lundi 20 avril 2009

Des photos chez Lou

Je travaillais avec Lou à une époque. Nous formions un bon duo au boulot, c'était efficace, rapide, rythmé, toujours avec l'humour nécessaire à faire passer le stress et la tension dans les moments d'urgence. 
Lou est une petite brune pétillante, le genre de petit gabarit que j'aime beaucoup. J'avais compris que pour elle, c'était plus difficile, qu'elle se serait bien vue plus grande, plus bustée aussi, certainement. Sans les avoir vus, je trouvais ses petits seins mignons sous sa chemise ou moulés dans son pull à col roulé. 
Enfin, nous sommes devenus presque amis, un peu plus que juste collègues. Un soir, en prenant un verre en sortant du boulot, nous discutions. J'avais fait venir une seconde tournée, histoire de rompre quelques barrières. J'aime bien quand les filles se lâchent un peu, qu'elle perdent leur côté parfois un peu trop "sur la réserve" à mon goût. En même temps, je comprends aussi leur prudence, les hommes sont tous pareils. Et je suis un homme...
Donc on papote, on boit, on mange un morceau, on reboit, on parle de choses de plus en plus personnelle, de moi, d'elle, de sa vie, du fait que je la trouve jolie, qu'elle ne se plaît pas. Je tente de la rassurer par quelques formules, mais elle ne semble pas convaincue. 
Alors tentant le tout pour le tout, je lui explique que je la trouve très agréable, très jolie et fraîche et que j'aimerais la prendre en photo. Surprise, elle est d'accord. Je tend à penser que les deux verres que nous avions pris jusque là n'y étaient pas pour rien. Elle m'explique bien sûr qu'elle ne veut faire qu'un ou deux portraits, rien de plus. Je lui promet qu'on ne fera que les photos qu'elle voudra. 
Aussitôt dit, aussitôt fait, nous partons chez elle, c'est à deux pas. Il faut toujours avoir son appareil photo sur soi. 
Nous nous installons, prenons un verre. Je fais quelques portraits, elle a un très joli profil, un nez fin, de lèvres juste comme il faut. J'essaie de la mettre à l'aise, quelques plaisanteries la font rire. Les premières photos me plaisent, mais restent un peu figées. Je sens qu'elle est fière d'être ainsi regardée, mais qu'elle reste inquiète, probablement de peur de ne pas maîtriser la situation. Je la rassure, lui dit qu'elle 'rend' très bien. En prenant un cliché d'elle sur son canapé,  en plongée depuis une chaise, j'ai une jolie vue sur son décolleté, la naissance de ses seins. Elle l'a compris, et m'a demandé de lui montrer les clichés déjà dans la boîte. 
Elle est restée un instant perplexe devant cette dernière photo. Puis elle a ouvert un bouton de plus en écartant les deux pans de sa chemise. Je mitraillais ce décolleté, elle prenait la pose. Je lui ai dit qu'elle était très belle, ce ces photos seraient magnifiques. Je lui ai proposé d'en montrer plus. Elle n'était pas forcément convaincue, mais je lui ai dit que je la trouvais vraiment jolie et que j'avais envie de la voir, de la regarder et de la photographier. 
La petite ingénue devait avoir un côté exhibitionniste, elle a entièrement ouvert sa chemise. Elle portait un soutif blanc en dentelle. En ajustant les pans du tissus de sa chemise, j'ai effleuré son sein, c'était doux et chaud, tendre et soyeux. Elle semblait perdre sa gêne au fur et à mesure que la séance avançait. J'ai resservi un verre, elle avait une petite bouteille de champagne au frais. La photo où elle tend son verre vers l'objectif dans le geste de trinquer, assise sur son canapé, penchée en avant avec sa chemise ouverte, est une de mes préférées. Son sourire est alors celui de la femme qui se sent regardée et qui y prend (enfin) plaisir. Nous parlons beaucoup, je lui demande ce que ça lui fait d'être ainsi regardée, découverte. Elle me répond que c'est assez agréable, qu'elle n'aurait jamais cru y arriver. 



Elle enlève sa chemise, nous faisons quelques photos en soutif. Je lui demande si elle veut l'enlever. Elle semble hésiter, reprend une gorgée de champagne et se retourne pour le dégrafer. Quand elle me fait à nouveau face, elle a les bras croisés devant la poitrine, les mains à plat cachent ses seins. Elle minuade, ne semble pas entièrement décidée à les montrer. 
Je fais quelques photos, de face, de profil, de dos. Elle a un très joli dos, musclé aux épaules, harmonieux, et élégant. Au moment où je déclenche pour un cliché de face, sa main glisse. Son sein nu apparaît nettement sur la photo. Le mal étant fait, elle me les montre. 
Ah, ils sont encore plus jolis que je ne le pensais. Pas gros, mais ronds, comme une demi-orange, avec une petite groseille sur le bout. 
Lou prend maintenant la pose, se cambre pour mettre sa poitrine en avant, ses fesses moulées dans son jeans n'en ressortent que mieux. Elle est vraiment belle, de plus en plus belle au fur et à mesure que ses défenses tombent et qu'elle gagne en assurance. Le champagne ne doit pas y être pour rien non plus, et je dois faire attention à ne pas vider ma flûte cul sec à chaque pose qui m'émeut un peu. Si j'avais pensé en arriver là un jour... 
Après avoir bien joué à shooter ses seins nus, je lui dit que j'aimerais la voir nue. Elle hésite encore. 
"Tu es sûr ?"
"Si ça peut te mettre à l'aise, je me met nu aussi. Je voudrais vraiment des photos de toi nue. Jusqu'ici, tu es superbe, laisse-moi te photographier nue."
"Oui, mais tu vas les diffuser ensuite sur Internet"
"Jamais. Je te te promet pas que je n'en prendrais pas un bout, juste un détail, comme une main ou un sein, mais tu ne seras jamais reconnaissable. Les photos, c'est pour toi, pour moi, et personne d'autre". 
"Tu me le promets ?"
"Je te le jure". 

Alors elle a enlevé son pantalon. Sa culotte en dentelle était assortie à son soutif blanc. Elle s'est retournée pour enlever sa culotte, puis m'a fait face, un peu empotée, ne sachant que faire de ses mains qui passaient et repassaient devant son sexe, hésitant à le masquer ou à le dévoiler. Ses poils bruns étaient soigneusement taillées, un joli petit triangle foncé sous la peau blanche de son ventre. Son cul était fin mais charnu, musclé aussi, ses fesses rebondies sans être volumineuses. La beauté natuelle d'une jolie brunette qui se découvre devant l'oeil et l'objectif d'un homme. 

J'ai pris beaucoup de clichés, dans toutes les poses possibles. Debout, couchée, sur le dos, sur le ventre, assise sur une chaise, les bras en l'air, dans le dos, devant la poitrine, les mains sur son sexe, sur ses fesses, tenant sa flûte de champagne... 
Il faisait très chaud, mais je ne voulais pas enlever le T-shirt que j'avais sur le dos, je ne voulais pas qu'elle prenne peur, qu'elle se méprenne. On bossait ensemble, il fallait que ça reste vivable "après". Déjà  là, ça allait être dur le lendemain...

Pendant tout ce temps, nous n'avions pas arrêter de discuter. On parlait de tout et de rien, de la vie, de nos expériences passées, de nos rêves. Elle jouait avec ses mains sur sa peau, sur ses seins, sur son ventre. Elle était maintenant détendue, se laissait regarder, assise nue en tailleur sur son canapé rouge. 
Au bout d'un moment, nous parlons fantasmes. Elle me racontait des choses auxquelles elle rêvait parfois, ne prenant pas grand'risque car j'aurais été dans l'incapacité de la satisfaire sur le moment même (il aurait fallu que je sois plusieurs...). Nous en avons bien ri et sans plus éfléchir à la situation, je lui ai dit que j'aimerais voir un jour une fille se caresser, se donner du plaisir. 
Elle ne m'a pas répondu, mais tout en me regardant dans les yeux, elle a fait descendre sa main vers son ventre, vers son sexe pendant que son autre main caressait ses épaules et ses seins. Je lui ai demandé de pouvoir la prendre en photo, elle ne m'a pas répondu et a continué, toujours en me regardant. Elle tournait sur son clito, puis a descendu son autre main et s'est mise à se caresser l'intérieur des cuisses. Au bout de quelques minutes, elle a joui devant moi et j'avais  du mal à ne pas tout envoyer balader pour lui sauter dessus. Elle a compris mon trouble et nous en avons ri. 
Ah, Lou... Je ne t'ai pas assez remerciée pour ce que tu m'as montré là. J'y pense souvent quand je me caresse, quand j'invoque les images agréables de mes aventures passées. Toi, assise devant moi, les jambes écartées, un doigt dans ton sexe, l'autre sur ton bouton de rose, et qui me regarde dans les yeux pendant que ton plaisir monte... 

Quelle expérience tu m'auras fait vivre ce soir là. Surtout quand, après ça, tu es venue t'asseoir à mes côtés, et que tu m'as dit que tu avais un fantasme que je pourrais satisfaire. Tu voulais que nous fassions une photo de tes seins avec "quelque chose dessus". J'ai proposé du chocolat, du miel, des fuits, mais sans succès. 
Tu as pris une grande gorgée de champagne, tu as posé ta main sur ma cuisse et tu m'as avoué presque en rougissant que tu voulais du sperme. J'étais stupéfait, pensant à ce qu'était ta retenue et ta timidité lorsque nous étions encore attablés à cette terrasse en fin d'après-midi. Je t'ai demandé si tu voulais que je mette du yaourt ou du lait concentré sur ton sein avant de prendre le cliché, je sais que le lait concentré est un vieux truc utilisé dans les pornos quand le jeune premier a une petite panne et qu'il ne peut procurer l'effet visuel souhaité au bon moment. Non, m'as-tu dit en me regardant d'un air contrarié, tu voulais du sperme. 
Bon, que faire ? J'ai ouvert mon pantalon et tu as sorti ma queue, qui se demandait si c'était du lard ou du cochon. Tu as réussi à me faire bander très correctement, en la tenant et en la caressant, en resserrant tes doigts autour de la base du gland pour jouer avec l'afflux sanguin. Puis tu m'as branlé soigneusement, en y mettant la pression et le rythme nécessaires. J'en ai failli oublier les photos. J'ai quand même réussi à prendre quelques photos de ta main sur mon sexe, quelques autres de ton visage pendant que tu me tenais ainsi bien serré. J'étais dans un état second, ma collègue de tous les jours était nue à côté de moi, elle venait de me montrer sa jouissance en se caressant devant mon objectif et me branlait maintenant en me regardant dans les yeux, j'allais jouir sur ses seins, et à sa demande en plus. Je ne sais même plus si elle m'a pris un instant dans sa bouche... 

Je me suis redressé au moment de la jouissance, tu t'es approchée et mon premier jet a atterri sur ton sein gauche, couvrant le petit bout d'une tache blanche, encore plus blanche que ta peau. D'autres ont suivi, te couvrant la poitrine de part et d'autre. Je t'ai regardé, je n'osait rien te dire. Tu tenais ma bite dans ta main, en silence. Je ne sais pas combien de temps celà a duré. 

Finalement, la fameuse photo de tes seins couverts de mon sperme n'a jamais été faite. Nous sommes partis dans un éclat de rire et nous sommes essuyés avant d'aller prendre une douche. Ensemble...

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