire passer le stress et la tension dans les moments d'urgence. 
Lou est une petite brune pétillante, le genre de petit gabarit que j'aime beaucoup. J'avais compris que pour elle, c'était plus difficile, qu'elle se serait bien vue plus grande, plus bustée aussi, certainement. Sans les avoir vus, je trouvais ses petits seins mignons sous sa chemise ou moulés dans son pull à col roulé. 
Enfin, nous sommes devenus presque amis, un peu plus que juste collègues. Un soir, en prenant un verre en sortant du boulot, nous discutions. J'avais fait venir une seconde tournée, histoire de rompre quelques barrières. J'aime bien quand les filles se lâchent un peu, qu'elle perdent leur côté parfois un peu trop "sur la réserve" à mon goût. En même temps, je comprends aussi leur prudence, les hommes sont tous pareils. Et je suis un homme...
Donc on papote, on boit, on mange un morceau, on reboit, on parle de choses de plus en plus personnelle, de moi, d'elle, de sa vie, du fait que je la trouve jolie, qu'elle ne se plaît pas. Je tente de la rassurer par quelques formules, mais elle ne semble pas convaincue. 
Alors tentant le tout pour le tout, je lui explique que je la trouve très agréable, très jolie et fraîche et que j'aimerais la prendre en photo. Surprise, elle est d'accord. Je tend à penser que les deux verres que nous avions pris jusque là n'y étaient pas pour rien. Elle m'explique bien sûr qu'elle ne veut faire qu'un ou deux portraits, rien de plus. Je lui promet qu'on ne fera que les photos qu'elle voudra. 
Aussitôt dit, aussitôt fait, nous partons chez elle, c'est à deux pas. Il faut toujours avoir son appareil photo sur soi. 
Nous nous installons, prenons un verre. Je fais quelques portraits, elle a un très joli profil, un nez fin, de lèvres juste comme il faut. J'essaie de la mettre à l'aise, quelques plaisanteries la font rire. Les premières photos me plaisent, mais restent un peu figées. Je sens qu'elle est fière d'être ainsi regardée, mais qu'elle reste inquiète, probablement de peur de ne pas maîtriser la situation. Je la rassure, lui dit qu'elle 'rend' très bien. En prenant un cliché d'elle sur son canapé,  en plongée depuis une chaise, j'ai une jolie vue sur son décolleté, la naissance de ses seins. Elle l'a compris, et m'a demandé de lui montrer les clichés déjà dans la boîte. 
Elle est restée un instant perplexe devant cette dernière photo. Puis elle a ouvert un bouton de plus en écartant les deux pans de sa chemise. Je mitraillais ce décolleté, elle prenait la pose. Je lui ai dit qu'elle était très belle, ce ces photos seraient magnifiques. Je lui ai proposé d'en montrer plus. Elle n'était pas forcément convaincue, mais je lui ai dit que je la trouvais vraiment jolie et que j'avais envie de la voir, de la regarder et de la photographier. 
La petite ingénue devait avoir un côté exhibitionniste, elle a entièrement ouvert sa chemise. Elle portait un soutif blanc en dentelle. En ajustant les pans du tissus de sa chemise, j'ai effleuré son sein, c'était doux et chaud, tendre et soyeux. Elle semblait perdre sa gêne au fur et à mesure que la séance avançait. J'ai resservi un verre, elle avait une petite bouteille de champagne au frais. La photo où elle tend son verre vers l'objectif dans le geste de trinquer, assise sur son canapé, penchée en avant avec sa chemise ouverte, est une de mes préférées. Son sourire est alors celui de la femme qui se sent regardée et qui y prend (enfin) plaisir. Nous parlons beaucoup, je lui demande ce que ça lui fait d'être ainsi regardée, découverte. Elle me répond que c'est assez agréable, qu'elle n'aurait jamais cru y arriver. 



Elle enlève sa chemise, nous faisons quelques photos en soutif. Je lui demande si elle veut l'enlever. Elle semble hésiter, reprend une gorgée de champagne et se retourne pour le dégrafer. Quand elle me fait à nouveau face, elle a les bras croisés devant la poitrine, les mains à plat cachent ses seins. Elle minuade, ne semble pas entièrement décidée à les montrer. 
Je fais quelques photos, de face, de profil, de dos. Elle a un très joli dos, musclé aux épaules, harmonieux, et élégant. Au moment où je déclenche pour un cliché de face, sa main glisse. Son sein nu apparaît nettement sur la photo. Le mal étant fait, elle me les montre. 
Ah, ils sont encore plus jolis que je ne le pensais. Pas gros, mais ronds, comme une demi-orange, avec une petite groseille sur le bout. 
Lou prend maintenant la pose, se cambre pour mettre sa poitrine en avant, ses fesses moulées dans son jeans n'en ressortent que mieux. Elle est vraiment belle, de plus en plus belle au fur et à mesure que ses défenses tombent et qu'elle gagne en assurance. Le champagne ne doit pas y être pour rien non plus, et je dois faire attention à ne pas vider ma flûte cul sec à chaque pose qui m'émeut un peu. Si j'avais pensé en arriver là un jour... 
Après avoir bien joué à shooter ses seins nus, je lui dit que j'aimerais la voir nue. Elle hésite encore. 
"Tu es sûr ?"
"Si ça peut te mettre à l'aise, je me met nu aussi. Je voudrais vraiment des photos de toi nue. Jusqu'ici, tu es superbe, laisse-moi te photographier nue."
"Oui, mais tu vas les diffuser ensuite sur Internet"
"Jamais. Je te te promet pas que je n'en prendrais pas un bout, juste un détail, comme une main ou un sein, mais tu ne seras jamais reconnaissable. Les photos, c'est pour toi, pour moi, et personne d'autre". 
"Tu me le promets ?"
"Je te le jure". 

Alors elle a enlevé son pantalon. Sa culotte en dentelle était assortie à son soutif blanc. Elle s'est retournée pour enlever sa culotte, puis m'a fait face, un peu empotée, ne sachant que faire de ses mains qui passaient et repassaient devant son sexe, hésitant à le masquer ou à le dévoiler. Ses poils bruns étaient soigneusement taillées, un joli petit triangle foncé sous la peau blanche de son ventre. Son cul était fin mais charnu, musclé aussi, ses fesses rebondies sans être volumineuses. La beauté natuelle d'une jolie brunette qui se découvre devant l'oeil et l'objectif d'un homme. 

J'ai pris beaucoup de clichés, dans toutes les poses possibles. Debout, couchée, sur le dos, sur le ventre, assise sur une chaise, les bras en l'air, dans le dos, devant la poitrine, les mains sur son sexe, sur ses fesses, tenant sa flûte de champagne... 
Il faisait très chaud, mais je ne voulais pas enlever le T-shirt que j'avais sur le dos, je ne voulais pas qu'elle prenne peur, qu'elle se méprenne. On bossait ensemble, il fallait que ça reste vivable "après". Déjà  là, ça allait être dur le lendemain...

Pendant tout ce temps, nous n'avions pas arrêter de discuter. On parlait de tout et de rien, de la vie, de nos expériences passées, de nos rêves. Elle jouait avec ses mains sur sa peau, sur ses seins, sur son ventre. Elle était maintenant détendue, se laissait regarder, assise nue en tailleur sur son canapé rouge. 
Au bout d'un moment, nous parlons fantasmes. Elle me racontait des choses auxquelles elle rêvait parfois, ne prenant pas grand'risque car j'aurais été dans l'incapacité de la satisfaire sur le moment même (il aurait fallu que je sois plusieurs...). Nous en avons bien ri et sans plus éfléchir à la situation, je lui ai dit que j'aimerais voir un jour une fille se caresser, se donner du plaisir. 
Elle ne m'a pas répondu, mais tout en me regardant dans les yeux, elle a fait descendre sa main vers son ventre, vers son sexe pendant que son autre main caressait ses épaules et ses seins. Je lui ai demandé de pouvoir la prendre en photo, elle ne m'a pas répondu et a continué, toujours en me regardant. Elle tournait sur son clito, puis a descendu son autre main et s'est mise à se caresser l'intérieur des cuisses. Au bout de quelques minutes, elle a joui devant moi et j'avais  du mal à ne pas tout envoyer balader pour lui sauter dessus. Elle a compris mon trouble et nous en avons ri. 
Ah, Lou... Je ne t'ai pas assez remerciée pour ce que tu m'as montré là. J'y pense souvent quand je me caresse, quand j'invoque les images agréables de mes aventures passées. Toi, assise devant moi, les jambes écartées, un doigt dans ton sexe, l'autre sur ton bouton de rose, et qui me regarde dans les yeux pendant que ton plaisir monte... 

Quelle expérience tu m'auras fait vivre ce soir là. Surtout quand, après ça, tu es venue t'asseoir à mes côtés, et que tu m'as dit que tu avais un fantasme que je pourrais satisfaire. Tu voulais que nous fassions une photo de tes seins avec "quelque chose dessus". J'ai proposé du chocolat, du miel, des fuits, mais sans succès. 
Tu as pris une grande gorgée de champagne, tu as posé ta main sur ma cuisse et tu m'as avoué presque en rougissant que tu voulais du sperme. J'étais stupéfait, pensant à ce qu'était ta retenue et ta timidité lorsque nous étions encore attablés à cette terrasse en fin d'après-midi. Je t'ai demandé si tu voulais que je mette du yaourt ou du lait concentré sur ton sein avant de prendre le cliché, je sais que le lait concentré est un vieux truc utilisé dans les pornos quand le jeune premier a une petite panne et qu'il ne peut procurer l'effet visuel souhaité au bon moment. Non, m'as-tu dit en me regardant d'un air contrarié, tu voulais du sperme. 
Bon, que faire ? J'ai ouvert mon pantalon et tu as sorti ma queue, qui se demandait si c'était du lard ou du cochon. Tu as réussi à me faire bander très correctement, en la tenant et en la caressant, en resserrant tes doigts autour de la base du gland pour jouer avec l'afflux sanguin. Puis tu m'as branlé soigneusement, en y mettant la pression et le rythme nécessaires. J'en ai failli oublier les photos. J'ai quand même réussi à prendre quelques photos de ta main sur mon sexe, quelques autres de ton visage pendant que tu me tenais ainsi bien serré. J'étais dans un état second, ma collègue de tous les jours était nue à côté de moi, elle venait de me montrer sa jouissance en se caressant devant mon objectif et me branlait maintenant en me regardant dans les yeux, j'allais jouir sur ses seins, et à sa demande en plus. Je ne sais même plus si elle m'a pris un instant dans sa bouche... 

Je me suis redressé au moment de la jouissance, tu t'es approchée et mon premier jet a atterri sur ton sein gauche, couvrant le petit bout d'une tache blanche, encore plus blanche que ta peau. D'autres ont suivi, te couvrant la poitrine de part et d'autre. Je t'ai regardé, je n'osait rien te dire. Tu tenais ma bite dans ta main, en silence. Je ne sais pas combien de temps celà a duré. 

Finalement, la fameuse photo de tes seins couverts de mon sperme n'a jamais été faite. Nous sommes partis dans un éclat de rire et nous sommes essuyés avant d'aller prendre une douche. Ensemble...

mercredi 15 avril 2009

Fuck with your boots on !

Récemment chez Tara. Nous avions mangé ensemble un midi, en nous regardant dans les yeux sans rien pouvoir faire. Nous n'étions pas seuls, ses enfants étaient là aussi et ils sont un peu jeunes pour le type de spectacle auquel nous nous serions livrés si nous avions suivi nos envies. Pas que cela nous gêne plus que ça de nous envoyer en l'air en public, mais certaines choses ne sont vraiment pas possibles.  
Un jour, je vous raconterai le sexe dans les arbres. C'est un bon souvenir. 

Les enfants repartis à l'école, il fallait que nous repartions aussi chacun de notre côté. Je n'ose pas imaginer la tête de nos supérieurs respectifs si nous leur disions un jour "Désolé, je suis en retard parce que je viens de tirer un super-coup". Je ne pense pas qu'ils aient ce genre d'humour. Je déteste les types pour qui la production de richesse est une valeur sacrée. Je suis persuadé que le mien est le genre de type à honorer sa bourgeoise lors du devoir conjugal du samedi soir. En éteignant les lumières, car sinon ça bloque madame. 

Bref. Nous ne pouvions pas décemment repartir vers le boulot sans un gros patin à pleine bouche. Et ce qui devait arriver arriva. Des bras qui tiennent l'autre de plus en plus serré, des mains qui glissent le long du dos, sur les fesses. Les langues qui tournent et cherchent. Les mains qui repassent devant, cherchent des seins sous la blouse, passent à travers l'ouverture de la chemise... 
On devait en avoir autant envie l'un que l'autre, car quand je lui ai dit "I want you so much", elle glissait sa main dans ma braguette. Je lui ai baissé son pantalon - vivent les pantalons à élastiques, à bas les jeans, elle  envoyé sa culotte valdinguer à l'autre bout de la pièce et m'a déserré la ceinture, passant la main à l'intérieur à la recherche de ma bite. 

Je l'ai basculée sur un canapé et l'ai pénétrée, le pantalon sur les chevilles. J'avais encore mes chaussures aux pieds. La baise fut intense, elle me tenait la tête, passant ses doigts dans mes cheveux, je la tenais d'une main sous une fesse, allant et venant en elle. Nous sommes venus presque en même temps, elle juste avant moi. 

Contrairement à d'habitude, nous avons zappé la douche après le sexe. J'avais l'odeur de la baise et de sa sueur sur moi tout l'après-midi. 
Enivrant!


lundi 6 avril 2009

Quand j'échappe à la taule de justesse...

L'autre jour, en rentrant un peu plus tôt, je sors du métro au moment où les lycéens du bahut du quartier s'y engouffrent. Arrivant en haut de l'escalier, je manque de peu la collision avec deux seins magnifiques, rebondis, gros, plantureux. Je relève les yeux sur une jeune fille accompagnée de ses copines. La joyeuse bande sortait visiblement de cours et s'apprêtait à regagner ses pénates (ou un café de centre-ville où se livrer à la débauche la plus malsaine, mais ne rêvons pas). 

Je me suis dit que ces jeunes filles étaient bien impudiques, d'exhiber ainsi leur jolie poitrine. Avec tous ces pervers qui courrent les rues... Aah, on y aurait volontiers mis les mains (et le reste)... si on avait eu la certitude qu'elle était majeure. Elle était un bel exemple de ce que nos amis étazuniens appellent jailbait, de l'appât à prison. Le genre de délice très tentant, mais qui te fait prendre 15 ans derrière les grilles. (Pour plus d'informations, vous cherchez jailbait dans Google, je ne publie ici que des choses relativement publiables... Attention NSFW, you've been warned). 


La plus belle oeuvre de Dieu, le meilleur outil de satan.

Bah, consolons-nous en rêvant qu'elle doit bien avoir une maman plus dans nos cordes, question âge, ou une grande soeur à la fac, aussi bien bustée et généreuse dans le partage de son esthétique. 
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