mercredi 29 juillet 2009

Un peu d'exhibition ne nuit pas

L'autre jour, je bossais chez moi. Je m'étais levé tôt, et après un petit déjeuner copieux je m'étais enfermé dans le bureau pour travailler. Eloïse dormait encore. Vers dix heures, je sors me faire un petit café. Elle était sur la terrasse de la cuisine en train de prendre son thé, en petite culotte avec son T-shirt de la nuit. Eloïse dort dans un vieux T-shirt à moi, deux fois trop grand pour elle.
J'ai fait un café, suis sorti et l'ai posé sur la table dehors, et je me suis collé contre le dos d'Eloïse. Elle était encore toute chaude de la nuit, avec l'odeur du sommeil dans le cou. Le genre de truc qui me rend tout de suite naughty and horny... J'ai passé mes mains sous son T-shirt et les ai remonté le long de son ventre pour lui prendre les seins. Ils étaient doux et tièdes, soyeux et souples sous les doigts. Je sentais ma bite commencer à manifester des envies de se gonfler. Merde, j'étais censé bosser ce jour-là...
Je lui embrassai la nuque en lui pelotant ses petits seins, quand je repérais qu'une toiture surplombant notre terrasse, chez des voisins, était en cours de réfection. Les ouvriers avaient déjà enlevé une partie des tuiles. Ils étaient deux sur ce versant du toit, et l'un d'eux nous avait vu. Je l'entendis dire quelque chose à l'autre dans une langue que je ne compris pas, probablement en rapport avec nous car l'autre se retourna. Je dis à Eloïse :
"Tu as vu, il y a des mateurs sur le toit à côté."
"Mmm... Tu veux qu'ils voient mes seins ?"
"Héhé, pourquoi pas ?"

Elle se tourna vers les deux gars et avec des gestes lents et calculés de stripteaseuse, elle enleva son T-shirt qu'elle me jeta à la figure. Les mains sur les hanches, les seins dressés, elle paradait sur la terrasse en roulant du cul. Quand elle fut à ma portée, je l'attrapais et, tout en me tenant derrière elle, je lui pelotais à nouveau la poitrine. Les deux gars sur leur toit était bidonnés par ce spectacle, finalement assez cocasse. Ils arrêtèrent de rire quand ma main descendit de la poitrine vers la culotte d'Eloïse. Je passais mes doigts sous l'élastique, à la recherche de sa chatte. Elle était déjà légèrement mouillée, sa petite exhib' l'avait un peu excitée.
"Mmm tu me rend toute chaude, là. On leur fait le grand show ?"
"Tu veux qu'on baise devant eux ?"
"Attends, je vais commencer par te sucer, les voyeurs aiment ça."
"Tu en sais des choses..."
Et elle s'agenouille devant moi, sors mon sexe de mon pantalon et se met à me sucer goulûment, comme dans les films. Comme on ne fait jamais en vrai, car en général elle embrasse d'abord ma queue un peu partout, ensuite elle la lèche, la met dans sa bouche, la ressort, la caresse. Là non. De l'efficace, du sexe bien dur et bien sucé. Elle prend bien soin de se tourner correctement pour que les deux guignols sur le toit la voient bien faire. Ils poussent des cris d'encouragement, en tout cas le ton y est.
Je me lasse vite de cette pipe au rabais, aussi dis-je à Eloïse "Assied-toi sur la table, je vais te lécher."
Elle se redresse, enlève sa culotte en cambrant son joli cul en direction des deux ouvriers, qui ne ratent rien du spectacle. Je dois dire qu'elle a vraiment un cul exceptionnel, même après tant d'années de vie commune j'en suis encore ébahi. Et quand elle se penche en avant, ses fesses s'écartent légèrement et on voit son petit trou et sa chatte bien brune.
Elle s'asseoit sur le bord de la table, les cuisses bien écartées en direction des couvreurs, et se caresse un peu pendant que je m'installe entre ses genoux. Je la lèche comme elle m'a sucé, avec des mouvements trop larges, des coups de langue trop évidents là où d'habitude je ne ferais que l'effleurer. Les deux polonais (où bien seraient-ce des Russes ? Ou des Portugais ?De là où je me trouvais, je ne pouvais distinguer dans quelle langue ils parlaient) seraient bien venus me prêter main forte. Enfin, quand je dis main, je me comprends.
Quant à moi, je maintenais mon érection en me branlant tranquillement. Eloïse mouillait bien, et j'ai toujours trouvé sa cyprine aphrodisiaque.

"Attends, redresse-toi, et mets-la moi. Ils ont l'air d'apprécier, on va leur en donner. Si ça se trouve, ils crèchent dans un foyer Sonacotra ignoble et n'ont que des vieux pornos à mater."



Eloïse descend de la table, se tourne et se penche en avant en s'appuyant sur ses avant-bras. Je la prend par derrière. J'entre ma bite doucement dans sa chatte. Elle se cambre au maximum, je l'attrape par les fesses et je la fourre à grands coups, toujours comme dans les films. Au bout de quelques minutes, elle se retourne et je la reprends, en tenant ses jambes bien écartées pendant que je la baise. Ce qui est amusant, c'est que ce qui a commencé comme un jeu finit par nous prendre, on se laisse aller à la baise pornographique. Pour un peu, elle dirait "Oh ouuuui, je suis ta chienne, baise-moi bien profond avec ta grosse bite !" et je lui répondrais "Tu la sens bien, hein, salope, dis, tu la sens bien profond ?" Le genre de truc naze que les dialoguistes placent dans les films de boules. En tout cas, les deux ouvriers sur le toit nous sont sortis de la tête, et si au début on baisait pour leur donner le spectacle, maintenant on baise pour nous.
Je vois son plaisir venir, j'écarte encore un peu plus ses cuisses pour la pénétrer encore plus profondément et elle jouit. La tête en arrière, elle crie, elle geint. On entend des bruits, ce sont les deux couvreurs qui hurlent en faisant de grands signes, que nous prenons pour des encouragements. Nous nous rappelons alors qu'ils sont là...
Eloïse se redresse :
"Viens dans mon cul maintenant et lâche-toi".

Elle redescend de la table et reprend sa position penchée en avant. De deux doigts mouillés de sa salive, elle se mouille son petit trou du cul. Ma queue est déjà bien lubrifiée de l'avoir baisée et je rentre le gland assez facilement. Le reste vient après. A chaque fois, je repense à ce que j'ai lu un jour : "Dans la sodomie, il faut passer la porte d'entrée qui est étroite. Mais après, on est dans un loft de 600m2 de plain-pied." Il ne me faut pas longtemps pour que la jouissance arrive. Eloïse me dit juste à temps "Feuille, on fait un film porno, là. N'oublie pas de me gicler sur le cul, pas dedans..."
Je me retire juste à temps pour me branler quelques instants, et mon sperme vient d'écraser sur les fesses et le dos de ma femme. A ce moment-là, de grands cris nous font lever la tête, un type en jeans a rejoint les ouvriers et leur manifeste vertement qu'ils ont autre chose à foutre que de mater les voisins en train de se faire leur cinéma (porno). Les deux couvreurs se remettent au boulot, l'un d'eux nous adresse un petit signe de la main que nous lui rendons.

Sous la douche tous les deux, ensuite, nous nous sommes donnés la tendresse qui manquait à tout ça. On en avait besoin.

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