samedi 25 avril 2009

Envies


Pour une fois, je vais faire un billet moins porno que d'habitude. Même si je ne pense qu'à "ça", il y a des gradations dans le "ça". Et ne cherchez pas ici d'interprétation freudienne, je me les sers tout seul comme un grand. 

J'aime marcher derrière une fille quand elle a une jolie démarche. Finalement, la question de la forme du cul importe peu. Du moment qu'elle reste dans des proportions acceptables, je ne suis pas attiré par l'obésité. Certaines ont de jolis petits culs fin moulés dans un jeans, d'autres ont des culs plus larges, certaines sont cambrées, d'autres plus droites. Peu m'importe du moment que le mouvement est joli. Un joli déhanché, c'est un rêve de grâce. Et ce n'est pas si rare que ça. 



J'aime les seins des femmes. Des femmes-femmes et des femmes-à-bite. Parfois, je voudrais en avoir pour les caresser, toujours les avoir sous la main, les montrer. Ils n'ont pas besoin d'être gros, des petits seins c'est magnifique. Tara a de tous petits seins. Eloïse aussi. Mary en avait de très gros, lourds et pesants. Lou, de petits ronds. Ines n'en avait pour ainsi dire pas. 
C'est probablement leurs seins qui rendent les travelos si intrigants, voire attirants. L'idée d'avoir à la fois une bite et des seins dans son lit sans forcément en passer par le trio est intéressante. 


Je n'aime pas éteindre la lumière. J'ai horreur de ça. Se regarder dans les yeux en faisant l'amour est d'une grande douceur. Tara a une façon de me regarder par en dessous lorsque je suis en elle qui me rend dingue.
Un auteur dont je tairais le nom pour préserver le mien, mais que j'aime beaucoup lire, écrivait qu' "une femme qui éteint la lumière mérite d'être trahie". 


J'aime passer près de quelqu'un que je trouve beau, homme ou femme, si près que je peux sentir son odeur. En revanche, je déteste la proximité imposée. Le métro n'est intéressant qu'aux heures creuses, quand on peut y mater tranquillement. 




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