mercredi 3 juin 2009

Hot after the heat

Ca avait été une soirée tranquille. J'étais seul, et j'en profitai pour bosser dans mon bureau, chez moi. Un gros dossier à finir, un projet de quelques millions d'euros que l'Agence devait rendre à ses clients dans les jours suivants. Je m'étais mis une petit musique douce, des pièces de Chopin,  et finissais de relire mon topo, vérifier la traduction en anglais car le dossier était bilingue, recalculer tous les tableaux pour être sûr qu'il ne restait aucune erreur. Calme et concentration. Eloïse était sortie avec sa copine June. June est une américaine qui habite dans notre pays depuis quelques années déjà, qui parle très bien français, mais avec un léger accent que je trouve extrêmement sexy. J'aimerais qu'un jour elle me dise des horreurs à l'oreille avec son accent de la côte ouest, ça doit sonner très sunshine et naughty girl à la fois. 

June est assez jolie, même si ce n'est pas un canon de la beauté féminine. En fait, ce sont ses yeux brillants et son sourire qui va presque d'une oreille à l'autre, découvrant toutes ses dents blanches, qui la rendent attachante. Elle n'a pas les jambes spécialement fines, les fesses plutôt charnues, de gros seins ronds et lourds. Mais elle sourit et aime rire pour un rien, ce qui la rend d'un commerce agréable. (Oui, l'expression est un peu littéraire, mais je trouve ça plus joli que de dire qu'elle est "assez bonne" ou "baisable"). Eloïse et June étaient au hammam ce soir-là. Elles aiment bien ces sorties entre filles, dans un lieu qui leur est réservé, où elles peuvent être à poil entre elles, se faire suer (littéralement), s'enduire d'huiles et prendre soin d'elles. C'est certainement un peu érotique, mais à ma connaissance le hammam en question accueille toutes sortes de population, de la jeune geekette branchée à la mama berbère qui vient prendre le thé avec ses copines, donc pas de risques de léchages de chattes sans que je ne sois au courant. En tout cas, pas là. 

Je les entendis rentrer, June avait raccompagné Eloïse et celle-ci lui avait proposé un dernier verre de thé à la menthe à la maison avant qu'elle ne rentre chez elle. Je suis sorti du bureau pour aller les saluer, elles étaient belles, fraîches comme des roses de l'Atlas et parfumées d'une fine odeur de jasmin, enjouées par le bon moment entre filles qu'elles avaient passé. June et Eloïse s'entendent vraiment bien, ce sont deux bonnes copines qui s'apprécient. Et même un peu plus, si j'en juge par la façon dont elles ont dansé ensemble à la dernière summer party que nous avions donnée chez nous. Rien d'explicitement sexuel, il y avait du monde dont des gens sérieux pour qui le sexe c'est le dimanche soir après le film, mais des mains qui traînent un peu longtemps sur des fesses pendant un slow, des corps qui se rapprochent un peu plus que nécessaire de temps en temps, ce genre de choses qui vous fait penser que, peut-être, si les circonstances étaient favorables... 
Je leur mets de l'eau à chauffer, puis je retourne à mon dossier. Il n'est pas très tard, je n'en ai plus pour très longtemps, ça me motive pour foncer. Au bout de cinq minutes, j'entends Eloïse venir préparer le thé, puis plus rien si ce n'est un petit rire de temps en temps. 
Au bout d'une heure, j'ai fini. Je range, j'éteins l'ordinateur et je vais au salon voir si les filles sont encore là, s'il reste du thé. Il reste du thé, mais les filles ne sont plus là. June a du rentrer chez elle, Eloïse doit bouquiner dans son lit. Je me sers un thé et vais dans la chambre la rejoindre. Pimpante et fraîche, pomponnée et parfumée comme elle est, je vais me faire un régal de la lécher partout. 

Surprise quand j'entre : les deux filles sont là, pas complètement nues mais presque. Eloïse, allongée sur le dos, porte encore sa culotte, dans laquelle June a mis sa main, mais elle n'a plus que ça sur elle. June n'a plus de culotte (en porte-t-elle ?) mais elle a encore son soutien-gorge. Elles sont en train de s'embrasser à pleine bouche, pendant que June caresse le sexe d'Eloïse. Les seins d'Eloïse pointent fort, elle est visiblement très excitée. Je découvre la chatte de June, qui me fait face, elle se taille les poils, mais sans se raser, c'est très sexy. Je m'approche et m'assois à côté d'Eloïse, j'avance une main vers ses seins, mais elle me repousse gentiment. 
- Non Fleur, ce soir c'est entre filles. Mais tu peux regarder, si tu veux. 

Ca me va aussi. Je m'installe dans un fauteuil à côté du lit et je prend mon rôle de voyeur. Rapidement, Eloïse enlève sa culotte. June s'installe entre ses jambes et se met à lui embrasser le sexe, d'abord tout doucement, sur la chatte, de part et d'autre dans l'aine, un petit coup de langue sur l'intérieur des cuisses. Puis elle s'active sur le clito, le prenant dans sa bouche, le faisant tourner sur sa langue. Elle passe sa langue sur l'entrée du vagin, la fait pénétrer à l'intérieur d'Eloïse, qui lui passe les doigts dans les cheveux en soupirant. Ensuite, June se redresse, dégrafe son soutif et libère ses deux gros seins blancs et vient les frotter contre le sexe d'Eloïse. Puis, elle les remonte sur le ventre de ma femme, sur ses seins et vient l'embrasser sur la bouche. Les filles roulent sur le lit, Eloïse attrape les seins de June et se met à les embrasser et les lécher, pendant que sa main gauche cherche le sexe de son amie. C'est maintenant au tour d'Eloïse de lécher June. Elle se retourne, passe sa tête entre les jambes de June et attaque la chatte rousse. Le léchage est vigoureux, sans chichis, to the point. Elle ne va cependant pas jusqu'à la faire jouir, elle descend un peu et cherche à passer sa langue dans la raie du cul. Comprenant ce qu'elle veut faire, June se retourne sur le ventre, puis replie les genoux sous le corps. Ca lui écarte les fesses et on a ainsi bien accès à son petit trou. Eloïse vient se placer derrière elle et entreprend de la lécher de haut en base, mouillant abondamment le cul de June de sa salive. Elle s'attarde sur le trou du cul, tente de passer sa langue dedans, le masse de ses doigts pour le détendre. June gémit, la tête enfouie dans mon oreiller. Il sentira bon, quand je me coucherai tout à l'heure. De sa main droite, Eloïse se caresse la chatte, je vois ses doigts qui jouent un moment avec son clito puis qui entrent dans son sexe. 

Je n'y tiens plus, il faut que je fasse quelque chose. Si je ne peux pas participer, je peux au moins me masturber devant le spectacle. Je sors ma verge et commence à me branler. Mon pantalon me gêne, je l'enlève et me rassois, les jambes étendues, le sexe raide dans ma main qui s'active dessus. Les filles ont vu ce que je faisais, mais elles semblent n'en avoir cure. Je ne vais pas trop vite, je ne veux pas jouir trop tôt et profiter au maximum du spectacle qui m'est donné. 



Les filles sont de nouveau dans le même sens, à s'embrasser et à se toucher partout, les jambes entremêlées. Puis, Eloïse ouvre un tiroir et en sort un gode. Elle tend le gode à June qui le mouille bien de sa salive avant de lui introduire dans la chatte. June fait aller le gode gentiment, sans forcer. Très vite elle se remet à lécher Eloïse qui ne tarde pas à jouir, fêtée ainsi du clito et du vagin. Quand Eloïse reprend ses esprits, elle propose à June de la goder aussi, mais celle-ci décline : 

- Non, viens plutôt me lécher et mets-moi tes doigts. 

Je me branle de plus en plus activement. Quand je sens le plaisir monter trop vite, je ralentis. Je serre mes doigts sur la base de mon sexe, ça calme un instant. Puis je reprends. Je voudrais jouir en même temps que June. Mais le spectacle est trop beau, Eloïse remue son joli cul en rythme pendant qu'elle doigte June, ça évoque tant de jolies choses (entre autre la première fois que je suis venu dans son cul, mais c'est une autre histoire) que le plaisir est trop fort. Je sors de mon fauteuil, me relève et j'éjacule en lâchant plusieurs longs jets qui viennent s'écraser sur les épaules d'Eloïse et sur le ventre de June. Celle-ci jouit peut après en poussant de longs râles de plaisir et en appuyant le visage et la bouche d'Eloïse contre sa chatte. 

Plus tard, nous prenons tendrement une douche à trois et nous nous savonnons mutuellement. A chaque fois, je me dis que j'ai bien fait de faire installer cette douche de très grande taille. Je prends un grand plaisir à savonner les filles, à leur nettoyer le sexe, à leur frotter le dos. Fatigués, nous invitons June à dormir chez nous car elle a encore un peu de chemin à faire pour rentrer chez elle. Nous lui faisons une place dans notre grand lit, entre Eloïse et moi. Plus tard dans la nuit, June et moi ferons l'amour. Tout simplement, à la missionnaire, pendant qu'Eloïse nous regardera et caressera les gros seins de June. 

Ma femme a vraiment de chouettes copines. 

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