vendredi 17 juillet 2009

Fuck me, for God's sake.

For some reason I can't explain, I know Saint Peter won't call my name.

Il aurait en effet du mal à m'appeler, le grand serrurier barbu qui garde la porte dorée. Adultère, sodomie, auto-érotisme et onanisme en tous genres, une vie de luxure, de péché de chair et de baise, de baise et de baise. Mon compte est bon. Et rarement dans la position du missionnaire, bien sagement en rentrant de la messe.

Une fois, je me suis fait prendre le cul dans une église alors que je passais des vacances en Espagne avec un ami. Lui était franchement homo, moi euh bon bref. De toute façon, être bisexuel est le meilleur moyen de ne pas dormir tout seul dans sa tente. Quand on est entrés dans l'église, il n'y avait personne malgré que ça se soit passé dans une grande ville (Burgos). On a fait un petit tour, pris quelques photos, admiré le penchant sado-maso des cathos (franchement, entre la flagellation, la crucifixion, le coup de lance dans le côté, les différents martyrs et j'en passe pour ne rien dire sur Blandine et son taureau en rut). Puis mon ami m'a attrapé par la taille alors que nous nous trouvions dans une zone d'ombre d'une travée, et m'a léché l'oreille - ce qui me rend tout de suite very very horny - et il m'a dit "Sors-la, je te suce". J'ai ouvert mon pantalon et j'ai sorti ma bite, elle se dressa bien vite sous ses doigts. Il s'est agenouillé devant moi et m'a pris dans sa bouche. Il m'a sucé un moment, puis m'a léché la queue depuis les couilles jusqu'au bout du gland, faisant tourner sa langue tout autour du gland. Moi, pendant ce temps, je lui grattais les cheveux (je sais qu'il aime) et je lui caressais la nuque tout en regardant le Christ en croix au-dessus de l'autel. J'ai eu de très nombreuses vilaines pensées, une grande partie de mon pornorama personnel a défilé devant mes yeux pendant que je regardai le sang s'échapper des plaies de Notre Seigneur mort sur la croix pour la rémission de mes péchés, j'imaginai Marie-Madeleine en corset de cuir venant faire une dernière pipe au supplicié et j'ai joui dans la bouche de mon ami, à très long traits tant il avait su me tirer la moindre goutte de sperme. Je crois que j'ai déjà dit quelque part sur ce blog qu'il n'y a qu'un mec pour sucer correctement un autre mec. Et puis entre copains, il n'y a pas de mal, n'est-ce pas ?
Je l'ai embrassé sur la bouche, il avait encore le goût de mon sperme. J'adore. Puis je lui ai demandé s'il avait envie de baiser, ce qui était une question purement rhétorique vu les circonstances. Alors je me suis retourné, j'ai fini de baisser mon futal et je me suis appuyé sur le dossier d'un prie-dieu. Il s'est baissé derrière moi, m'a écarté les fesses et m'a bien léché le trou du cul (toujours penser à se laver avant de sortir, on ne sait jamais) avant de se redresser et de m'introduire son sexe. Heureusement, il a la bite pas trop grosse, car la lubrification à la salive ne vaut pas un bon gel anal. Il lui a fallu forcer un peu l'entrée, mais il a réussi à passer le gland et s'est mis à me limer le cul. Je continuais à regarder les images pieuses qui nous entouraient et à rêver sur les histoires de cul des personnages sacrés qui étaient représentés. Mon ami prenait son temps, il n'avait pas envie de jouir trop vite, il devait être dans son propre délire sur le lieu et les symboles. Enfin, propre, c'est au sens personnel mais vous aviez compris.



Un grincement de porte nous a surpris et nous a fait nous immobiliser. Une femme est entrée dans l'église. Comme nous étions dans la pénombre, elle ne pouvait pas nous voir, mais nous si. C'était une petite vieille tout en noir, avec la voilette et la canne. Elle a fait sa génuflexion, s'est assise à un des premiers rangs et a semblé se plonger dans sa prière. Nous avons repris notre enculade, ça commençait à bien me chauffer au cul et j'espérais qu'il jouirait assez vite. J'ai du faire une prière au bon saint, car j'ai été exaucé. Quand il a lâché son foutre dans mon cul, il a eu un gémissement de plaisir mais la vieja ne semble pas l'avoir entendu. Il m'a embrassé, nous nous sommes rhabillés et nous sommes sortis en courant pour aller nous offrir une glace chocolat-menthe à la terrasse d'un glacier.

Merci à Pierre et Gilles pour la photo que je leur emprunte ici. Je voudrais par ce biais rendre hommage à leur immense travail. J'adore ce que font ces deux gars-là.

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