lundi 11 mai 2009

Une partie de campagne

J'ai joui peu de temps après lui. Il est resté encore un moment dans mon cul puis s'est retiré. Nous avons échangé un sourire et nous nous sommes caressés pendant encore un bon moment. Je gardais son sexe dans mes mains, lui tenait le mien et on continuait à s branlotter doucement, tout en sachant bien que plus rien ne serait possible ce soir, tant on avait donné tout ce qu'on pouvait donner. 


Tout avait commencé en fin de matinée. On avait déchargé la voiture, porté les provisions et les sacs de voyage à l'intérieur de la maison, ouvert les volets et les fenêtres pour aérer. Installé le couchage, fait les lits, mis les boissons au frais. Le coin était désert, personne à des kilomètres à la ronde. Rien que la lande, les genêts et le bruit du large. La maison était vaste et pouvait accueillir confortablement six personnes. Quand tout a été déchargé de la voiture, Denis est allé la garer dans la grance attenante. Puis il a refermé la porte. 

Au début, ce ne devait être qu'un week-end entre amis. Nous n'avions rien prévu, même si j'espérais sans trop me l'avouer, que quelque chose comme ça en ressorte. Je n'avais pas fait part de cette option à Eloïse, je n'étais pas sûr de sa réaction. On allait bien voir. Peut-être y avait-elle pensé aussi ? Quand je vois ce qu'a été le résultat, finalement je me dis que c'était bien comme ça. 

Denis et moi étions en nage d'avoir transporté les caisses et les sacs sous le soleil. Nous avons balancé nos T-shirts à travers la terrasse, exposant nos torses et notre peaux blanche aux soleil de ce début d'été. Nous étions assez peu ressemblants, lui grand et large, un léger ventre sans être gros, des poils sur la poitrine, des bras puissants et de cuisses de joueur de rugby ; moi presque aussi grand que lui, mais à peine plus que la moitié de son poids, plutôt maigre et sec. Cela faisait longtemps que je le trouvais beau mec, j'avais déjà eu l'occasion de le voir en maillot de bain et m'étais dit que Sophie avait bien de la chance. 

Sophie, justement... Quand elle nous a vus exposer ainsi notre blancheur au soleil, elle a sorti son appareil photo pour nous tirer le portrait. Côte à côte, les bras sur les épaules de l'autre, rigolards, une vraie image de belle et franche camaraderie. Eloïse est sortie de la maison à ce moment-là et a dit qu'elle aussi, voulait une photo avec Denis. Il ne lui a fallu faire qu'un petit effort pour la prendre dans ses bras, elle reposait comme une mariée qu'on porte pour passer le seuil de la maison. Sa grande main plaquée sur un de ses fesses à elle, il devait trouver ça bon car je voyais ses doigts remuer pour apprécier la souplesse du cul de ma femme. Elle riait, lui palpait les épaules en l'appelant "l'Athlète". A mon tour, j'ai demandé à faire une photo avec Sophie. Je me suis mis derrière elle, les bras passés par dessus ses épaules, les mains croisées sur le bas de con cou. Je pouvais sentir la naissance de ses seins. Sophie a de petits seins, tout comme Eloïse, mais elle les porte plus haut, ce qui rendait le jeu facile. Denis a pris la photo, puis j'ai lâché prise en laissant mes mains glisser sur la poitrine de Sophie, l'air de rien. 

- Bon, on prépare le repas ? 
- Euh oui, on ferait peut-être mieux... 

Et nous voila partis dans la cuisine, Sophie et moi, pendant qu'Eloïse et Denis préparaient la table. Sophie était face à l'évier, en train d'éplucher des tomates. Je me suis approché d'elle, l'ai prise par la taille pour déposer un baiser dans son cou. Elle a ri, c'est retournée et m'a embrassé doucement les lèvres. Sa robe légère laissait tout deviner de ses formes, éclairées à contre-jour par le soleil qui entrait par la fenêtre. Elle a vraiment de jolies fesses. 
Pendant ce temps, j'entendais rire sur la terrasse, mais je ne suis pas allé voir ce que faisaient Denis et Eloïse, j'ai préparé le fromage et le vin. Nous avions prévu beaucoup de vin, peut-être inconsciemment pour nous favoriser la tombée des tabous. 

Le repas s'est passé dans les rires et les plaisanteries, les filles riaient à gorge déployée ce qui occasionnait de jolis soubressauts de leurs jolies poitrines sous le tissus. Et nous en rajoutions bien sûr, tant elles étaient belles quand elles riaient. Je voyais bien que Denis regardait beaucoup Eloïse mais ne m'en offusquais pas, tant moi-même je me délectais de Sophie. 

En milieu d'après-midi, après la sieste dans les transats sous les arbes, nous avons décidé de nous tremper dans la piscine. En allant enfiler nos maillots, j'ai beaucoup carressé Eloïse. Ses seins étaient durs et dressés, sa chatte très humide quand j'ai caressé son clitoris. Elle m'a un peu branlé, mais nous sommes descendus rejoindre les autres à la piscine. Sophie a très vité déclaré que pour elle, c'était sans le haut, et que si ça dérangeait quelqu'un, il fallait le dire. Elle a envoyé son soutif de maillot de bain sur une chaise longue et ses seins sont apparus au grand'jour, petits et blancs, mais fermes et hauts. Eloïse ne pouvait pas être en reste, elle a roulé le haut de son maillot une pièce sur ses hanches, découvrant ainsi sa jolie poitrine. Sophie a plongé, Eloïse s'est allongée sur une chaise longue de piscine, un de ces meubles en plastique blanc sur lesquels on peut être aussi bien à plat ventre que sur le dos. 

J'ai plongé derrière Sophie, puis nous avons fait quelques brasses l'un derrière l'autre. J'avais une vue imprenable sur ses fesses et ses jambes qui s'écartaient, se refermaient, s'écartaient... Au bout de quelques longueurs, nous nous sommes éclaboussés puis nous avons joué à nous couler mutuellement. Dans l'eau, n'importe quel adulte redevient un enfant. J'en profitais pour lui caresser les seins dans l'eau, elle me laissait faire. On se faisait des bises au passage, elle laissait aussi ses mains courrir sur mon corps beaucoup plus que nécessaire. 

Quand nous avons eu fini notre jeu, nous avons vu Denis, assis à côté d'Eloïse, en train de lui étaler de la crème solaire sur le dos et sur les jambes. Lui aussi en faisait plus que  nécessaire, descendant bien bas sur les côtés, à lui toucher les seins, passant bien l'intérieur des cuisses, poussant un peu l'élastique de la culotte pour passer la crème - et ses doigts - sur le haut des fesses. Il devait faire ça depuis un moment, car tout d'un coup, Eloïse se retourne et lui demande de lui en mettre aussi devant. Il me semble que ça a été le signal que tout le monde attendait, que c'est là que ça a commencé. Car si Denis a sagement commencé par les épaules, puis les jambes, et ensuite le ventre, il est rapidement venu sur les seins qu'il a longuement caressés, rajoutant de la crème pour faire durer le plaisir. Je voyais qu'il bandait ferme, son maillot avait du mal à contenir son sexe gonflé d'envie de ma femme, excité par la situation. 
Eloïse l'avait vu aussi, elle lui a fait un sourire et lui a dit : "Denis, tu devrait l'enlever, tu serais mieux" et joignant le geste à la parole, elle lui a retiré son maillot. Le sexe de Denis s'est redressé, fièrement, altier. 

Pendant ce temps, Sophie et moi les regardions en nous caressant mutuellement,le bras, les épaules, les jambes. Je lui caressais les seins, le ventre, passant ma main sur sa chatte à travers son maillot. Elle avait carrément la main sur mon sexe. Eloïse avait pris la bite de Denis dans sa main et la caressait lentement. Sophie et moi nous nous sommes rapidement mis à poil. Sa chatte était partiellement rasée, elle formait un joli ticket de métro chatain sur sa peau claire. Nous nous sommes regardés tous les quatre, nous demandant des yeux ce que nous étions en train de faire. Et Eloïse a commencé à embrasser la bite de Denis, à la lécher doucement de bas en haut et retour, à tourner sa langue autour du gland en serrant fort de sa main droite. Denis se laissait faire, on voyait qu'il se concentrait pour ne pas jouir tout de suite. 

A un moment, n'y tenant plus, il s'est dégagé et a plongé dans l'eau froide. Eloïse s'est redressée, a retiré son maillot dévoilant ainsi sa chatte très brune, et est venue s'asseoir à côté de Sophie et moi. Sophie tenait ma bite dans sa main et me branlait gentiment, donnant de temps en temps de petits coups de langue sur mon gland. J'étais retournée vers son ventre et je lui caressait la chatte, qui était juste devant mon nez. J'ai alors plongé la tête entre ses cuisses et ai commencé à la lécher. Elle a lâché assez rapidement mon sexe pour s'appuyer sur le sol. Ses cuisses largement écartés me donnaient libre accès à ses lèvres, à son clito. Eloïse était à côté d'elle, lui caressat le ventre et remontant sur les seins. Elle eu vite le sein droit de Sophie dans sa bouche et lui lécha le téton. 



Sophie jouit juste au moment où Denis, qui nous avait regardés depuis le bassin, se positionna derrière Eloïse. Il avait récupéré son érection. Il écarta les fesses d'Eloïse la lécha brièvement, avant de la pénétrer en levrette.  Voir le sexe d'un autre pénétrer ma femme m'a un peu surpris, mais j'ai trouvé ça excitant. Sophie étant partie vers la maison pour chercher à boire, je me suis approché d'Eloïse, elle a attrapé ma bite et l'a prise dans sa bouche. Elle suce très bien. Presque aussi bien que Tara, me dis-je après coup, mais je ne connaissais pas encore Tara à l'époque.

Sophie était revenue avec un plateau, des boissons et des glaçons. Elle nous passait de la glace sur le corps, à Denis et à moi, ainsi que sur le dos d'Eloïse. Cela avait pour effet de nous exciter encore plus. Ensuite, Sophie me fit signe de laisser Eloïse et Denis à leur partie de baise et de venir avec elle. Je m'allongeais sur une serviette par terre et elle se présenta sur moi. Ma bite glissa en elle tellement facilement que je fus surpris qu'elle soit encore si mouillée. 

A suivre.

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