lundi 8 juin 2009

Short stories

Ce soir, ce ne sera pas un long billet relatant nos récentes fredaines. Quelques aventures courtes que je note dans un coin, et qui ressortent quand j'en ai assez pour faire un billet. 

L'autre soir. Déjà très tard. Une grosse voiture garée le long du trottoir. Une grosse Mercedes, ou quelque chose dans ce genre-là. la voiture du luxe ostentatoire. A l'intérieur, deux grandes noires. Les seins nus. Des poitrines très grosses. Elles s'embrassent à pleine bouche. Sur le siège avant, un chauffeur, noir lui aussi, en livrée avec une casquette, qui regarde fixement devant lui. Je m'arrête et les regarde. Elles voient que je les regarde. La main de celle de droite disparaît sous sa jupe, je la vois qui s'active. Elle se caresse la chatte, pas de doute possible. 
Je sors mon sexe, je bande déjà très fort, et me met à me branler à côté de la voiture. Elle le voient, mais continuent leurs caresses. Celle de droite sort sa main de sous sa jupe et dit quelque chose au chauffeur, quelque chose que je n'entends pas. Ils sortent tous les deux de la voiture, elle vient s'appuyer sur le capot du coffre et relève sa minijupe. Elle dit quelque chose au chauffeur, dans une langue que je ne comprends pas. Il répond "Oui, madame", sort son sexe et la prend par derrière. Il la pénètre et la baise bien fort. 
Pendant ce temps, la seconde femme a aussi relevé sa jupe. Elle se tourne pour me présenter son cul, une pied par terre, l'autre jambe repliée sur la banquette. J'enfourne ma bite dans son sexe et la baise en la tenant par son gros cul. 
Quand on a fini, les deux femmes remontent en voiture. Le chauffeur me file cent euros en me demandant de fermer ma gueule. La voiture démarre en trombe. A l'arrière, j'ai juste le temps d'apercevoir une plaque diplomatique et le macaron CD...


La photo, ce sont deux grosses chattes blacks poilues l'une sur l'autre. 
Oui, je sais, c'est facile. Mais ça m'amuse. 
Beaucoup.

Je sors des toilettes chez un très gros client de l'agence et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains. Juste après moi, un jeune homme sors aussi et vient vers le lavabo. Il se lave les mains à deux lavabos du mien, me regarde et me fait un sourire charmeur, un sourire enfantin et espiègle à la fois. Je fais mine de l'ignorer, mais quand je le regarde à nouveau, il recommence. S'étant séché les mains, il se dirige vers un porte, l'ouvre, entre et me regarde. Je le suis. Il ferme la porte. Il n'y a que très peu de place, juste la place pour un chiotte et le dévidoir à papier. Il s'agenouille devant moi. L'intention est claire : je sors ma bite de mon pantalon. Il s'en empare et se met à me sucer. Il suce comme un dieu, ce petit con... S langue tourne autour de la base de mon gland, il lèche ma queue de la base à la pointe, la serre bien quand il a le gland en bouche, puis relâche son poing. Il m'aspire goulûment, je sens mes jambes fléchir. Je lâche mon sperme dans sa bouche avant même d'être parvenu à érection complète. 
Il recrache dans le chiotte, me fait un sourire, un véritable sourire d'ange, ouvre la porte, regarde de part et d'autre, et sort. Quand je sors à mon tour, il a disparu. 



Slip ou caleçon ? Pour moi, la question ne se pose pas : je ne porte ni l'un ni l'autre. J'enfile mes jeans à même la peau. L'idéal est même d'avoir un trou dans sa poche. Dans sa poche avant, je veux dire. Un gros trou, dans lequel on peut passer deux doigts. Comme ça, on peut se toucher le sexe incognito, voire même se lancer subrepticement dans une petite branlette.  Une jolie demoiselle dans le métro ? Hop, deux doigts autour du gland et c'est parti. Un beau collègue en réunion ? On peut se toucher en déambulant entre le paperboard et le portable sur lequel tourne le powerpoint des résultats semestriels consolidés. 
Ne réparez pas les trous dans vos poches...

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