mercredi 27 mai 2009

Je ne sais pas

Que dire ce soir ? Rien de bien spécial. Je suis fatigué. 

Ah si, un truc marrant, l'autre jour. Depuis le départ de Lou, je travaille dans la même pièce que  Meridith les jours où je suis à l'agence. Bien sûr, ce n'est pas pareil que Lou, avec qui on avait développé une vraie complicité. Surtout depuis que j'avais joui sur ses seins, ça crée des liens. Mais Meridith me plaît bien, elle est gentille et aimable, joliment roulée, longues jambes, petites fesses et une poitrine juste un tout petit peu trop opulente à mon goût. On sait maintenant que j'aime les petits seins. Mais des gros lolos, c'est rigolo aussi, et Meridith n'est pas avare de jolis décolletés portés sur des minijupes très très courtes, ce qui rend sa vue très agréable. 

Nos deux bureaux se font face dans la grande pièce que nous occupons. Nous y sommes seuls, mais il y a souvent du passage. En effet, cette pièce accueille aussi la grosse imprimante en réseau qui permet à la dizaine de personnes qui travaillent avec nous de faire leurs tirages. Régulièrement, donc, des collègues passent chercher leur liasse. 

L'autre jour, donc, elle était assise en face de moi. J'avais déjà repéré sa jupe assez courte quand elle s'était levée pour aller chercher le document qu'elle venait d'imprimer. C'était le jour où j'ai réceptionné un nouvel accessoire pour mon ordinateur, une tablette graphique pour fignoler mes petits gribouillis. Je déballe la chose, c'est bien emballé ces machins-là... Comme le colis est très sale (d'avoir traîné dans un entrepôt, probablement), je dois aller me laver les mains avant de prendre connaissance des recommandations du constructeur, poser la tablette sur le bureau et constater que la tour de l'unité centrale du PC ne comporte pas de prise en façade permettant de brancher mon nouveau jouet. Il faut aller chercher sur le panneau arrière. Je me dois de préciser que, pour dégager l'espace de travail, le boîtier en question est placé au sol, en dessous de mon bureau. 
Je préviens donc gentiment : 
- Euh, on dirait qu'il va falloir aller ramper par terre pour brancher ce truc... 
histoire que Meridith réalise que je vais me retrouver au niveau de ses jambes. Oui, j'ai des pudeurs avec elle que je n'ai pas toujours, peut-être parce que je passe pas loin de 10 heures par jour dans le même espace qu'elle et qu'un dérapage rendrait la vie infernale. Ceci dit, je la culbuterais volontiers en levrette sur la moquette. 
- Pas de problème, me répond-elle. Et je la vois qui tourne légèrement sa chaise, je comprends qu'elle serre les genoux. 
- OK, merci. 
J'attrape mon câble, le fais passer entre les deux bureaux pour qu'il arrive derrière l'ordinateur, et plonge sous la table. En effet, j'ai la vue bien dégagée sur ses pieds (elle enlève ses chaussures au bureau), sur ses mollets délicats et délicieux, sur ses jolis genoux et sur ses cuisses. Je récupère le bout du câble avec la fiche et cherche un espace libre sur le panneau arrière de la machine. 
Et c'est là que ça arrive. 
Je sens un mouvement à côté de moi, je me retourne et je vois les deux pieds de Meridith s'écarter l'un de l'autre, puis les deux genoux. Je n'en crois pas mes yeux quand je vois qu'elle ouvre les cuisses. Elle les écarte largement et m'ouvre la vue sur sa culotte, une culotte blanche toute simple, le genre "petit bateau" mais pour les grandes. J'adore ça, mais elle ne peut pas le savoir. Je ne bouge plus, ne fais pas de bruit pour ne pas troubler cet instant de grâce. Je ne peux pas me dire qu'elle ne le fais pas exprès, elle sait que je suis là, je viens de lui dire, ce n'est pas un hasard, j'ai très chaud, elle écarte encore un peu puis, d'un mouvement de hanches s'avance sur sa chaise et se tend vers moi.
J'avance une main sur son genou gauche, elle frémis mais ne bronche pas. J'entend toujours le tic-tic-tic de se doigts sur le clavier, elle continue à travailler (ou à faire semblant). J'affermis ma prise sur son genou, et je vois une main qui vient relever le peu de jupe qui lui couvre encore le haut des cuisses. Là, plus aucun doute possible. Ma main remonte le long de l'intérieur de sa cuisse et mes doigts viennent toucher le coton blanc de sa culotte. Elle se laisse faire, allons-y.  Je caresse sa chatte à travers la toile et je sens qu'il n'y a pas beaucoup de toison dessus. Serait-elle épilée ? Ce n'est pas le genre de choses qu'on se demande entre collègues. En tout cas, pas chez nous. 



Mes doigts débordent vers ses cuisses, cherchent l'aine, la trouvent, écartent le fin tissus et touchent enfin le trésor. Meridith bouge légèrement le fesses pour me faciliter le travail, j'écarte l'élastique et passe deux doigts entre ses lèvres. Elle est déjà assez mouillée, mais je ressors mes doigts pour les lécher avant de les y remettre. Rapidement, je trouve le petit bouton de son clitoris que je masse doucement. Toujours le tic-tic-tic au-dessus. Elle ne dit rien, mais quand je tente d'entrer mes deux doigts dans sa chatte, j'entends le petit bruit qui s'arrête. Je ne bouge plus, tétanisé. J'espère qu'elle ne va pas se mettre à hurler au viol. 
Non, elle tourne rapidement sa chaise sur le côté, je la vois qui se lève, ses jambes montent et descendent l'une après l'autre, elle se rassoit et reprend sa position : elle a juste enlevé sa culotte ! Tant mieux, ça va être plus facile de la doigter. Et en effet, elle est entièrement épilée. Je reprends mon travail, pendant qu'elle reprend son tic-tic-tic. Puis, jugeant la position favorable (elle est assise sur le bout de sa chaise, la moitié du cul sur la chaise l'autre moitié dans le vide), j'avance la bouche et dépose un baiser sur son sexe. 
Je la lèche déjà depuis quelques temps quand j'entends quelqu'un demander 
- Bonjour Meridith, tu n'as pas vu Feuille ? 
- Non, il était là il y a un instant, il vient de sortir mais il ne s'absente jamais très longtemps et il n'a pas de réunion aujourd'hui. 
Et la conversation s'engage, du baratin de collègues. Pendant les deux minutes que ça a duré, je n'ai pas bougé. Ma bouche était collée à son sexe. Seule ma langue la caressait. J'étais admiratif de la façon dont elle arrivait à garder son calme en cette circonstance. Se faire bouffer le minou d'un côté tout en maintenant une conversation de bureau de l'autre, bel exploit. 
- Bon, allez, je te laisse, bosse bien et dit à Feuille de m'appeler quand il revient, j'ai un conseil à lui demander.
- Pas de problème, la commission sera faite. Ciao !
Et sa main a plongé sous le bureau pour m'attraper par les cheveux et plaquer ma figure contre son sexe. Elle a joui silencieusement, mais un petit supplément de cyprine en a témoigner plus que n'importe quel bruit. Heureusement que la matière de nos chaises absorbe bien... 

Quand je suis ressorti de sous le bureau, je lui ai dit
- Dis-donc, tu n'as pas peur ! Au bureau... 
Elle a fait un superbe sourire, ses yeux riaient, et elle m'a répondu
- Ne fais pas ton pudique, Feuille. Je lis tout ce que tu publies sur ton blog. 

J'ai cru m'évanouir. 

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