mercredi 6 mai 2009

Un joli sein dans le métro

Hier, dans le métro. Je monte et choisis un endroit stratégique. Toujours rester debout, ne jamais s'asseoir, on reste alors prisonnier de sa place. Si quelqu'un de joli à mater se présente, on n'a alors pas la vue dégagée, ou pas le bon angle. Toujours rester debout, à un endroit où on a une jolie vue sur les gens, et la possibilité de se déplacer pour trouver la bonne perspective. 
Je m'installe dans un coin de la plate-forme. Quelques personnes montent après moi, dont une petite jeune femme. Pas spécialement une jolie fille, mais quelqu'un de mignon, qui a quelque chose pour elle. Elle s'appuie contre la paroi de la rame, je me tourne vers elle pour l'avoir dans mon champ de vision. Elle porte un jeans, elle a de bonnes fesses, mais rien de disproportionné. Un ventre plat moulé dans un haut dans une espèce de jersey vert qui la colle tellement qu'on lui voit presque le nombril. Et de tout petits seins, qui bombent à peine le tissus vert. Un blouson en cuir pour couvrir tout ça, un sac en bandoullière. Une peau de rousse, de nombreuses taches de rousseur sur le visage, peu dans le décolleté. Des cheveux blonds foncés ou châtain très clairs, mi-longs. C'est elle que je vais regarder durant mon trajet souterrain.
Elle prend l'air absent, écoute quelque chose sur son balladeur MP3, fait celle qui ne voit pas qu'on la regarde. Enfin, là je fantasme peut-être un peu, elle n'a pas forcément vu que je la regardais. J'étais fasciné par sa poitrine miniature. J'aime les touts petits seins. C'est incroyablement mignon, toujours doux et tendre, moelleux, mais ça tient dans la paume de la main. Un vrai bonheur. Ils vous regardent d'un air effronté quand ils sont découverts face à vous. Ils se tiennent hauts et fiers, quelque soit la position dans laquelle on baise. Un vrai bonheur, vous dis-je. 
Je mate donc ma petite blondinette du jour depuis quelques stations quand soudain, oh bonheur, elle se penche en avant pour attrapper quelque chose dans le cartable qu'elle avait posé à terre. J'ai à peine eu à bouger pour accompagner son mouvement, le tissus léger de son haut s'est écarté de son cou et là, vision enchanteresse, j'ai eu un instant la vue dégagée et libre sur son sein gauche. Elle ne portait pas de soutien-gorge, vu la taille de sa poitrine ce n'était pas nécessaire. Son sein était en effet tout petit, orné d'un téton rose clair, de ces petits tétons encore peu développés car ils n'ont pas encore été têtés par un bébé, de ces tétons de jeune femme qui sortent de leur cachette quand on les titille un peu. 

L'intant a été très bref, dans ces cas-là on ne peut jamais en profiter longtemps. Elle s'est redressée, le tissus s'est rabattu et le joli sein a disparu. A la station suivante, elle s'est retournée quand les portes se sont ouvertes et elle est descendue de la rame. Au moment où les portes allaient se refermer, j'ai sauté sur le quai. En quelques pas, j'étais à ses côtés. 
- Mademoiselle ? 
Elle se tourne vers moi. 
- Mademoiselle, vous avez un sein gauche absolument magnifique. 
Elle me regarde, interloquée. 
- Je l'ai vu à l'instant quand vous vous êtes penchées pour prendre quelque chose dans votre cartable. Votre sein gauche est très joli. Je voulais juste vous le dire. 
Elle m'a fait un grand sourire, a rosi un peu (ce qui lui allait très bien) et m'a dit merci. Elle s'est alors retournée et je l'ai laissée partir. 

Depuis, j'y pense beaucoup. 

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