mercredi 15 avril 2009

Fuck with your boots on !

Récemment chez Tara. Nous avions mangé ensemble un midi, en nous regardant dans les yeux sans rien pouvoir faire. Nous n'étions pas seuls, ses enfants étaient là aussi et ils sont un peu jeunes pour le type de spectacle auquel nous nous serions livrés si nous avions suivi nos envies. Pas que cela nous gêne plus que ça de nous envoyer en l'air en public, mais certaines choses ne sont vraiment pas possibles.  
Un jour, je vous raconterai le sexe dans les arbres. C'est un bon souvenir. 

Les enfants repartis à l'école, il fallait que nous repartions aussi chacun de notre côté. Je n'ose pas imaginer la tête de nos supérieurs respectifs si nous leur disions un jour "Désolé, je suis en retard parce que je viens de tirer un super-coup". Je ne pense pas qu'ils aient ce genre d'humour. Je déteste les types pour qui la production de richesse est une valeur sacrée. Je suis persuadé que le mien est le genre de type à honorer sa bourgeoise lors du devoir conjugal du samedi soir. En éteignant les lumières, car sinon ça bloque madame. 

Bref. Nous ne pouvions pas décemment repartir vers le boulot sans un gros patin à pleine bouche. Et ce qui devait arriver arriva. Des bras qui tiennent l'autre de plus en plus serré, des mains qui glissent le long du dos, sur les fesses. Les langues qui tournent et cherchent. Les mains qui repassent devant, cherchent des seins sous la blouse, passent à travers l'ouverture de la chemise... 
On devait en avoir autant envie l'un que l'autre, car quand je lui ai dit "I want you so much", elle glissait sa main dans ma braguette. Je lui ai baissé son pantalon - vivent les pantalons à élastiques, à bas les jeans, elle  envoyé sa culotte valdinguer à l'autre bout de la pièce et m'a déserré la ceinture, passant la main à l'intérieur à la recherche de ma bite. 

Je l'ai basculée sur un canapé et l'ai pénétrée, le pantalon sur les chevilles. J'avais encore mes chaussures aux pieds. La baise fut intense, elle me tenait la tête, passant ses doigts dans mes cheveux, je la tenais d'une main sous une fesse, allant et venant en elle. Nous sommes venus presque en même temps, elle juste avant moi. 

Contrairement à d'habitude, nous avons zappé la douche après le sexe. J'avais l'odeur de la baise et de sa sueur sur moi tout l'après-midi. 
Enivrant!


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