lundi 24 août 2009

Opening minds (Causse, dernière)

Après un si bon début, il fallait que ça arrive.

Jennifer s'est décoincée, et elle s'est mise à poil comme tout le monde. C'est Eloïse qui a ouvert les hostilités, enfin si on peut appeler ça comme ça.
"Tu as des seins magnifiques, j'aurais rêvé en avoir des gros comme les tiens." (Le lecteur assidu et attentif se rappellera qu'Eloïse a de jolis petits seins).
La jeune fille lui répond en rougissant, quelque chose comme "Merci, les tiens aussi ils sont jolis."
"Tu permets que je les touche un peu, pour voir comment ça fait ?" et tout en disant ça, sans attendre que Jennifer ne dise quoi que ce soit pour s'y opposer, Eloïse est à côté d'elle et a posé la main sur le sein de la fille. "Oh la la, qu'est-ce que c'est doux..." Je rigole intérieurement, on dirait qu'Eloïse n'a jamais mis la main sur le sein d'une autre. Jennifer ne dit rien, mais lance de petits regards affolés vers Javier : va-t-il permettre que quelqu'un d'autre que lui pelote les seins de sa nana ? Il ne dit rien, souris et regarde. A la façon dont il les mate, je vois que ça l'excite. Dans quelques instants, il ne va pas pouvoir s'empêcher de bander et, comme il est à poil, il ne pourra pas le cacher. Eloïse se redresse et se place face à Jennifer :
"Ne sois pas si tendue pas comme ça. Je vais te dire un secret de femme : il n'y a qu'une femme pour savoir caresser les seins d'une femme. Je vais te montrer, ne t'occupe pas d'eux." Et sans lui laisser le temps de respirer, elle se met à lui faire des choses très douces avec les mains, les doigts et la bouche. Et pour être sûre de bien la tenir, elle l'embrasse à pleine bouche.
Javier, pendant ce temps, n'en rate pas une. Je vois sa bite se gonfler, et je me demande ce que je vais en faire. Je me doute qu'Eloïse aimerait me voir le prendre, lui mettre ma queue dans son petit cul musclé. Mais serait-il d'accord ? Je ne vais pas le violer tout de même.
"Elles sont belles. Ca te plaît de les voir ensemble ?"
"Oui oui, c'est très excitant... "
"Alors fais comme moi, profite !" et je m'installe confortablement sur le bord du bassin et je commence à me branler. Javier a l'air surpris, mais se sentant autorisé il s'y met aussi.

Après, je ne sais plus trop bien ce qui s'est passé, ou plutôt dans quel ordre ça s'est passé. Je me souviens d'Eloïse ayant la main puis la bouche sur le sexe de Jennifer, de mon propre sexe prenant Eloïse en levrette, de la bouche d'Eloïse sur la bite de Javier pendant que je léchais Jennifer, de mes doigts et de ma bite dans la chatte de Jennifer. On a du s'interrompre à un moment pour manger un morceau de pain avec quelques fruits et un peu de jambon sec, qu'on a mâché à toute vitesse et sans rien dire, les yeux fiévreux d'envie ; on a arrosé tout ça d'un verre de vin rouge et on est repartis dans plusieurs combinaisons.

Nos deux visiteurs sont restés deux jours de plus chez nous, à passer les journées à poil au soleil. Javier, que j'imaginais assez straight, s'est révélé plus ouvert que je ne le pensais au départ. Peut-être était-ce le fait d'être nu toute la journée qui éveillait ses sens, ou le fait que les filles se passaient très bien de nous quand elles le décidaient ? A un moment où elles étaient parties à deux faire un petit tour (et probablement se faire des tas de choses très cochonnes), je l'ai sucé. Il a eu l'air surpris au début, mais il s'est laissé faire. Quand il a eu joui, il avait l'air d'avoir découvert quelque chose. Plus tard, il a voulu essayer à son tour. Il a fallu que je le guide un peu (on sentait ses dents, j'aime pas ça), mais il s'en est bien sorti. Finalement, je ne l'ai pas enculé, mais ça a sensiblement augmenté les possibilités de baise à quatre. La dernière journée n'a été occupée que par du sexe, des petites siestes pour récupérer, quelques casse-croûtes pour se refaire, et encore du sexe. Les filles adoraient nous voir nous sucer entre hommes, mais nous avons aussi beaucoup baisé. Les gros seins blancs de Jennifer étaient vraiment très doux et elle s'en servait pour faire des branlettes espagnoles fabuleuses. En plus, c'est le cas de le dire...



Le troisième jour, il a fallu qu'ils repartent. Ils avaient un but à atteindre avant la fin de leurs congés, et ils ne voulaient pas en dévier. En partant, Jennifer a pris la tête d'Eloïse entre ses mains, l'a embrassée à pleine bouche, et lui dit "Yé n'oublierai yamais. Yamais..."
Quand ils ont été partis et que j'ai demandé à Eloïse ce à quoi elle avait fait allusion, elle a souri et n'a pas voulu me dire.
J'adore ma femme.

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