vendredi 26 juin 2009

La vie n'est plus ce qu'elle était

Dans quelle affaire de dingue me suis-je encore fourré ? J'espérai avoir réussi à trouver un rythme, un peu de stabilité dans le tourbillon affolant qu'est ma vie. Certes, c'est mouvementé, les histoires ne manquent pas et les rencontres non plus, parfois tendres ou d'autres fois tumultueuses. Mais je voyais une ligne, une espèce de grande spirale qui me menait tranquillement vers la fin, le trou noir, la grande chatte dans laquelle je pousserais mon dernier orgasme. J'avais encore de nombreux tours à faire, pas d'inquiétude de ce côté là. La petite mort tient encore le dessus face à la Camarde, qui a pour l'instant été défaite deux à zéro, la Grande Putain. La vie, le vin et les ami(e)s me donnaient tous les plaisirs que je peux attendre d'une vie qui ne vaut pas la peine d'être vécue si on n'en profite pas à fond. Eloïse, ma douce, Tara, ma tendre, Lou, mon petit ange maintenant lointain, Denis, mon grand ami, Sophie et tout(e)s les autres avec qui j'aime rire, manger, boire et faire l'amour...
Et là, tout d'un coup, le bug. Il y a un caillou sur ma trajectoire. Un élément perturbateur, inattendu et soudain qui vient dévier la course.
Une femme qui m'a ému, et je pense à elle matin, midi, soir, minuit. Elle m'obsède. Ce n'est pourtant pas un canon de la beauté féminine, même si elle est mignonne. Je n'ai même pas envie de coucher avec elle : quand je me branle, j'ai beau penser à elle dans des positions scabreuses, ma bite dans sa bouche et met doigts dans sa chatte, ça ne m'excite pas. J'ai juste envie de la prendre dans mes bras et de la serrer contre moi, d'être avec elle et de la regarder, de l'écouter et de lui répondre, de la sentir.
C'est grave, docteur ?

mercredi 24 juin 2009

Rentrer dans l'armée ?

Elle s'imagine que je suis en train d'écrire des horreurs avec de la fesse dedans. En fait, je faisais autre chose d'encore plus inavouable, mais je ne veux pas la décevoir.

***

Je crois avoir déjà parlé de ce joli cul qui est là à côté de moi, si près et pourtant si peu accessible, quasiment interdit. Oui, c'était dans les premiers billets de ce blog. Il est toujours là, ce joli cul, il me fait face, serré dans un pantalon qui serait le résultat de l'accouplement monstrueux d'un jeans et d'un treillis. La chemise qui est porté au-dessus se relève, découvrant le ventre ou le dos de la belle endormie selon le côté où elle se tourne. Un jour, la tentation sera trop forte et j'y mettrai la main.

***

A propos de treillis, je garde en souvenir cette femme soldat croisée sur un parking d'autoroute en 2003. Elle était avec son régiment qui rentrait du défilé fêtard et nationaliste sur les Champs Elysées, en direction d'une ville du sud. Les blindés à roulettes s'étaient arrêtés sur une 'aire de service', le nouveau mot pour 'parking d'autoroute' pour permettre aux troupes d'éviter l'ébulition. L'armée dans la magnificence ne climatise pas ses blindés, un soldat c'est fait pour endurer. Et il faisait chaud en 2003, rappelez-vous, c'était l'été dit 'de la canicule'. Et dans ce régiment, il y avait une femme rousse, aux cheveux longs attachés en chignon, qui se promenait tête nue, enserrée dans son uniforme aux couleurs camouflage. De petites gouttes de sueur perlaient sur son front, sa chemise était largement ouverte sur une poitrine confortable. J'ai rarement eu autant envie d'attaquer un soldat.

See what I mean ?

Et ce blog ne serait pas ce qu'il est si je ne précisais pas que ses petits camarades de jeux mâles étaient plutôt pas mal.
***
J'ai eu Lou au téléphone aujourd'hui. Je n'étais pas dans mon bureau et les gens qui occupaient cet open space n'auraient peut-être pas apprécié de me voir ouvrir mon pantalon, sortir mon sexe et me branler. Mais que sa voix est excitante...

***

Finalement Je l'ai vue. Elle est fidèle à ce que mon imagination avait bâti sur les quelques images glanées ici et là. Ce fut un véritable plaisir de la voir s'avancer vers moi, l'air presque gêné de ce que la rencontre ne se passe pas exactement comme elle l'avait prévu, les autorités de ce pays de fous ayant la bonne idée de changer régulièrement le décor pour que les citoyens ne s'ennuient pas. Nous avons beaucoup parlé, dévoilé un brin de nos identités, un peu bu, beaucoup ri, effrayé des gens.
Mais le plus extraordinaire, c'est que nous ayons réussi à passer une soirée entière presque sans parler de sexe. Et ça, ça frise l'exploit.

mercredi 17 juin 2009

Sucer, c'est tromper ?

Nous étions jeunes, à l'âge où on va encore passer la soirée chez les potes quand leurs parents sont sortis.
Ce soir-là, c'étaient les parents de Mike qui lui avaient laissé la maison. Parents riches, bonne situation, grosse maison, luxe et volupté. Mike n'avait pas de chambre, il occuppait une petite suite au dernier étage. Le penthouse, on appelait ça. Il y avait la chambre proprement dite, la salle de bains et un grand espace vide qui servait pour le fêtes. Dans un coin, un flipper.
Ce soir-là, j'avais débarqué chez lui avec un ami, Greg. Les deux garçons ne se connaissaient pas. On avait prévu de faire un tournoi de flipper entre mecs, juste pour le fun, rien à gagner, rien à perdre. Mike nous avait servi à boire, un bon Saint-Emilion piqué dans la cave paternelle. Cave tellement bien garnie, au demeurant, que nos petits larcins réguliers ne se voyaient pas trop. Ou le père faisait bien semblant de ne pas les voir, préférant qu'on se torche avec du bon plutôt qu'avec du gin de bas étage acheté au night-shop du coin. Au cours du troisième tour (j'allais déclencher l'extra-ball), Mike nous dit tout d'un coup :
-Dites, les gars, j'ai un nouveau porno. On se le mate ?

Oui, nous causions comme ça quand nous étions jeunes. Mater...

Et nous voila installés dans un canapé sans âge, devenu informe à force d'accueillir tant de culs, tant de parties de jambes-en-l'air, tant de beuveries de notre jeunesse à la recherche de la transgression fatale. Le film s'appelait Tour de France. Une vague histoire d'une troupe de théâtre un peu hippie qui voyage à travers le pays et qui baise à couilles rabattues. Très représentatif des années 70, époque à laquelle il avait été tourné. Il faut dire que Mike était un spécialiste des pornos vintage, il en avait quelques uns tout à fait remarquables.

Nous voila donc assis tous les trois, mes deux amis sur le canapé et moi par terre selon une habitude que j'ai toujours. Passent quelques scènes de fellations, de baise, un mec allongé par terre se fait sucer pendant qu'une nana est debout au-dessus de lui et qu'il lui met les doigts. Au début, nos en rigolions. Puis nous nous sommes laissés prendre par le film, et au bout de quelques temps plus personne ne disait rien. Nous étions là, à fixer l'écran, les mains dans les poches (oui, pour pouvoir se toucher sans que ça ne se voit trop).

- Bon, les gars, vous êtes dans le même état que moi, et vous en avez une aussi donc vous savez comment s'est fait.

C'est Mike qui, le premier, a ouvert son jeans et sorti sa bite qu'il a commencé à branler. Il a attrappé une boîte de mouchoirs qui traînait à portée, en a pris quelques-uns et nous l'a proposée. Je me suis servi, j'ai sorti ma queue aussi et je m'y suis mis aussi. Greg avait l'air un peu surpris, mais il nous a sorti un sexe très long et assez fin. Celui de Mike était plus court, tout en restant tout à fait correct, mais plus gros aussi.

- Eh, t'as vu, la bonde, là ? Le cul qu'elle a ? Et comment le mec la bourre ?
- Ouaah, celle-la, j'aimerais bien qu'elle soit ici pour me sucer comme ça !
- Attends, moi je vais te sucer...
- Non mais ça va pas, non ?
- Ben quoi ? Entre potes, y a pas de mal, non ?

Et je me suis retourné et j'ai pris la queue de Mike dans ma bouche. De la main droite je continuais à me branler, de la gauche je tenais sa bite que je suçais comme la fille dans le film le faisait. Greg nous regardait fasciné.
J'étais tellement excité que j'ai giclé peu après, rajoutant un peu de mon foutre à tout ce qui avait déjà taché le vieux velours du canapé. Ma main gauche devenue libre, j'ai attrapé la queue de Greg et je les ai sucés alternativement, tous les deux.



Mike a joui dans ma bouche, Greg a lâché son sperme sur mes doigts et sur le canapé.

- Tu vois, c'est pas si difficile que ça ?

Mike avait l'air quand même un peu gêné :

- Euh et Stéphanie, elle est au courant que tu suces des mecs ?
- Stéphanie ? Oh non, la pauvre... Déjà qu'avec elle, faut éteindre la lumière quand tu veux lui toucher les seins, alors je te dis même pas... Elle meurt sur place ! De toute façon, si elle savait tout ce que je fais sans elle...

Pauvre Stéphanie. Le jour où elle l'a su, quand je lui ai dit qu'elle était vraiment trop cruche et que c'était une vision de l'enfer que de s'imaginer passer sa vie avec elle, j'ai bien cru qu'elle allait avoir une attaque. Depuis, elle s'est mariée et elle a cinq enfants. Qu'elle a du faire dans le noir.

mercredi 10 juin 2009

Bonsoir (adresse au lecteur)

Bonsoir amis lecteurs qui passez ici vous repaître de mes histoires.

Ce soir, je n'ai pas envie de raconter quoi que ce soit. Ce ne sont pas vraiment les thèmes qui manquent, j'ai en préparation deux ou trois petites choses amusantes qui devraient vous titiller là où vous aimez bien qu'on vous titille. Oui, vous aimez qu'on vous titille, n'est-ce pas ? Je le vois car, depuis que ce blog a été ouvert le 13 mars denier, vous revenez.

Oui, ami lecteur (et j'utilise le masculin parce que c'est la forme générique), vous revenez, je le vois dans les chiffres qui s'alignent dans les petits modules de comptage installés sur ce blog.
Je sais par exemple comment vous venez ici, et parfois les mots-clés que vous utilisez dans Google ou d'autres moteurs de recherches sont assez croquignolets. Je vous passe sur les grands classiques sans intérêt n'évoquant que la recherche de films pornos bas de gamme pour branlette frustrante et frustrée, pour n'en mentionner que quelques-uns qui me plaisent beaucoup :
  • sa chatte sous la table (ça, c'est certainement pour Meridith)
  • seins quand elle se penche
  • joli sein et sa variante, joli clitoris
  • sucer son clitoris si mignon
etc.

Curieusement, il y a peu de recherches sur les thèmes de l'homo- ou de la bisexualité.

Je sais aussi par quel site vous arrivez ici, et je veux profiter de ce billet pour remercier particulièrement Framboise et son charmant boudoir, Calixte and co (Calixte est le frède de Framboise, une famille tout à fait charmante) et Mademoiselle Lilou, qui sont mes plus gros apporteurs de visites. Si vous ne les connaissez pas, allez les lire. Ils font partie de mes classiques maintenant.

Mais rassurez-vous, lecteurs, votre anonymat et votre sérénité me sont tout aussi précieux que les miens, aussi ne dévoilerai-je rien de qui vous êtes, de la fréquence de vos visites (et pourtant Dieu sait que certains sont assidus, merci à eux) ni aucune autre information vous concernant. Tout au plus, certains pourront trouver ici où là un clin d'oeil qui leur sera destiné, glissé dans un texte. Si un jour, vous avez un doute et que vous vous demandez "Tiens, et si ceci m'était adressé ?", la réponse sera toujours oui.
Sachez que je remercie tendrement chacun d'entre vous comme il le mérite. Et c'est en vous laissant imaginer ce que vous méritez que je vous donne rendez-vous bientôt pour une aventure, disons assez étrange mais fort agréable in fine.

Je vous embrasse où vous voulez,
Feuille

lundi 8 juin 2009

Short stories

Ce soir, ce ne sera pas un long billet relatant nos récentes fredaines. Quelques aventures courtes que je note dans un coin, et qui ressortent quand j'en ai assez pour faire un billet. 

L'autre soir. Déjà très tard. Une grosse voiture garée le long du trottoir. Une grosse Mercedes, ou quelque chose dans ce genre-là. la voiture du luxe ostentatoire. A l'intérieur, deux grandes noires. Les seins nus. Des poitrines très grosses. Elles s'embrassent à pleine bouche. Sur le siège avant, un chauffeur, noir lui aussi, en livrée avec une casquette, qui regarde fixement devant lui. Je m'arrête et les regarde. Elles voient que je les regarde. La main de celle de droite disparaît sous sa jupe, je la vois qui s'active. Elle se caresse la chatte, pas de doute possible. 
Je sors mon sexe, je bande déjà très fort, et me met à me branler à côté de la voiture. Elle le voient, mais continuent leurs caresses. Celle de droite sort sa main de sous sa jupe et dit quelque chose au chauffeur, quelque chose que je n'entends pas. Ils sortent tous les deux de la voiture, elle vient s'appuyer sur le capot du coffre et relève sa minijupe. Elle dit quelque chose au chauffeur, dans une langue que je ne comprends pas. Il répond "Oui, madame", sort son sexe et la prend par derrière. Il la pénètre et la baise bien fort. 
Pendant ce temps, la seconde femme a aussi relevé sa jupe. Elle se tourne pour me présenter son cul, une pied par terre, l'autre jambe repliée sur la banquette. J'enfourne ma bite dans son sexe et la baise en la tenant par son gros cul. 
Quand on a fini, les deux femmes remontent en voiture. Le chauffeur me file cent euros en me demandant de fermer ma gueule. La voiture démarre en trombe. A l'arrière, j'ai juste le temps d'apercevoir une plaque diplomatique et le macaron CD...


La photo, ce sont deux grosses chattes blacks poilues l'une sur l'autre. 
Oui, je sais, c'est facile. Mais ça m'amuse. 
Beaucoup.

Je sors des toilettes chez un très gros client de l'agence et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains. Juste après moi, un jeune homme sors aussi et vient vers le lavabo. Il se lave les mains à deux lavabos du mien, me regarde et me fait un sourire charmeur, un sourire enfantin et espiègle à la fois. Je fais mine de l'ignorer, mais quand je le regarde à nouveau, il recommence. S'étant séché les mains, il se dirige vers un porte, l'ouvre, entre et me regarde. Je le suis. Il ferme la porte. Il n'y a que très peu de place, juste la place pour un chiotte et le dévidoir à papier. Il s'agenouille devant moi. L'intention est claire : je sors ma bite de mon pantalon. Il s'en empare et se met à me sucer. Il suce comme un dieu, ce petit con... S langue tourne autour de la base de mon gland, il lèche ma queue de la base à la pointe, la serre bien quand il a le gland en bouche, puis relâche son poing. Il m'aspire goulûment, je sens mes jambes fléchir. Je lâche mon sperme dans sa bouche avant même d'être parvenu à érection complète. 
Il recrache dans le chiotte, me fait un sourire, un véritable sourire d'ange, ouvre la porte, regarde de part et d'autre, et sort. Quand je sors à mon tour, il a disparu. 



Slip ou caleçon ? Pour moi, la question ne se pose pas : je ne porte ni l'un ni l'autre. J'enfile mes jeans à même la peau. L'idéal est même d'avoir un trou dans sa poche. Dans sa poche avant, je veux dire. Un gros trou, dans lequel on peut passer deux doigts. Comme ça, on peut se toucher le sexe incognito, voire même se lancer subrepticement dans une petite branlette.  Une jolie demoiselle dans le métro ? Hop, deux doigts autour du gland et c'est parti. Un beau collègue en réunion ? On peut se toucher en déambulant entre le paperboard et le portable sur lequel tourne le powerpoint des résultats semestriels consolidés. 
Ne réparez pas les trous dans vos poches...

mercredi 3 juin 2009

Hot after the heat

Ca avait été une soirée tranquille. J'étais seul, et j'en profitai pour bosser dans mon bureau, chez moi. Un gros dossier à finir, un projet de quelques millions d'euros que l'Agence devait rendre à ses clients dans les jours suivants. Je m'étais mis une petit musique douce, des pièces de Chopin,  et finissais de relire mon topo, vérifier la traduction en anglais car le dossier était bilingue, recalculer tous les tableaux pour être sûr qu'il ne restait aucune erreur. Calme et concentration. Eloïse était sortie avec sa copine June. June est une américaine qui habite dans notre pays depuis quelques années déjà, qui parle très bien français, mais avec un léger accent que je trouve extrêmement sexy. J'aimerais qu'un jour elle me dise des horreurs à l'oreille avec son accent de la côte ouest, ça doit sonner très sunshine et naughty girl à la fois. 

June est assez jolie, même si ce n'est pas un canon de la beauté féminine. En fait, ce sont ses yeux brillants et son sourire qui va presque d'une oreille à l'autre, découvrant toutes ses dents blanches, qui la rendent attachante. Elle n'a pas les jambes spécialement fines, les fesses plutôt charnues, de gros seins ronds et lourds. Mais elle sourit et aime rire pour un rien, ce qui la rend d'un commerce agréable. (Oui, l'expression est un peu littéraire, mais je trouve ça plus joli que de dire qu'elle est "assez bonne" ou "baisable"). Eloïse et June étaient au hammam ce soir-là. Elles aiment bien ces sorties entre filles, dans un lieu qui leur est réservé, où elles peuvent être à poil entre elles, se faire suer (littéralement), s'enduire d'huiles et prendre soin d'elles. C'est certainement un peu érotique, mais à ma connaissance le hammam en question accueille toutes sortes de population, de la jeune geekette branchée à la mama berbère qui vient prendre le thé avec ses copines, donc pas de risques de léchages de chattes sans que je ne sois au courant. En tout cas, pas là. 

Je les entendis rentrer, June avait raccompagné Eloïse et celle-ci lui avait proposé un dernier verre de thé à la menthe à la maison avant qu'elle ne rentre chez elle. Je suis sorti du bureau pour aller les saluer, elles étaient belles, fraîches comme des roses de l'Atlas et parfumées d'une fine odeur de jasmin, enjouées par le bon moment entre filles qu'elles avaient passé. June et Eloïse s'entendent vraiment bien, ce sont deux bonnes copines qui s'apprécient. Et même un peu plus, si j'en juge par la façon dont elles ont dansé ensemble à la dernière summer party que nous avions donnée chez nous. Rien d'explicitement sexuel, il y avait du monde dont des gens sérieux pour qui le sexe c'est le dimanche soir après le film, mais des mains qui traînent un peu longtemps sur des fesses pendant un slow, des corps qui se rapprochent un peu plus que nécessaire de temps en temps, ce genre de choses qui vous fait penser que, peut-être, si les circonstances étaient favorables... 
Je leur mets de l'eau à chauffer, puis je retourne à mon dossier. Il n'est pas très tard, je n'en ai plus pour très longtemps, ça me motive pour foncer. Au bout de cinq minutes, j'entends Eloïse venir préparer le thé, puis plus rien si ce n'est un petit rire de temps en temps. 
Au bout d'une heure, j'ai fini. Je range, j'éteins l'ordinateur et je vais au salon voir si les filles sont encore là, s'il reste du thé. Il reste du thé, mais les filles ne sont plus là. June a du rentrer chez elle, Eloïse doit bouquiner dans son lit. Je me sers un thé et vais dans la chambre la rejoindre. Pimpante et fraîche, pomponnée et parfumée comme elle est, je vais me faire un régal de la lécher partout. 

Surprise quand j'entre : les deux filles sont là, pas complètement nues mais presque. Eloïse, allongée sur le dos, porte encore sa culotte, dans laquelle June a mis sa main, mais elle n'a plus que ça sur elle. June n'a plus de culotte (en porte-t-elle ?) mais elle a encore son soutien-gorge. Elles sont en train de s'embrasser à pleine bouche, pendant que June caresse le sexe d'Eloïse. Les seins d'Eloïse pointent fort, elle est visiblement très excitée. Je découvre la chatte de June, qui me fait face, elle se taille les poils, mais sans se raser, c'est très sexy. Je m'approche et m'assois à côté d'Eloïse, j'avance une main vers ses seins, mais elle me repousse gentiment. 
- Non Fleur, ce soir c'est entre filles. Mais tu peux regarder, si tu veux. 

Ca me va aussi. Je m'installe dans un fauteuil à côté du lit et je prend mon rôle de voyeur. Rapidement, Eloïse enlève sa culotte. June s'installe entre ses jambes et se met à lui embrasser le sexe, d'abord tout doucement, sur la chatte, de part et d'autre dans l'aine, un petit coup de langue sur l'intérieur des cuisses. Puis elle s'active sur le clito, le prenant dans sa bouche, le faisant tourner sur sa langue. Elle passe sa langue sur l'entrée du vagin, la fait pénétrer à l'intérieur d'Eloïse, qui lui passe les doigts dans les cheveux en soupirant. Ensuite, June se redresse, dégrafe son soutif et libère ses deux gros seins blancs et vient les frotter contre le sexe d'Eloïse. Puis, elle les remonte sur le ventre de ma femme, sur ses seins et vient l'embrasser sur la bouche. Les filles roulent sur le lit, Eloïse attrape les seins de June et se met à les embrasser et les lécher, pendant que sa main gauche cherche le sexe de son amie. C'est maintenant au tour d'Eloïse de lécher June. Elle se retourne, passe sa tête entre les jambes de June et attaque la chatte rousse. Le léchage est vigoureux, sans chichis, to the point. Elle ne va cependant pas jusqu'à la faire jouir, elle descend un peu et cherche à passer sa langue dans la raie du cul. Comprenant ce qu'elle veut faire, June se retourne sur le ventre, puis replie les genoux sous le corps. Ca lui écarte les fesses et on a ainsi bien accès à son petit trou. Eloïse vient se placer derrière elle et entreprend de la lécher de haut en base, mouillant abondamment le cul de June de sa salive. Elle s'attarde sur le trou du cul, tente de passer sa langue dedans, le masse de ses doigts pour le détendre. June gémit, la tête enfouie dans mon oreiller. Il sentira bon, quand je me coucherai tout à l'heure. De sa main droite, Eloïse se caresse la chatte, je vois ses doigts qui jouent un moment avec son clito puis qui entrent dans son sexe. 

Je n'y tiens plus, il faut que je fasse quelque chose. Si je ne peux pas participer, je peux au moins me masturber devant le spectacle. Je sors ma verge et commence à me branler. Mon pantalon me gêne, je l'enlève et me rassois, les jambes étendues, le sexe raide dans ma main qui s'active dessus. Les filles ont vu ce que je faisais, mais elles semblent n'en avoir cure. Je ne vais pas trop vite, je ne veux pas jouir trop tôt et profiter au maximum du spectacle qui m'est donné. 



Les filles sont de nouveau dans le même sens, à s'embrasser et à se toucher partout, les jambes entremêlées. Puis, Eloïse ouvre un tiroir et en sort un gode. Elle tend le gode à June qui le mouille bien de sa salive avant de lui introduire dans la chatte. June fait aller le gode gentiment, sans forcer. Très vite elle se remet à lécher Eloïse qui ne tarde pas à jouir, fêtée ainsi du clito et du vagin. Quand Eloïse reprend ses esprits, elle propose à June de la goder aussi, mais celle-ci décline : 

- Non, viens plutôt me lécher et mets-moi tes doigts. 

Je me branle de plus en plus activement. Quand je sens le plaisir monter trop vite, je ralentis. Je serre mes doigts sur la base de mon sexe, ça calme un instant. Puis je reprends. Je voudrais jouir en même temps que June. Mais le spectacle est trop beau, Eloïse remue son joli cul en rythme pendant qu'elle doigte June, ça évoque tant de jolies choses (entre autre la première fois que je suis venu dans son cul, mais c'est une autre histoire) que le plaisir est trop fort. Je sors de mon fauteuil, me relève et j'éjacule en lâchant plusieurs longs jets qui viennent s'écraser sur les épaules d'Eloïse et sur le ventre de June. Celle-ci jouit peut après en poussant de longs râles de plaisir et en appuyant le visage et la bouche d'Eloïse contre sa chatte. 

Plus tard, nous prenons tendrement une douche à trois et nous nous savonnons mutuellement. A chaque fois, je me dis que j'ai bien fait de faire installer cette douche de très grande taille. Je prends un grand plaisir à savonner les filles, à leur nettoyer le sexe, à leur frotter le dos. Fatigués, nous invitons June à dormir chez nous car elle a encore un peu de chemin à faire pour rentrer chez elle. Nous lui faisons une place dans notre grand lit, entre Eloïse et moi. Plus tard dans la nuit, June et moi ferons l'amour. Tout simplement, à la missionnaire, pendant qu'Eloïse nous regardera et caressera les gros seins de June. 

Ma femme a vraiment de chouettes copines. 

lundi 1 juin 2009

De saines lectures. Enfin, presque...

En me promenant sur le Web et les blogs l'autre soir, je tombe sur le blog de MY-couple, une gentil petit couple qui nous parle de ses aventures, de ses découvertes, de ses jeux. Allez les lire, c'est mignon tout plein. Et Mademoiselle a un très joli sein. 

En farfouillant sur leur blog, je tombe sur cet article qui nous présente la version pornographique de la bande dessinée La famille Flintstones (Pierrafeu en français). Amateur de BD et de pastiche érotico-porno, je clique. 



En effet, c'est amusant. Agathe Pierrafeu (fifille) va se marier, certains invités arrivent la veille au soir, d'où partouze. Il y a cependant deux ou trois petites choses que je trouve dommage dans cette bande dessinée : on reste trop proche du film porno classique, où c'est le mâle qui domine. Certes les dames prennent leur pied entre elles, mais c'est pour satisfaire le fantasme masculin des lesbiennes. Pourquoi les messieurs ne se sucent-ils pas ? Pourquoi les messieurs ne se pénètrent pas ? Il paraît que les dames fantasment sur les relations entre hommes... Dans la plupart des films, c'est pareil : les garçons baisent les filles, elles se gougnottent entre elles, mais jamais les messieurs ne prennent leur pote dans la bouche, jamais les messieurs ne se font éjaculer sur le visage, jamais les messieurs ne font toutes ces choses qu'on trouve naturel de faire faire aux dames, que ce soit dans le scénario d'un film ou d'une BD. 

De l'imagination, de l'audace ! 

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