lundi 27 juillet 2009

Le matin avant de partir, j'avais dit à Eloïse "Aujourd'hui, je bosse avec deux gars sympas, de chez XXX sur notre réponse à l'appel d'offre. Ca va être une grosse journée, je leur aurais bien proposé de venir prendre un verre à la maison ou manger petit quelque chose quand on aura fini, qu'en penses-tu ?"
"Ils sont comment ? Sympas ?"
"Ecoute, oui, je trouve. J'aime bien bosser avec eux, on avance bien mais c'est toujours relax. Je pense qu'ils te plairont. Simon est un peu plus âgé que nous, Joshua est de notre âge. Ils sont tous les deux mariés et ont des enfants".
"OK, ramène-les, je préparerais un petit quelque chose si j'ai le temps, sinon ce sera pasta - chianti."
Ce qui veut dire qu'on improvisera bien quelque chose avec ce qu'il y a dans les placards.

On a bien bossé ce jour-là avec Simon et Jos. Ce dossier d'appel d'offre nous a donné du fil à retordre, surtout le CCTP (cahier des clauses techniques et particulières, béotien !) qui était un peu... tordu, justement ! Simon et Jos ne faisaient pas partie de l'Agence, mais d'une autre boîte avec qui on bosse de temps à autres. Ils étaient en déplacement et créchaient à l'hôtel. Quand vint le soir, on était heureux d'avoir bouclé notre dossier. Simon a proposé qu'on se fasse un resto pour fêter ça et pour lâcher la pression, mais j'ai répondu :
"Si ça vous va, je vous invite à la maison. J'en ai un peu marre des restos, ce sera plus convivial".
"Et ta femme va être d'accord pour qu'on débarque comme ça ?"
"Je l'ai prévenue ce matin avant de partir."
"Petit cachottier..."

Eloïse avait bien fait les choses. Elle avait préparé plein de petites choses à manger pour un apéro-dîner décontracté. Quand nous sommes arrivés, elle venait de finir. Elle nous a ouvert la porte et j'ai entendu mes deux amis arrêter de respirer pendant un instant. Elle portait un de ces T-shirts à encolure très large qui descend facilement sur l'épaule, rouge vif, et un grand paréo noué autour de la taille, jaune et orange. Ses cheveux étaient soigneusement remontés en chignon strict, tenu par une grande épingle. J'ai tout de suite vu qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, comme cela lui arrive souvent.

On entre, on s'installe, Eloïse amène les premiers plats d'amuse-gueules. On trinque à notre dossier bouclé, mais tout ça reste un peu figé. C'est la douce Eloïse qui va réussir à dérider l'atmosphère en mettant un disque de salsa et en disant à nos deux invités :
"Dites, si vous tombiez la cravate ? Si vous tombez la cravate, je tombe aussi quelque chose..." avec un regard malicieux. Je me demandais ce qu'elle pourrait bien enlever, vu qu'elle ne portait pas grand-chose, et je ne la voyais pas montrer ses seins. Enfin pas tout de suite.
Nos deux larrons se sont regardés, puis Simon a commencé à dénouer sa cravate, sitôt imité par Joshua. Quand ça a été fait, Eloïse d'un geste élégant a dénoué son paréo et l'a posé sur une chaise. Elle portait en dessous un mini-short taillé dans un jeans coupé, à ras du cul. Il était tellement court qu'on lui voyait le bas des fesses. Evidemment, elle ne pouvait pas porter de culotte en dessous, je le savais. Je me suis bien amusé à observer les mines de mes deux gaillards, ils ne savaient pas trop s'ils pouvaient mater ou pas, c'était amusant. Pour en rajouter un peu, j'ai dit
"Eh bien dis donc, il est court ton short...", ce à quoi Eloïse a répondu du tac au tac :
"C'est parce qu'il y a deux invités. S'il n'y en a qu'un, je mets une jupe longue. S'ils sont deux, le mini-short. S'il y en a trois, je ne mets rien du tout". Et elle est partie à la cuisine en éclatant d'un rire enfantin. J'ai versé le champagne dans les flûtes pendant que Simon et Jos se remettaient de leurs émotions. Eloïse est revenue au moment où Jos me disait "Elle a l'air cool, ta femme... La mienne n'est pas si spontanée."
Eloïse se tenait à côté de moi. J'ai répondu à Jos :
"Eloïse est extraordinaire. Elle est belle, intelligente, elle fait bien la cuisine, et pour plein d'autres raisons je l'aime." Et ce faisant, je remontai ma main le long de la jambe d'Eloïse, passant entre ses cuisses jusque juste sous son short et j'entrais deux doigts dans son short, le long de sa cuisse. Ils n'ont pas pu ne pas voir que lui caressais la chatte, ouvertement, sans vergogne. Si la position avait été à peine plus favorable, je les lui aurait entré dedans (Le conseil hygiène de Feuille : toujours se laver les mains quand on rentre !).
Eloïse se mit à rire et nous dit :
"Allez, buvons, le champ' va chauffer". Nous avons trinqué.
La discussion qui a suivi a porté un peu sur le boulot, mais nous avons décidé très vite que nous avions assez bossé et le sujet a dévié vers des sujets plus personnels, Jos semblait nous envier de former un si joli couple (j'avais entendu dire par Simon qu'il n'était pas heureux dans son couple, probablement marié trop jeune). Je remarquais que dès qu'Eloïse se penchait pour attraper son verre ou un amuse-gueule, ou pour faire passer un plat, un bref silence s'installait. Je compris vite que son décolleté s'ouvrait en grand et que les deux gars, qui étaient en face d'elle avaient alors la vue dégagée sur ses seins. Elle ne cherchait pas à les cacher, comme le font la plupart des femmes qui se tiennent le col du plat de la main quand elles se penchent. Eloïse a de jolis seins et le sait, elle dit souvent qu'elle n'a pas à en avoir honte, que celui qui est gêné n'a qu'à pas regarder. Et moi, je suis fier quand des hommes trouvent les seins ou le cul de ma femme beaux à regarder.

A un moment, je me suis retrouvé à la cuisine avec Eloïse. Je lui demandais :
"Alors ?"
"Pas mal, surtout Simon. Mais Joshua n'est pas vilain, un peu coincé peut être. On va le secouer un peu, ce jeune homme."
"A ta guise, ils sont à ta disposition."

Le disque de salsa qu'Eloïse avait mis toucha à sa fin. Elle se leva alors et déclara "Bon, maintenant, je veux quelque chose qui bouge !" Et elle lança une série de vieux tubes disco, Diana Ross, Chic, Thelma Houston, ce genre de choses. Elle se mit à danser, et il faut avoir vu Eloïse danser le disco pour savoir ce que l'expression "se bouger le cul" veut dire. Elle a un déhanché incroyable, elle est capable de mouvements du bassin extrêmement suggestifs (on dirait qu'elle baise) qui mettent les hommes présents sur le dancefloor en feu.
"Allez, venez vous dérouiller un peu !"
L'invitation était tentante, j'ai réussi à embarquer Jos tandis que Simon restait dans le canapé à nous regarder en souriant. Le décolleté d'Eloïse glissait souvent, à force de se trémousser. Elle le remontait à chaque fois, mais une fois elle a un peu tardé (exprès ?) et son sein gauche est apparu. Elle ne s'en est pas soucié et les deux gars ont tout vu avant qu'elle ne se décide à remonter le tissus. Elle aguichait ouvertement Jos, en faisant des mouvements d'épaules devant lui de façon à faire voleter son T-shirt, elle roulait du cul devant Simon qui, s'il avait osé, lui aurait bien attrapé les fesses de ses deux mains. Il commençait à faire chaud dans la pièce, les chemises s'ouvraient d'un bouton. A un moment, je me suis collé derrière elle, ma queue contre son cul, j'ai passé mes mains sur son ventre sous son T-shirt, je les ai remontées et j'ai attrapé ses seins. En lui mordillant l'oreille, je lui ai soufflé :
"Là tu les as bien chauffé, tous les deux, tu devrais les leur montrer."
"J'y pensais..."

Elle s'est un peu écartée de nous, et tout en dansant elle s'est penchée en avant, quasiment jusqu'à ce que ses doigts puissent toucher ses pieds. Son T-shirt a glissé et, quand elle s'est relevée, elle était les seins à l'air. Sans s'arrêter de danser, elle est venue se coller à Jos. Le pauvre, il ne savait pas quoi faire de ses mains. Il aurait bien aimé toucher, mais il n'osait pas. Simon entretemps s'était levé et était venu danser aussi, je me suis rassis et je les ai regardé. Simon a été le premier à la prendre par la taille, pour danser avec elle. Je buvais mon champagne en les regardant faire. Eloïse a lâché Simon pour venir se coller devant Jos, elle bougeait le cul en rythme en se collant à lui. Il a fini par la prendre par les hanches pour danser avec elle, mais comme elle se baissait sans prévenir, il a eu plusieurs fois les mains sur ses seins. L'ambiance était torride.



Un peu plus tard, Eloïse était assise au milieu du canapé, Simon d'un côté et Jos de l'autre, chacun lui embrassant le bout d'un sein. Elle leur tenait la tête contre elle, ils la tétaient, l'embrassaient. Elle, la tête en arrière, me regardait en souriant. Elle soupirait, je voyais son plaisir monter. Je sais qu'Eloïse adore qu'on lui embrasse ou qu'on lui mordille les seins. Elle lâcha la tête de Simon et sa main descendit le long de son ventre, vers son short. Elle fit sauter deux boutons et glissa sa main vers sa chatte, qu'elle commença à masturber pendant que les deux continuaient à la téter. Je vis son plaisir monter. Juste avant de jouir, elle les repoussa, enleva son short (elle ne portait effectivement pas de culottes), se réinstalla dans le canapé et leur dit :
"J'ai envie que vous veniez me lécher. "



Ils m'ont regardé l'air inquiet, allais-je laisser ma femme se faire bouffer la chatte par deux mecs, et dans mon salon encore ? Je leur ai dit "Allez-y, puisqu'elle vous le demande ! Je vous regarde."
Alors à tour de rôle, ils se sont relayés entre ses cuisses, y allant de la langue. Quand Jos à voulu y mettre les doigts, elle a dit "Non, juste lécher. Fais-moi jouir..." Elle avait les yeux fermés, les entrouvrait parfois. Elle a joui très fort alors que Simon était en train d'officier. J'ai resservi du champagne à tout le monde. Jos ne pouvait rien dire d'autre que "Eh ben ça... Eh ben ça...". Il devait penser que ce ne serait jamais possible avec sa rombière. Simon rigolait, je savais qu'il était un bon vivant et qu'il ne boudait jamais son plaisir, surtout avec une femme aussi jolie que la mienne. Quand nous avons eu trinqué à nouveau, "Au plaisir, au sexe et à la vie", Eloïse s'est à nouveau installée entre mes deux collègues et a dit :
"Je voudrais vous remercier de ce plaisir que vous m'avez donné", en posant ses mains sur leurs braguettes. Elle eut tôt fait de sortir les deux bites, et de se mettre au pied du canapé pour les sucer l'un et l'autre. Elle n'a eu aucun mal à les faire jouir, ils avaient été chauffés à mort. Quand chacun s'est essuyé, la queue pour les gars, les seins pour Eloïse, mes deux invités ne savaient plus quelle contenance adopter. Pour faire cesser leur gêne, j'ai lancé :
"Eh bien comme ça, au moins, on est bien détendus de notre journée de travail, non ?"
On a ri, et j'ai ouvert une nouvelle bouteille de champagne.

Cette nuit-là, Eloïse et moi avons baisé comme des bêtes, plusieurs fois de suite. J'ai su quelques temps plus tard, par Simon, que Joshua était allé encore voir une pute avant de rentrer à leur hôtel, il devait avoir envie de plus que d'une pipe. J'ignore cependant s'il a réussi à obtenir de sa femme qu'elle danse le disco en montrant ses seins.

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