mercredi 13 mai 2009

Une partie de campagne bi(s)

Le repas après cette après-midi mouvementée fut relativement calme. Nous avions gentiment préparé un bon repas, n'oubliant pas que c'était une des raisons de ce week-end, se faire de bonnes petites bouffes. Sophie et Denis avaient préparé le plat, Eloïse et moi l'entrée et les desserts. La consigne était de faire froid. C'est amusant, de se mettre une petite contrainte comme ça. Parfois, on ne doit présenter que des plats contenant un ingrédient précis. Du miel, par exemple. 
Oh, bien sûr, quand on se retrouvait dans la cuisine un saladier ou une pile d'assiettes dans la main, on s'arrangeait toujours pour passer à côté de quelqu'un pour se frotter les fesses contre les siennes, comme ça, "oups, pardon" (rires). Mais c'était resté sommes toutes assez gentil.
Personne ne parla des scènes de baise qui avaient eu lieu au bord de la piscine, ce n'était pas nécessaire. Nous avons pris l'apéritif et l'entrée dehors, mais la soirée étant encore fraîche en ce début d'été, nous sommes rentrés pour la suite du repas. Les dames étaient élégantes, Eloïse avait une jolie robe longue satinée, bleu foncé, largement ouverte sur son dos et retenue pas une bride qui passait derrière son cou. On ne pouvait pas ignorer qu'elle ne portait pas de soutif. Et nos amis avaient assez vu - et caressé - ses seins l'après-midi pour savoir qu'elle pouvait très bien s'en passer. Sophie portait une petite jupe très élégante et un chemisier blanc assez transparent pour qu'on devine facilement qu'elle ne portait pas non plus de soutien-gorge. Ses tétons pointaient régulièrement à travers le tissus. Denis et moi portions chacun un pantalon de toile et une chemise. L'ensemble était assez réussi, chacun avait voulu se faire beau pour honorer les autres. Nous nous aimions vraiment, je crois, ce soir-la. Tous les quatre, nous avions l'air heureux, et cette impression se confirme à chaque fois que je regarde les photos de ce week-end. 
Quand tout a été débarrassé, nous sommes passés au salon. Denis a fait du feu, j'ai sorti la bouteille de vieux porto que j'avais préparée pour l'occasion (le porto est un digestif !). Je savais que si la soirée durait un peu, nous pourrions étancher notre soif avec les quatre bouteilles de champagne qui se tenaient au frais. Eloïse était debout devant la cheminé, à se chauffer le dos et les épaules, Denis et moi étions dans les canapés à bavarder quand Sophie revint de la cuisine avec des petits gâteaux secs pour accompagner l'alcool. Denis, Eloïse et moi discutions sur ce fantasme commun à tant d'hommes, qui est de faire l'amour à deux femmes, ou de voir deux femmes faire l'amour ensemble, ce qui finalement n'est qu'une variante du premier. Sophie nous demanda si c'était notre cas aussi, à quoi nous ne pûmes que répondre que oui, bien sûr. Elle posa alors ses gâteaux sur la table basse et se dirigea vers Eloïse, lui prit la tête à deux mains et l'embrassa à pleine bouche. Celle-ci, un peu surprise au début, se laissa faire puis répondit en passant ses bras autour du cou de Sophie. Elles s'embrassèrent ainsi pendant quelques instants, puis Sophie dégrafa la bride qui retenait la robe d'Eloïse, qui s'affaissa à ses pieds. Ma brune apparut alors dans sa splendeur, ses seins portés fièrement, son si joli cul moulé dans une grande culotte en dentelle qui laissait apercevoir l'ombre de son sexe. Sophie se pencha et lui embrassa les seins, léchant, tétant, caressant de ses mains, de sa langue ou de ses joues ces deux petites pêches si soyeuses et si chaudes. Eloïse lui passait les mains dans les cheveux, puis elle descendit sur le dos, elle redressa Sophie et lui déboutonna son chemisier. Les deux filles nous lançaient de temps à autres des regards de biais, pour voir si nous profitions du spectacle. Et pour sûr, nous n'en aurions pas perdu une miette, et nous leur disions qu'elles étaient belles, qu'on les aimait, qu'elles nous rendaient dingues. Et évidemment, elles en rajoutaient dans le show, mais on sentait qu'au fur et à mesure, elles se prenaient au jeu et que si elles continuaient, elles allaient bel et bien se donner du plaisir à deux, devant nous et sans nous. En effet, après avoir joué à se frotter les seins l'une contre l'autre, après s'être léchée tout ce qu'il y avait entre le cou et le nombril, après s'être bien chauffées à coup de patins à pleine bouche, Eloïse fit tomber la jupe de Sophie. Qui ne portait pas de culotte, nous ne nous en étions pas encore aperçus. Même Denis en fut surpris. Eloïse la caressa entre les jambes, puis s'agenouilla devant Sophie pour lui embrasser le sexe. Elle lui donna un petit coup de langue, mais notre amie s'agenouilla à côté d'elle et introduisit sa main dans la culotte d'Eloïse. Elle la fit jouir très vite du bout de ses doigts sans même finir de la déshabiller complètement. 
Pendant que les filles jouaient leur petit jeu devant nous, Denis et moi étions toujours assis sur le canapé. Au début, nous avions mis les mains dans nos poches, n'osant pas caresser nos sexes tant que les filles n'étaient pas pleinement dans le jeu. Mais rapidement, j'ai déboutonné mon pantalon et j'ai sorti ma verge très gonflée pour pouvoir me branler librement. Denis, un peu étonné, a fait de même. Je l'ai vu à un moment faire de gros efforts pour ne pas éjaculer et je dois confesser que ce n'était pas toujours facile pour moi-même, tant les filles étaient excitantes. 
Quand elle a eu fait jouir Eloîse, Sophie s'est rapprochée de nous, s'agenouillant devant nous. Elle a pris nos sexes dans chacune de ses mains et s'est mise à nous caresser gentiment, puis franchement à nous branler. De temps en temps, elle prenait l'un ou l'autre dans sa bouche, tout en faisant bien attention à ne pas nous mener jusqu'au bout. Eloïse était passée derrière le canapé où nous étions assis et avait entrepris de déboutonner nos chemises puis de nous les enlever, nous caressant au passage, se penchant pour nous lécher les épaules et les bras. Sophie s'occupa du bas en nos retirant nos pantalons et nous fumes bientôt nus tous les quatre. Eloïse bascula par-dessus le dossier du canapé et atterrit sur nous, Sophie monta elle aussi. Je ne sais plus comment cela se fit, mais Denis s'est retrouvé à pénétrer Eloïse qui était allongée sur le côté, les jambes très écartées en train de lécher la chatte de Sophie qui était au-dessus de sa tête pendant que Sophie me prenait dans sa bouche pour une pipe magistrale, alternant la prise en bouche, les baisers à pleine lèvre les les coups de langue autour du gland. Je me souviens que Sophie avait mon sexe en main  au moment de l'orgasme et que mon sperme lui a giclé sur le visage avant qu'elle n'ait le temps de me reprendre dans la bouche. Je l'ai léchée pour la nettoyer. 
Pendant ce temps, Eloïse était toujours en pleine baise avec Denis. Eloïse avait joui une fois, Denis peut-être aussi mais il était toujours en elle. Quand ils ont vu que Sophie redevenait disponible, ils sont venus sur elle. Eloïse l'embrassait lui léchait le sexe dont Denis venait de sortir. Denis, dans un mouvement de tendresse, prit sa femme dans ses bras, la serra contre lui et l'embrassa un long moment. 

Qu'allais-je faire ? 

Je m'assis à côté de Denis et, constatant que son sexe était toujours en érection, je l'ai pris en main et l'ai introduit dans ma bouche. Directement, brutalement, sans préliminaires. Je crois que si j'avais tergiversé, il ne m'aurait pas laissé faire. Eh oui, il n'y a pas de raison : si les lesbiennes est bien un fantasme largement répandu chez les hommes, le sexe entre hommes met de nombreuses femmes en émoi. Eloïse et Sophie nous avaient régalé, il était juste que nous en fassions autant. Denis a eu un instant d'effroi quand il a compris ce qui se passait, mais les dames l'ont vite repris en main, le couvrant de baisers, se mettant entre ses mains et moi. Finalement, il a fini par me laisser faire et par se laisser sucer. C'était le tour des filles de faire des commentaires encourageants ; ce dont je n'avais pas trop besoin, j'ai déjà dit que je trouvais Denis attirant. Et il y avait longtemps que je n'avais pas eu une bite dans la bouche. Sophie me caressait le dos et les épaules, descendant ses mains vers mes fesses. Elle me couvrit de baisers et de coups de langues pendant que je suçait son homme. Eloïse et Denis se caressaient, il faisait tourner sa langue autour de ses tétons, les mordillait gentiment. Ca la rend folle. Sophie vint derrière moi, m'écarta les fesses et se mit à m'embrasser et à me lécher la raie du cul, s'attardant sur le trou, tentant d'y introduire la langue, revenant, repartant. J'ai laissé la bite de Denis à Eloïse, qui a continué la pipe avant de s'asseoir brièvement sur lui et de le prendre en elle. Puis j'ai écarté Eloïse et je me suis assis sur Denis, tenant son sexe d'une main pour me l'introduire dans le cul. Il était dans un tel état d'excitation qu'il se laissa guider. Heureusement, les filles nous avaient bien lubrifiés de la langue et de la chatte, et je réussis à faire passer le gland sans trop de difficulté. Le reste suivit. C'est toujours comme ça, la sodomie : il faut juste passer la porte d'entrée, et après c'est grand comme un hall de gare. Je bougeais lentement, je sentais sa bite qui glissait dans mon cul. Au bout de quelques minutes, j'ai tourné la tête et les épaules et je l'ai embrassé. D'une main je gardais l'équilibre, de l'autre je me branlais vigoureusement. Les filles nous regardaient en se caressant, fascinées.
J'ai joui peu de temps après lui. Il est resté encore un instant dans mon cul puis s'est retiré. Nous avons échangé un sourire et nous nous sommes caressés pendant encore un bon moment. Je gardais son sexe dans mes mains, lui tenait le mien et on continuait à s branlotter doucement, tout en sachant bien que plus rien ne serait possible ce soir, tant on avait donné tout ce qu'on pouvait donner. 
 
- Pfffiou... Dites, vous ne trouvez pas que ça donne soif ? 
- Si, tu as quelque chose de bon à nous proposer ? 
- Bougez pas. 

Et je suis revenu avec une bouteille d'un champagne "sans étiquette direct du producteur dont vous me direz des nouvelles". Nous bûmes en riant, les filles nous demandant si ça nous plaisait toujours autant quand deux femmes se donnent du plaisir. Que faire d'autre que de les embrasser, nos adorables compagnes ? Chacun a embrassé sa chacune et celle de l'autre, de beaux baisers à pleine bouche, des baisers au goût de sexe et de champagne. 

2 commentaires:

  1. J'ai appris des choses interessantes grace a vous, et vous m'avez aide a resoudre un probleme, merci.

    - Daniel

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  2. Daniel,

    Merci d'avoir laissé ce petit mot. Quoi que ça ait été, je suis content que ce blog ait pu vous être utile.

    Cordialement,
    Feuille

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